Faut-il faire un bilan thermique pour réaliser des économies d’énergie ?

Le bilan thermique permet aux habitants d’une maison ou d’un appartement de bénéficier de préconisations de professionnels, s’ils souhaitent améliorer la consommation d’énergie de leur maison.

Si vous avez l’impression que votre habitation souffre de déperditions de chaleur, si vous dépensez de fortes sommes en chauffage et en ventilation, et si vous souhaitez faire un effort pour améliorer l’avenir de la planète, peut-être un bilan thermique (dit aussi bilan énergétique) peut-il vous aider.

Quelques informations sur le déroulé type d’un bilan énergétique.

A quoi sert un bilan thermique

L’objectif d’un bilan énergétique est de minimiser autant que possibles les déperditions thermiques de votre habitation, en analysant les différentes sources d’aération et de chaleur. Les diagnostiques des techniciens sont réalisés pour vous permettre d’atteindre différents objectifs

  • Réaliser des économies en optimisant au maximum les sources d’énergie
  • Exploiter de façon intelligente les ressources naturelles et faire en sorte que votre habitation bénéficie des énergies renouvelables. Réaliser un bilan énergétique, c’est faire un geste pour la planète.

Quand faire un bilan thermique

Si vous êtes nouveau propriétaire, vous allez avoir de nombreuses formalités administratives à réaliser (inscriptions sur les listes électorales, souscription à une assurance habitation …). Profitez-en pour faire réaliser un bilan thermique ! Et n’oubliez pas de le signaler à votre assureur, le fait que votre maison soit correctement isolée peut impacter sur le montant de votre prime.

Si vous avez décidé de faire réaliser des travaux dans votre nouvelle habitation au moment de votre installation, c’est le moment rêvé pour faire un bilan thermique. En effet, le bilan engendrera peut-être des conseils d’aménagement de la part de l’organisme ; vous pourrez choisir de faire vos travaux en fonction de ces préconisations.

D’une façon générale, il convient de réaliser un bilan thermique de façon systématique avant de réaliser des travaux d’isolation dans votre maison ; de même n’oubliez pas également de réaliser les démarches pour faire un bilan énergétique en cas d’installation d’un chauffage ou d’une climatisation.

Si vous souhaitez vendre votre habitation ou la mettre en location, un bilan énergétique plus sommaire vous sera demandé ; il s’agit du DPE (diagnostic de performance énergétique). Ce bilan est obligatoire, il permet d’affecter une étiquette thermique à votre maison (note de A à G) indiquant sa consommation thermique. Cette étiquette est susceptible d’influer sur le prix de vente.

Comment se déroule un bilan thermique

Le bilan thermique comporte plusieurs étapes.

Votre technicien va se déplacer à votre domicile pour réaliser différentes mesures ; dans un premier temps, il va chercher à relever les défauts d’isolation. Il va notamment relever la présence de ponts thermiques, c’est-à-dire des endroits de votre habitation où l’on constate une nette déperdition de chaleur. Il examinera pour cela les points d’ouverture de votre habitation.

Le bilan thermique est également un moyen de mesurer les systèmes d’isolation déjà existants et de réaliser des diagnostiques en conséquence.

Puis le technicien réalise en général un test d’infiltrométrie : ce test permet, grâce à des mesures précises, de connaître précisément la qualité de l’air qui sort de votre habitation, en dehors des systèmes de ventilation.

Enfin, votre technicien examinera toutes les sources de ventilation et de chaleur : radiateur, ventilateur …

Ces diagnostics sont réalisés pour diminuer autant que possible les déperditions énergétiques de votre habitation.

Un projet en cours : comment bien choisir son prêt personnel ?

Rénover sa salle de bain, refaire sa terrasse, organiser son mariage ou encore payer les études de ses enfants, autant de projets que nous voulons réaliser de la plus belle des façons mais qui demandent beaucoup de moyens et d’investissements. Vous avez en tête un projet bien particulier et qui vous tient à cœur mais vous le repoussez d’année en année faute de moyens. Néanmoins, il s’offre à vous la possibilité de contracter un credit personnel afin de réussir à réaliser votre projet. Cependant, il est important de bien se renseigner afin de choisir le prêt le plus adapté à vos besoins.

 

Savoir analyser les différents taux

 

Un premier point essentiel est celui du taux d’intérêt. En effet, le taux d’intérêt est primordial, un taux d’intérêt élevé remettra sans doute en cause votre projet et vous pénalisera pour emprunter de nouveau. Des sites spécialisés comme  mon-pret-personnel.beexistent pour vous aider à analyser les différentes offres qui vous sont proposées. Organisé de façon très simple, le site vous redirige directement vers l’information dont vous avez besoin grâce à ces catégories très détaillées. Ainsi, selon votre projet, vous retrouverez les différentes offres des banques et organismes de prêt. Cette connaissance de toutes les offres est essentielle afin de consolider un prêt personnel adapté à vos besoins.

