Les exploits filmés se succèdent à un rythme effréné. Internet devient la vitrine de cinéastes en herbe, au talent morbide et insufflant un phénomène bien malsain. Les sites communautaires de partage vidéos ne prennent pas leurs responsabiltés face à ces débordements constants.

YouTube, en laissant passer l'impensable, se met hors-jeu. La dernière vidéo du sordide est la goutte d'eau qui fait déborder le vase…

Ou va s'arrêter la bétise humaine ?

Au vu de tout le monde, cette dernière vidéo atteint des sommets dans le sordide.  L'auteur de ce funeste exploit relève du milieu psychiatrique, on ne peut accepter de telles situations. Anthony Anderson a dépassé les limites du supportable.

Madame Christine Lakinski, gisait sur le trottoir, inconsciente. La moribonde a été la victime d'un dépavré, qui n'a rien trouvé de plus intelligent, que d'uriner sur la mourante, en filmant son triste méfait. Le tout en vociférant :

"This is YouTube material"  1752.jpg

Voila une vidéo pour YouTube. Le mot dignité doit être absent de son vocabulaire, et le fait que cette vidéo a été diffusée relève de la faute professionnelle. Il faut arrêter le massacre, toutes les semaines, une nouvelle affaire vient secouer la toile. La politique de responsabilisation ne semble toujours pas d'actualité sur les sites de partage de vidéos. La facilité de pouvoir envoyer de telles images est consternante. Google, propriétaire de YouTube, doit assumer les errances de son acquisition. Quel spectacle pour les enfants…

Après l'évènement de Montluçon, ou quelques adolescents s'essayaient au jet de bébé, dans le hall d'un immeuble. L'inconscience est de mise. Sans la vigilance d'une brigade spécialisée de gendarmes, basée à Rosny-sous-Bois, cette vidéo aurait toujours figuré sur la toile…

Internet est-il en péril ?

La question se pose. Une évidence, les sites communautaires montrent leurs limites. Sans instaurer une politique de vigilance accrue, se responsabiliser face à ce fléau, ne pas toujours accuser les internautes de difffuser n'importe quoi…

La facilité démontre bien qu'aucun moyen efficace de sécurité n'existe. L'argent de la publicité doit être investi dans un comité de surveillance, qui mettrait à l'écart ces vidéos, en informant de suite, les services compétents, pour mettre fin à ces agissements. Les limites sont atteinte, l'épée de Damoclès pése sur leurs épaules. Une réaction est attendue, le seul mot d'ordre doit être :

Responsabilisation…surveillance.