L’italien Massimo Marchiori est un professeur agrégé de mathématique ayant participé au développement de l’algorithme du moteur de recherche de Google. Il a ainsi décidé d’apporter une vision nouvelle en matière de moteur de recherche. Cette vision, il entend la concrétiser avec son projet nommé Volunia. Le projet Volunia ne sera pas une reprise de Google. Le professeur l’a affirmé. Il rivalisera avec les plus grands moteurs de recherche en ligne.
Massimo Marchiori et les secrets du projet
Massimo Marchiori n’a pas voulu donner plus de détails sur son projet car il est conscient que les plus grands structures pourraient le devancer sur le projet. Cependant, il n’a pas manqué de souligner que le projet est constitué sur une base simple mais qui va fortement se différencier de l’algorithme Google et des autres grands moteurs de recherche. En effet, le professeur Marchiori mise beaucoup sur les résultats obtenus lors des recherches. Il voudrait impliquer des recherches plus poussées. Ainsi, il positionnera son outil de recherche par l’utilité réelle qu’il apportera aux utilisateurs.
L’équipe de Massimo Marchiori
Massimo Marchiori s’est entouré de personnes ayant une grande expérience dans le domaine de l’informatique. De nombreuses personnes avec lesquels il a participer à l’élaboration de plusieurs projets innovants ont décidé de faire partir de cette magnifique aventure. Etant lui même un talentueux chercheur, il a travaillé sur la Platform for Privacy Preferences et sur le projet Web Ontologie Language (OWL). Pour le financement de son projet, il a fait appel à Mariano Pireddu. Cet entrepreneur de l’informatique est le propriétaire du cabinet de consulting Malloru.
Le positionnement des serveurs
Les serveurs du moteur de recherche Volunia seront fournis par Tiscali. Cependant, le chercheur n’a pas manqué de souligner que le fondateur de Tiscali Renato Soru n’est pas un investisseur dans le projet Volunia. Selon, Massimo Marchiori, le projet dispose de suffisamment de fonds pour les premières étapes et qu’il est encore trop tôt pour parler d’une arrivée de nouveaux actionnaires.