 

Et ensuite ?

 

La marche à suivre ensuite est assez simple, il vous suffit de prendre contact avec les organismes que vous avez sélectionnés. Nous vous conseillons tout de même d’en contacter plusieurs pour avoir le plus d’informations possibles et le plus de renseignements par les conseillers dde chaque groupe. Plus vous interrogerez de compagnies, plus vous aurez une vision complète des solutions qui s’offrent à vous. En effet, vous aurez ainsi une vision complète de votre prêt personnel et pourrez soumettre une demande. Selon les organismes, vous aurez la réponse plus ou moins tôt et pourrez ainsi vous lancer dans votre projet.

Pourquoi Thales ne veut pas d’un « Airbus Naval »

Dans le cadre de leur projet de rapprochement, les leaders de l’industrie navale de défense français et italien, Naval Group et Fincantieri, devraient finaliser prochainement les modalités d’un rapprochement attendu de longue date par le secteur. Les deux entreprises pourront enfin commencer à répondre ensemble à des appels d’offres sur les bâtiments de surface. Le projet a tout pour faire l’unanimité au sein de la BITD française, mais c’était sans compter le géant Thales, actionnaire et néanmoins concurrent de Naval Group.

Dans le cadre de leur projet de rapprochement, les leaders de l’industrie navale de défense français et italien, Naval Group et Fincantieri, devraient finaliser prochainement les modalités d’un rapprochement attendu de longue date par le secteur. Les deux entreprises pourront enfin commencer à répondre ensemble à des appels d’offres sur les bâtiments de surface. Le projet a tout pour faire l’unanimité au sein de la BITD française, mais c’était sans compter le géant Thales, actionnaire et néanmoins concurrent de Naval Group.  

Tandis que les gouvernements français et italien se sont dit satisfaits de l’alliance stratégique entre Naval Group et Fincantieri, le deuxième actionnaire de Naval Group, Thales, s’est quant à lui montré plus que réticent. Ce dernier craint en effet de perdre de son influence alors qu’il tente de s’imposer comme un acteur quasi monopolistique au sein de l’écosystème de défense français et européen.

Volonté de devenir un acteur de premier plan

Annoncé en octobre dernier à l’occasion du salon Euronaval, l’alliance entre Fincantieri et Naval Group n’a finalement pas pris la forme d’une prise de participations croisées. Evoqué lors des négociations et défendu par les PDG des deux groupes, cet échange n’a en effet pas plu à l’un des actionnaires de Naval Group, Thales.

En entrant au capital de Naval Group – ex-DCNS – en 2007, Thales a négocié avec l’État un pacte d’actionnaire plus qu’avantageux à son profit et s’est par exemple assuré un débouché pour ses produits en imposant à sa nouvelle participation ses systèmes et, notamment, ses radars. Disposant d’un droit de veto, l’entreprise jouit d’une quasi-exclusivité, qui, souvent, nuit à la compétitivité des offres de Naval Group : produits supérieurs aux cahiers des charges des clients et aux prix de fait trop élevés, produits « packagés » incluant des systèmes non demandés… Thales fait payer cher son entrée au capital. Pis encore, Thales est régulièrement en compétition directe avec Naval Group. Dernier exemple en date : à l’occasion de l’appel d’offres belgo-néerlandais portant sur la construction de 12 chasseurs de mines pour un total de 2 milliards d’euros, Thales s’est associé avec STX et Socarenam, les concurrents de Naval Group/ECA sur ce dossier.

Alors que Thales est devenu un acteur majeur de l’industrie de défense, le groupe ne semble plus se satisfaire d’un rôle souvent assimilé à celui de sous-traitant, pourtant acté dans l’accord qui l’unit avec Naval Group. Thales a ainsi plusieurs fois tenté de s’imposer comme l’acteur principal des négociations avec de potentiels clients. Ce fut par exemple le cas lors des discussions sur les vecteurs, les radars et les conduites de tir de défense aérienne en Arabie Saoudite, sur terre ou embarqués sur les navires saoudiens. Thales a pris la main et court-circuité les canaux traditionnels de communication, offrant aux Saoudiens le spectacle d’une confusion très franco-française. Qu’il s’agisse des missiles Crotale ou même des systèmes radars embarqués, l’activisme de Thales a disqualifié une bonne partie des offres françaises, les contrats retombant pour l’essentiel dans l’escarcelle de MBDA et de Leonardo.

Le rapprochement entre Fincantieri et Naval Group est précisément vu par Thales comme une menace à sa stratégie d’exclusivité « de facto » en raison de la présence de Leonardo dans la négociation. Fincantieri dispose en effet, tout comme Naval Group avec Thales, de relations étroites avec son équipementier national, mais sans qu’un accord de dépendance ne les lie. En cas de coopération accrue entre Naval Group et Fincantieri, cela signifie que Thales devra partager les contrats de Naval Group/Fincantieri avec Leonardo et ainsi renoncer à imposer ses équipements.

