La caméra du Parisien, placée de main de maitre, prête a immortaliser l'événement…Une belle mise en scène, qui ne fait que démontrer, une fois encore, l'avénement de la presse poubelle.

Pourquoi cet énergumène, soi-disant ne voulant pas être sali par le chef de l'Etat était là ?

Le salon de l'Agriculture, propice à une nouvelle cabale, répercutée par la magie d'Internet, à la vitesse de l'éclair, sans avoir seulement prit le temps de regarder "l'événement", à sa juste valeur…UNE MISE EN SCENE.

Le batiment permettait aisément à ce quidam d'éviter tout contact avec Nicolas Sarkozy. La caméra était prête, au bon endroit, face à l'altercation..L'innocence s'enfuit à toutes jambes face à ce déploiement de machiavélisme. Une oeuvre d'un bien mauvais goût,qui ne cesse de refléter cette envie malsaine, de faire un scoop,en utilisant des stratagèmes déplorables. La ficelle est tellement grosse et éculée, que de voir ce déferlement haineux s'immiscer de sorte devient révoltant. […/…]

 


La gauche, par l'entremise de François Hollande feint l'indignation, hurle au scandale. Il est vrai que le jésuite Mitterrand, agissant dans l'ombre, bien à l'écart dezs caméras, menant allégrement sa double vie, est représentatif d'un statut présidentiel. Alors de grace, messieurs les offusqués, balayez devant votre porte.

La réaction de Nicolas Sarkozy est peut-être entachée d'une erreur de style, quoique "pauvre con" est bel et bien présent dans les pages du Petit Larousse. Le commun des mortels se serait conduit de la même sorte, et pour beaucoup le malotru se serait retrouvé "avec un poing sur la gueule".

Je ne me souléve pas en tant que défenseur de Nicolas Sarkozy, mais tout simplement en tant que citoyen, exprimant son écoeurement devant cette conspiration. Ceux qui persistent a vouloir faire une polémique d'un "événement" mineur, monté de toutes pièces tombent dans le pathétisme.

LE SCOOP. Le seul mot à l'ordre du jour. La manipulation de l'incident prend des proportions dantesques. Le lecteur se doit d'interprêter les faits d'une manière détachée, faisant fi de ses rancoeurs face au chef de l'Etat. Je ne suis pas un fervent de la politique sarkozienne, mais cet homme a bel et bien était élu démocratiquement, par une large majorité. Cettte volonté de vouloir déstabiliser le Président, par des moyens peu flatteur, est consternante. François Hollande jouant les pucelles effarouchées, ferait bien de se replonger dans l'absence de programme du parti socialiste, que de lancer des quolibets tapageurs. Une attitude puérile à des lieux d'une rénovation de l'outil socialiste…

Le Parisien a eu son heure de gloire, quelques milliers d'euros pour obtenir l'oscar de la bétise. Heureusement, outre-Atlantique, Marion Cotillard rejoignait Simone Signoret au palmarés hollywoodien, une récompense largement méritée, tant sa performance touchait au suprême. On ne peut pas dire la même chose du Parisien, une performance de piètre qualité…et dire que ce torchon s'appelle un journal.