Un leadership mal placé

Thales n’a ainsi montré aucun enthousiasme à l’idée de ce rapprochement, œuvrant en coulisses contre une prise de participations croisées. Aveuglé par ses bonnes performances, le groupe semble oublier qu’il opère au sein d’un écosystème européen fragile dont les différents acteurs sont dépendants les uns des autres.

Le rapprochement entre Naval Group et Fincantieri intervient alors que les industries navales de défense française et italienne font face a l’arrivée sur le marché des géants russe et asiatique. Fer de lance d’un « Airbus des mers », Naval Group et Fincantieri espèrent fédérer les autres acteurs européens – comme l’Allemand TKMS ou le Suédois Saab Kockums – afin de créer des synergies, renforcer leurs capacités d’étude et de production et ainsi leur permettre de monter en puissance à l’export, non plus à l’échelle nationale, mais à l’échelle européenne. Comme l’explique le PDG de Naval Group, l’objectif est de « se regrouper ou mourir ». Alors que les Chinois ont prouvé qu’ils pouvaient produire l’équivalent de la flotte française en 3 ans et que les russes s’imposent comme le deuxième acteur le plus important du marché, une alliance entre industriels européens doit permettre à ces entreprises de continuer d’exister, ni plus ni moins. Au-delà de l’importance de conserver un savoir-faire stratégique, il s’agit de préserver les dizaines de milliers d’emplois de l’industrie navale européenne, dont plus de 40,000 en France. En somme, Thales oublie que si, un jour funeste, Naval Group ou Fincantieri devaient sombrer face à leurs concurrents, les équipementiers comme lui s’effondreront aussi.

Thales semble aujourd’hui surtout préoccupé par la place qu’il estime lui être dû au sein de la base industrielle et technologique de défense française et européenne. A (court) terme, les guerres d’égos risquent pourtant de mettre à mal les chances de l’Europe de maintenir son industrie de défense à flot et, ainsi, son indépendance stratégique.

InfoPrimes : Économiser sur son assurance vie en ligne

Depuis de nombreuses années, l’assurance vie est le placement préféré des occidentaux, que ce soit pour sa fiscalité avantageuse, sa flexibilité, les différents supports sur lesquels les contrats reposent ou tout simplement pour sa simplicité de transmission. Devant cet attrait sans cesse renouvelé, les compagnies d’assurances et les banques proposent une multitude de contrats, tous différents et proposant chacun des avantages plus ou moins intéressant en fonction des objectifs recherchés par le souscripteur. Présentation de ce nouveau phénomène de comparateur d’assurance vie en ligne.

Cette profusion de contrats place, bien souvent, le souscripteur dans une position délicate où le choix qui semblait facile au départ peut s’avérer plus ardu pour trouver le contrat correspondant à ses objectifs et offrant les meilleures garanties pour la prime la mieux adaptée à son budget.

Infoprimes : la révolution de l’assurance vie en ligne 

Le site InfoPrimes vous permet de réaliser des économies sur votre assurance vie. Grâce à son calculateur de primes, vous pouvez trouver la meilleure prime d’assurance vie sur le marché. En effet, le calculateur analyse et étudie en temps réel les offres de toutes les compagnies travaillant au Canada. En quelques clics et en trois étapes vous pouvez trouver le contrat répondant le mieux à vos attentes et à vos besoins avec la prime la mieux adaptée à votre budget.

Par conséquent, InfoPrimes est la solution la plus rapide et la plus simple pour trouver la meilleure assurance hypothécaire. Le site InfoPrimes vous permet en toute simplicité et en toute confidentialité de comparer votre assurance vie avec les autres offres présentent sur le marché. Plus besoin de visiter toutes les banques et les autres organismes de prêt ou d’assurances, InfoPrimes le fait pour vous et plus rapidement que si vous deviez questionner vous-même toutes les compagnies.

Une solution sur-mesure à moindre coût

Enfin, le dernier avantage, et non des moindres, d’InfoPrimes est son coût. Le service est entièrement gratuit pour les clients ! InforPrimes est directement rémunéré à partir de commissions versées par les organismes bancaires et les compagnies d’assurances. Cette transparence dans la rémunération garantit un service de qualité optimisé pour les clients et non pour les compagnies d’assurance. Vous avez le pouvoir de trouver la solution adaptée à vos attentes !

Indépendant des assureurs et des compagnies, infoPrimes agit comme un courtier et un conseiller qui défend uniquement les intérêts de ses clients que ce soit au moment de la souscription du contrat mais aussi tout au long de la durée du contrat, les spécialistes d’InfoPrimes sont là pour vous accompagner et répondre à vos questions.

Support papier en marketing : faut-il les abandonner au profit du numérique ?

Aujourd’hui, pour mettre en place une stratégie marketing efficace, les entreprises se tournent principalement vers l’environnement digital. Les réseaux sociaux, l’optimisation du référencement, les vidéos, les publicités diffusées via les blogs et autres médias sur Internet sont autant de solutions qui permettent de toucher clients et prospects. Toutefois, faut-il totalement délaisser le support papier ? La réponse est non, et nous allons voir quelles en sont les raisons.

Pourquoi le support papier est-il aussi décrié ?

Si le support papier ne fait pas que des adeptes, c’est notamment pour des raisons d’ordre environnemental. Aujourd’hui, les entreprises se voient dans l’obligation de s’inscrire dans une démarche respectueuse de l’environnement, notamment pour renvoyer une image de marque plus qualitative et séduire de nouveaux prospects. Aussi, le support papier est de plus en plus délaissé, au profit de l’écologie.

Néanmoins, il est tout à fait envisageable d’utiliser de façon éco-responsable des supports imprimables, par exemple en optant pour du papier ou du carton recyclé. Le recyclage s’invite également dans la production de cartouches d’encre. D’autre part, un tel support de communication profite de nombreux avantages.
 

Quels sont les avantages des supports papier dans le domaine du marketing ?

  • Le support papier, pour véhiculer et renforcer une image de marque : si l’univers du digital constitue un bon moyen pour véhiculer une image de marque et la diffuser auprès d’une large population de clients et prospects, le papier a également toute son importance. En effet, celui-ci intervient pour renforcer l’image d’une entreprise. Les supports imprimables aux couleurs d’une marque ne doivent pas être négligés. C’est vrai, ceux-ci interviennent directement dans le processus de mémorisation et permettent aux clients d’associer un logo ou une charte couleur, avec une entreprise en particulier.
  • Le support papier, pour se différencier : à l’heure actuelle, la plupart des entreprises ont délaissé le papier. Or, celui-ci permet de compléter une stratégie marketing digital, en s’exportant sur un terrain boudé par les concurrents. Néanmoins, toujours dans l’objectif d’améliorer son image de marque et de s’inscrire dans une démarche plus respectueuse de l’environnement, l’entreprise optera pour du papier recyclé.
  • Le support papier tout aussi percutant que la publicité digitale : d’après une étude de Balmétrie, les Français sont plus de 93% à consulter leur boîte aux lettres une fois par semaine. Parmi eux, seulement 17,3% sont équipés d’un autocollant stop-pub. En revanche, 36% d’internautes bloquent les publicités sur Internet. De ce fait, le support papier a tout autant de chances d’être consulté qu’une publicité sur Internet, ce qui le rend particulièrement efficace.

Casino : la finance mondialisée à l’assaut d’un groupe français fragilisé

Fragilisé par sa dette, le groupe Casino est la proie depuis plusieurs mois d’attaques massives et répétées de fonds spéculatifs anglo-saxons. Alors que sa maison mère Rallye est entrée dans une procédure de sauvegarde, les salariés craignent d’être les premières victimes de ces spéculations.

Les attaques ont été d’une violence sans précédent. Les short sellers, ces fonds spéculatifs anglo-saxons qui utilisent la vente « à découvert » pour s’enrichir en faisant chuter artificiellement le cours de l’action, ont fait de Casino depuis plusieurs mois, voire plusieurs années, une cible privilégiée.

Déjà, en décembre 2015, le fonds activiste américain Muddy Waters avait attaqué Casino sur son endettement et la complexité de sa structure. Puis il avait relancé les hostilités à la fin de l’été 2018, entraînant dans son sillage plus d’une quinzaine d’autres hedge funds et provoquant une chute de l’action de 17 %. Une offensive massive et apparemment coordonnée, dénoncée par Jean-Charles Naouri, le PDG du groupe Casino, lui-même.

Certains fonds activistes anglo-saxons se sont en effet spécialisés dans cette stratégie de spéculation à la baisse utilisant les ventes « à découvert ». Chassant souvent en meute, ces « vautours de la finance » peuvent ainsi manipuler des volumes d’actions impressionnants, allant jusqu’à déstabiliser les entreprises visées.

Malgré la réduction drastique de la dette du groupe Casino – divisée par trois en quatre ans via un vaste plan de cession d’actifs non stratégiques, notamment immobiliers – et malgré les bons résultats annoncés en mars dernier qui viennent valider le business model du distributeur, en pointe sur le digital et le commerce de proximité, les attaques ont continué. L’action Casino restait toujours la valeur la plus « shortée » de Paris, les ventes à découvert représentant 35 % de son capital flottant le 23 mai dernier.

C’est d’ailleurs à cette date et pour se protéger des attaques répétées et de grande ampleur menée par ces fonds spéculatifs, dont Casino est la cible depuis de longs mois, que la société Rallye, actionnaire de contrôle du groupe Casino, ainsi que les sociétés Foncière Euris, Finatis et Euris, ont décidé d’entrer dans une procédure de sauvegarde. Une procédure qui suspend le service de la dette bancaire et obligataire pour une période de six mois – renouvelable deux fois – et qui va donc donner du temps à Rallye pour négocier avec ses créanciers.

« La procédure de sauvegarde va permettre à Rallye de travailler, sereinement, en concertation avec ses créanciers, à un plan visant à pérenniser son rôle d’actionnaire de contrôle du groupe Casino grâce à une structure de financement adéquate, durable et renforcée », a ainsi expliqué Jean-Charles Naouri aux salariés du groupe.

Casino n’est pas concerné par cette procédure et reste concentré sur l’exécution de son plan stratégique. Durant la période de sauvegarde, le distributeur n’aura plus à verser des dividendes élevés pour permettre à ses actionnaires (Rallye, Finatis, Euris) de payer leurs intérêts d’emprunts. Casino devrait ainsi pouvoir dégager plus de cash flow pour investir, poursuivre son désendettement et rassurer les marchés financiers. Et lorsque l’action Casino monte, la valeur des actifs de sa maison mère Rallye augmente, ce qui est aussi une bonne nouvelle pour ses créanciers.

Même s’ils ont bien compris la pertinence de cette stratégie, les salariés ne sont pas rassurés pour autant. Dans un groupe qui n’a jamais connu de plan social, les inquiétudes sont fortes tant les attaques de la finance mondialisée sont virulentes depuis un an. Les syndicats craignent que la société Rallye ne doive « céder des parts à des fonds prédateurs pour rembourser sa dette », ce qui représenterait « un vrai risque de démantèlement du groupe avec un fort impact social ». Les syndicats se tournent désormais vers les pouvoirs publics et leur demandent de tout faire pour empêcher un démantèlement du groupe : 75 000 emplois sont en jeu rien qu’en France. Compte tenu de l’émoi suscité, à raison, par les 1000 suppressions de postes à Belfort chez General Electric, le gouvernement serait bien inspiré de s’emparer rapidement de ce dossier.

Devenir rédacteur web : plusieurs solutions pour y parvenir

La rédaction web est un secteur de métier exigeant, demandant une excellente maîtrise de la langue française, une syntaxe parfaite, mais également de bonnes connaissances de matière de référencement, ou SEO. Le rédacteur web doit également disposer d’une bonne culture générale, être polyvalent et capable de s’adapter, mais aussi de s’organiser, car ce métier s’exerce généralement en tant que freelance. Nous allons justement voir dans ce guide comment devenir rédacteur web, et sous quel statut. Continuer la lecture de « Devenir rédacteur web : plusieurs solutions pour y parvenir »

Agences de notation : quand conflit d’intérêts rime avec manipulation

Devenues incontournables dans les médias depuis la crise financière de 2008, les agences de notation – principalement américaines – font et défont la destinée des entreprises, souvent sur fond d’attaques boursières et, parfois, de conflit d’intérêts. Bienvenue dans le grand bain.

« Moody’s abaisse la note de », « Fitch Ratings déplore que », « Standards & Poor’s attribue la recommandation négative à »… Les articles de la presse économique s’appuient très souvent sur les « analyses » des agences de notation. Dernière en date, Moody’s dégradant Casino, la valeur européenne la plus attaquée par les fonds vautours, jugeant l’endettement trop élevé, mais ne tenant opportunément aucun compte des efforts de désendettement réalisés en 2019. Un train de retard, mais une opportunité renouvelée de parier sur la baisse du cours pour certains fonds d’investissement aux aguets.

Les chefs d’entreprise concernés frémissent toujours à l’annonce des nouveaux classements. Pourtant, de nombreuses voix – souvent institutionnelles – remettent en cause l’omnipotence de ces agences qui peuvent faire chuter le cours d’une action d’un claquement de doigt. Souvent, les pratiques et le timing soulèvent quelques questions.

Les gendarmes des marchés veillent

La récente condamnation de Fitch* à 5,1 millions d’euros d’amende pour conflits d’intérêts est l’arbre qui cache la forêt. Car les exemples sont nombreux, fragilisant la confiance de nombreux opérateurs économiques. Ces derniers n’ont pas la mémoire courte, et se souviennent que toutes ces grandes agences avaient collé leur fameux triple A à des produits bancaires toxiques en 2007-2008. Non, les notations ne sont pas paroles d’Evangile. C’est en tout cas la conclusion que l’homologue américain de l’ESMA, la SEC (Securities and Exchange Commission), a tiré de l’affaire Moody’s en août dernier. Dans ce dossier, la SEC a, pour la première fois de son histoire, poursuivi une agence « pour ne pas avoir clairement défini son processus d’évaluation et de ne pas l’avoir appliqué uniformément ». Coût de l’amende : 16,25 millions de dollars.

Cette affaire est d’ailleurs particulièrement instructive. Moody’s a en effet été condamnée à deux titres : pour un manque constaté dans le processus de contrôle de l’évaluation de produits financiers disponibles sur le marché américain, mais aussi pour l’absence de définition de certaines classifications. « Les agences de notation jouent un rôle essentiel pour nos marchés financiers et doivent avoir des procédures de contrôle efficaces sur leur processus de notation, a alors réclamé Antonia Chion, directrice associée de la division Mise en application de la SEC. Des manœuvres manipulatrices et trompeuses compromettent l’intégrité de nos marchés. La sentence d’aujourd’hui témoigne de notre engagement de dénoncer des manœuvres transnationales souvent sophistiquées utilisées par certains investisseurs. » Derrière les « manœuvres », le gros mot est lancé : manipulation.

Qui dit conflit d’intérêts dit (souvent) ventes à court terme et à découvert

Conflit d’intérêts et ventes à court terme : sur les places financières, les deux phénomènes vont souvent de pair avec, dans le pire des cas, des cas de délit d’initiés avérés. Tout commence par une attaque boursière menée par un ou plusieurs shortsellers – vendeurs à court terme. Le processus de ces ventes à découvert est simple : un fonds d’investissement achète (ou emprunte) un nombre X de l’entreprise qu’il attaque, puis les revend à un tiers, étant convaincu que le cours de l’action de l’entreprise concernée va chuter. Le fait intéressant se produit ensuite : immédiatement après certains mouvements de vente à découvert massifs, entre en piste une agence de notation qui plombe l’entreprise en annonçant un abaissement de la note. Plusieurs explications à cette coïncidence viennent à l’esprit : soit l’agence de notation s’est alarmée d’un volume inhabituel de ventes à découvert, une hypothèse peu réaliste compte tenu des délais de rédaction de notes d’analyse ; soit, parmi les vendeurs à découvert, certains ont été informés de la teneur de l’analyse avant publication…  Quoi qu’il en soit, le cours dévisse ensuite, les fonds rachètent alors les titres en question à un niveau inférieur, empochant la différence. Plus le titre dégringole, plus le bénéfice est grand.

En octobre dernier, les patrons français ont d’ailleurs tiré la sonnette d’alarme auprès de l’AMF (Autorité des marchés financiers). Cette pratique, à la limite de la légalité, a fait sortir de ses gonds le président du MEDEF, Geoffroy Roux de Bézieux. Ce dernier n’a pas mâché ces mots, considérant les ventes à découvert comme « agressives » et « choquantes ». Les risques de collusion sont évidents, la synchronisation des attaques étant plus que suspecte. Ces deux dernières années plusieurs entreprises françaises en ont fait les frais à plusieurs reprises, comme Danone, Casino, Safran ou SFR.

Méthodes trop opaques, conflit d’intérêts et risques de délit d’initiés : les agences de notation se doivent d’être plus transparentes. « Alors que les notations sont censées émettre des opinions indépendantes, les régulateurs en ont fait un instrument de régulation, notent Aline Darbellay et Frank Partnoy dans leur publication Agences de notations et conflits d’intérêts (2012). En ce qui concerne la notation des dettes de société, les conflits d’intérêts sont relativement sérieux, étant donné les agences de notation sont généralement payées par les émetteurs devant être notés. » Ou, dans l’autre sens, par des entreprises désireuses d’affaiblir un concurrent…

(*) http://www.lefigaro.fr/flash-eco/l-agence-de-notation-fitch-condamnee-a-5-1-millions-d-euros-d-amende-20190328

Propriétaire : optez pour une gestion locative en ligne

 

En tant que propriétaire d’un bien, une multitude d’options s’offrent à vous pour le rentabiliser. En effet, vous pouvez choisir de louer votre bien à l’année comme résidence principale ou bien de façon saisonnière comme maison de vacances en passant par différents organismes. Cette dernière option est parfois compliquée à tenir sur le long terme, et de nombreux propriétaires préfèrent louer leur maison ou appartement comme foyer de vie. Seulement les locataires disposent de nombreux droits qui peuvent coûter cher aux propriétaires si ces derniers ne sont pas bien protégés par un bail fait dans les règles de l’art. Nous avons trouvé pour vous une gestion locative immobilière https://www.bailfacile.fr qui est adaptée à vos besoins à un prix défiant toute concurrence.

 

Pourquoi souscrire à une gestion locative en ligne ?

 

Nous le savons, louer un logement est source de nombreux aléas si cela n’est pas géré correctement et si le bail de location n’est pas impeccablement ficelé. Plus encore cela a un coût important et entraine généralement une perte des revenus locatifs. De nombreux propriétaires se tournent vers les services d’un notaire ou encore d’une agence immobilière mais les frais de notaire et les frais d agence en font une gérance très coûteuse. C’est pourquoi, une nouvelle option s’offre au propriétaire bailleur, celle de la gestion locative en ligne. Un moyen d’avoir une garantie locative efficace et peu coûteuse ainsi qu’un dossier de location impeccable. Lorsque vous faites appel à un professionnel immobilier, ce dernier va vous proposer deux types de contrat. Le premier étant la commercialisation où il va prendre en charge la publication de l’annonce, les visites, le tri des candidatures ou encore la rédaction du bail. Seulement, vous avez peu de liberté dans le choix des locataires qui vont être essentiellement choisis sur des critères financiers. Enfin, la dernière offre est celle de la gestion locative. De fait, il va être l’interlocuteur direct entre le propriétaire bailleur et les locataires. Ses fonctions vont de l’encaissement des loyers à la révision annuelle de ce dernier, en passant par la gestion des en cours de bails comme un suivi en cas d’impayés ou un suivi des travaux. Bien sûr tout cela a un coût pouvant aller parfois jusqu’à 12% de commission.

 

Les garanties d’une gestion locative en ligne

 

Une gestion locative en ligne est une façon innovante de gérer ses biens locatifs alors laissez-nous vous présenter BailFacile, l’outil qui va vous faciliter votre vie de propriétaire bailleur. En effet, avec BailFacile vous allez pouvoir optimiser votre temps, être plus rapide sur ces tâches administratives et immobilières mais surtout protéger votre patrimoine grâce à un outil pensé pour les propriétaires. Gérer un patrimoine immobilier est souvent une tâche répétitive tous les mois et pouvant être source de stress et de pression lorsqu’il faut gérer la relation avec les locataires mais aussi veiller au bon suivi des travaux ou à récupérer des loyers impayés. Avec BailFacile, vous disposez d’un interlocuteur unique entre vous et vos locataires qui va s’assurer de la bonne gestion de vos logements locatifs dans le respect de tous. Une mise en location implique beaucoup de tâches adminsitratives et voici en quoi BailFacile peut vous aider.

 

Tout d’abord, souscrire à BailFacile c’est avoir la garantie d’avoir des documents viables, conformes et personnalisables qui sauront protéger au mieux vos intérêts. En quelques clics, vous sélectionnez un modèle de bail et pouvez le moduler selon vos besoins. Jamais une rédaction de bail n’aura été aussi simple. D’autres documents annexes sont aussi disponibles pour vous apporter un support lors d’un état des lieux par exemple, ou des modèles d’avenants au bail, de quittances ou encore de cautions solidaires.

Ensuite, certaines tâches seront automatisées toujours dans le respect de la loi pour vous permettre de gagner du temps. L’heure de la fin des tâches répétitives à sonner. A chaque échéance vous recevrez dans votre boite mail les quittances ou encore les révisions de loyer, déjà complétée et prêtes à être transférées aux locataires. Une simple vérification du montant du loyer et c’est dans la boite.

Enfin, c’est aussi la certitude d’avoir un suivi et un contrôle personnalisé à tout instant. Bailfacile permet plus de 40 actions courantes de gestion de l’entrée dans le logement aux petits incidents de la vie courante. Vous disposez d’une interface intuitive et facile d’utilisation pour gérer au quotidien vos locations et aussi avoir une vision historique (ancien locataire, recherche de locataire, charges locatives…). Tout est présent dans l’interface pour vous permet de gérer le mieux possible vos locations et d’être le plus rentable possible. Les propriétaires ont maintenant une solution qui leur offre de nombreuses garanties.

 

 

 

Aéroports de Paris : qui se cache derrière les départements d’Île-de-France ?

La proposition des départements franciliens d’entrer au capital d’ADP pour éviter une privatisation passerait par… une vente partielle à un fonds d’investissement privé. Un projet pour le moins paradoxal, qui pourrait en fait transformer à l’avenir cet actif stratégique en cible permanente pour des investisseurs de toutes sortes.

 

C’est le quotidien Les Echos qui a révélé l’information le 4 mars dernier : les sept départements d’Ile-de-France (hors Paris) sont candidats pour devenir l’« actionnaire de référence » d’Aéroports de Paris (ADP). Objectif affiché par les collectivités : éviter la privatisation de cet actif stratégique et mettre en place un « plan B » pour empêcher la prise de participation majoritaire d’un grand groupe privé comme Vinci. Le projet consisterait à acquérir 29,9 % du capital d’ADP car au-delà de ce seuil, les candidats seraient obligés de lancer une OPA sur le reste du capital.

Une vente de gré à gré se substituant ainsi aux enchères et la « prime de contrôle » d’un à deux milliard(s) d’euros n’étant plus versée par l’acheteur dans ce scénario de prise de participation minoritaire, une telle opération engendrerait un manque à gagner conséquent pour l’Etat… Mais pour les collectivités, elle représenterait néanmoins un investissement d’environ six milliards d’euros. C’est pourquoi ces dernières prévoient de s’allier au fonds d’investissement Ardian. « L’idée qui a été émise c’est qu’il y aurait trois milliards d’euros d’emprunt, Ardian mettrait deux milliards et les départements, un milliard », a précisé Patrick Devedjian, président des Hauts-de-Seine. Pour éviter une privatisation, il s’agirait donc de vendre en partie l’entreprise à un fonds d’investissement privé. La cohérence d’un tel projet ne peut que susciter des interrogations, tout comme la carte de visite du partenaire choisi.

 

Faire d’ADP une cible permanente ?

En effet Ardian n’a pas hésité à céder, en avril 2018, sa participation de 49 % dans l’aéroport de Luton, au Royaume-Uni, cinq ans seulement après son acquisition. Selon des sources proches du dossier, la société d’investissement avait initialement l’intention de conserver son placement pendant une dizaine d’années, mais n’a pu résister à l’opportunité de valoriser son actif : une croissance de l’aéroport plus rapide que prévu et l’amélioration du rendement financier lui ont permis d’envisager une sortie anticipée… pour une somme d’un peu plus d’un milliard d’euros, soit deux fois plus que sa mise initiale. Manifestement plus tentant pour Ardian que de participer à un programme d’investissement et de développement sur le long terme des infrastructures aéroportuaires.

Ardian a également cédé en décembre 2017 un portefeuille d’actifs dans des infrastructures de plus d’un milliard d’euros, intégrant notamment la ligne à grande vitesse française Lisea, le réseau français de télécoms ferroviaire Synerail, l’A88 en France, l’autoroute espagnole M-45 et le distributeur de gaz italien 2i Rete Gas. La société d’investissement n’a pas hésité non plus, en février 2017, à remettre en vente les parkings Indigo, détenus conjointement avec Predica, deux ans seulement après leur acquisition. Les vendeurs en espéraient alors quatre milliards d’euros de la part du géant de l’acier chinois Shougang mais la vente a finalement été abandonnée.

Dans ce contexte, le risque pour ADP serait de devenir à terme une cible permanente pour des investisseurs de toutes sortes, sans possibilité pour l’Etat de contrôler l’entrée de nouveaux actionnaires. En août 2018, Ardian a ainsi vendu la société luxembourgeoise de l’énergie Encevo à l’entreprise publique chinoise de l’électricité China Southern Grid Power International. Quant au Club Med, on s’en souvient, il a été acquis en 2015, après une longue bataille boursière dans des conditions rocambolesques, par un consortium mené par Ardian et l’investisseur chinois Fosun. Ce fleuron français du tourisme est ainsi passé sous pavillon chinois. Une perspective qui serait encore plus inquiétante pour un actif stratégique comme Aéroports de Paris.

 

ADP, un actif financier comme un autre ?

Ex-Axa Private Equity, Ardian gère aujourd’hui 90 milliards d’euros d’actifs pour le compte de 700 investisseurs via des fonds très diversifiés. Souvent présenté comme « un fonds 100 % français », Ardian fonctionne en fait aujourd’hui avec une équipe de plus en plus internationale et présentant un fort tropisme américain, nombre de ses dirigeants étant basés aux Etats-Unis.

De même, qualifié par Les Echos de « grand gestionnaire d’aéroports habitué à des collectivités », Ardian ne possède en fait qu’une participation indirecte dans quelques infrastructures aéroportuaires en Italie. Mais surtout, son métier n’est pas celui d’un industriel ou d’un entrepreneur, c’est celui du private equity, qui consiste à maximiser le retour sur investissement de ses souscripteurs. Il est donc plutôt cocasse d’affirmer, comme certains n’ont pourtant pas hésiter à le faire, que cette alliance avec la société d’investissement permettrait de sortir d’une logique purement financière.

La logique d’un fonds de private equity est toujours d’acheter au meilleur prix, de gérer au plus serré et de maximiser son taux de rentabilité. Sa vision ne peut être celle d’un acteur de long terme car son métier consiste à viser un retour sur investissement de 20 à 25 % par an sur trois à cinq ans. La rentabilisation prime nécessairement sur les investissements d’avenir car l’entreprise en portefeuille doit être la plus attractive possible pour maximiser la plus-value lors de la cession, but ultime de l’opération. Un fonds d’investissement est programmé pour saisir les opportunités de valorisation.

Au-delà des menaces de prise de contrôle par des puissances étrangères, une entreprise comme ADP, spécialisé dans l’exploitation aéroportuaire, exige une stratégie d’investissement sur le long terme pour faire face à la croissance du trafic, ainsi qu’une vision industrielle et entrepreneuriale pour répondre notamment aux enjeux du développement durable, de l’innovation technologique et de l’optimisation des services aux clients. Aéroports de Paris ne peut pas être livré à des logiques financières de court terme. Non le Groupe ADP ne peut pas être considéré comme un simple actif financier à valoriser.