Le détenu et son chien

Mon attention a été retenue cette semaine en lisant un article paru sur Courrier International intitulé : « Le chien et le prisonnier ». Ce titre pourrait être tiré d’une fable de la Fontaine, avec à la clé une belle morale ! Mais, non cela se passe bien aujourd’hui, en Pologne, et dans une prison avec de vrais prisonniers. C’est un sujet tout à fait actuel. En effet, dans le cœur des discussions en ce moment, le gouvernement et notamment la ministre de la Justice Christiane Taubira, traite de la surpopulation des prisons, des peines carcérales, des récidives, des peines plancher, des peines de probation, de la réinsertion sociale… la nouvelle idée de la prison de Hajnowska, située en Pologne, est une peut-être une solution parmi bien d’autres solutions.

La proposition ?

La prison polonaise propose un programme qui permet aux prisonniers de s’occuper d’animaux dans les refuges de type SPA : chien, chat, chevaux mais aussi cochon, chèvre, lapin…. Des petits êtres faits de chair et de sang qui ont besoin de l’homme pour vivre. 

 

Fonctionnement ?

Placés en semi-liberté, les prisonniers en fin de peine peuvent travailler comme bénévoles dans le refuge : fabriquer des enclos, soigner les animaux, faire le ménage… Beaucoup de travail qui occupe l’esprit, aide à construire des relations sociales avec d’autres personnes et pourquoi pas donnent des perspectives de travail à la sortie de prison.

 

Le bilan ?

Après 3 ans de cette expérience inédite, le bilan se révèle positif, voire très positif. Un apport bénéfique pour l’équilibre psychologique des prisonniers, leur future réinsertion dans une vie normale et une reprise dans la société. Cette expérience leur apprend à communiquer, à prendre des responsabilités et à respecter autrui. 

Un condamné a même refusé de sortir de prison pour ne pas abandonner son chien et pour continuer à s’en occuper. Un autre aimerait se reconvertir professionnellement et construire des box pour les chevaux à sa sortie de prison.

 

La répression et l’enfermement sans apprentissage, sans éducation et sans avenir détruisent l’homme dans son essence, alors pourquoi pas trouver d’autres alternatives plus positives !

 

 

Le langage des grains de beauté

Vous avez un ou plusieurs grains de beauté sur le visage ? Savez-vous que cette petite tache noire a une signification selon son emplacement : front, menton, joue…  En tout cas, ce sont les indications fournies selon une étude réalisée par un homme savant, renommé mathématicien du XVIe siècle : Jérôme Cardan. 

Les femmes galantes et séductrices du XVIIIe siècle rajoutaient des grains de beauté appelés dans ce temps des "mouches", signes de beauté et d’élégance. Mais pour revenir à notre thème, le langage du grain de beauté, voici quelques pistes de significations, langage parfois différent entre les femmes et les hommes. Décryptons donc le langage des grains de beauté… 

 

Si le sujet vous intéresse, voici quelques interprétations selon Jérôme Cardan, à prendre toutefois avec des "pincettes"… 

 
Grain de beauté sur le front 

Homme / femme : signe de puissance, de fortune et de bonheur

 

Grain de beauté sur le sourcil

Homme : esprit subtil, bonne mémoire

Femme : quelques soucis d’argent

 

Grain de beauté sur le nez

Homme / femme : bon vivant, jovial qui aime les plaisirs de la vie

 

Grain de beauté sur la joue droite

Homme / femme : heureux en ménage

 

Grain de beauté sur la joue gauche

Homme / femme : une bonne dose de malchance dans la vie 

 

Grain de beauté sur le menton

Homme : vie agitée et difficulté en couple

Femme : séductrice

 

Il existe bien sûr d’autres interprétations des grains de beauté, celles-ci sont le résultat exclusif de l’étude de notre mathématicien Jérôme Cardan. 

Savez-vous que dans l’Antiquité, le grain de beauté avait une valeur divinatoire. Alors pure fiction ou existe-t-il une trace de vérité ? A chacun d’y croire ou non ! 

En tout cas, rien ne vous empêche de vous rajouter une petite "mouche" au bon endroit bien entendu, pour ajouter une petit "grain de folie" !

 

 

 

 

 

Transformer les poubelles en source d’énergie

Un concept récent et très innovant a été testé aux Etats-Unis : transformer les aliments périmés en énergie électrique.

Quand on sait que 40 % de la production américaine est jetée à la poubelle, on comprend que recycler les produits alimentaires et autres déchets paraît une idée géniale. 

En effet, que faire des produits avariés, cartons, papiers… non vendus ?
Une solution existe…

Système développé par une jeune entreprise de Boston, Feed resource Recovery, le processus est simple : les fleurs fanées, aliments ou viandes avariées, viennoiseries moisies mais également emballages plastiques, cartons… sont récupérés et passés dans un énorme broyeur. Ensuite, la masse récupérée est envoyée vers une machine trieuse qui extrait les matériaux non organiques comme le métal et le verre. Des eaux usées sont ajoutées ce qui produit une substance visqueuse, comme une bouillie. 

Le directeur adjoint, au service de l’ingénierie industrielle des magasins Ralph, une des plus anciennes et grandes chaines de supermarchés de la côte Ouest, décrit cette substance de « Milk-shake » de déchets. 

 

Comment est produit l’énergie ?

La bouillie est transférée dans des containers privés d’oxygène, et à ce moment les bactéries font leur travail. Elles transforment les déchets en méthane. C’est ce dégagement de gaz qui va servir de combustible pour alimenter les turbines et produire de l’énergie électrique. 

Rien n’est perdue ! La bouillie restante servira d’engrais bio. 

 

Bien que ce concept nécessite un investissement au départ, cela paraît une solution simple et naturelle. Et pourquoi pas, peut-être une idée à exploiter pour nos grandes chaines de supermarchés ?

Des méduses au menu ! Cela vous tente ?

Après les grillons caramélisés, les sauterelles façon vapeur, les vers sautés et autres insectes en tout genre, et si on mettait des méduses dans notre assiette ! Cette idée a germé dans l’esprit inventif d’une femme chef en restauration espagnole, Carme Ruscalleda. Selon cette professionnelle aux idées larges, les méduses seraient un produit gastronomique exceptionnel, un met appétissant, « une merveille » dit-on !

 

Les méduses, appelés plus scientifiquement les cnidaires, ne sont pas aimées, surtout dans la mer, car elles piquent ! Certaines méduses, rares heureusement, seraient même mortelles pour l’homme. En tout cas, elles rappellent sûrement de mauvais souvenirs à certains car elles ont des cellules urticantes qui irritent la peau. Ces animaux du milieu marin sont caractérisés par la présence de cellules capables d’injecter du venin plus au moins puissant selon la catégorie. On n’aime pas les retrouver sous nos pieds, mais elles sont très appréciées dans les assiettes depuis longtemps en Asie, surtout en Corée, Chine et Japon. Ils ont su les préparer à divers sauces et sous différentes formes.

 

Pourquoi pas en Europe, et dans nos menus français ? 

 

Leur consommation massive pourrait être une solution à leur forte invasion dans nos eaux salées. L’Organisation des Nations Unis pour l’alimentation et l’agriculture approuve d’ailleurs cette idée qui pourrait apporter une solution à la prolifération dévastatrice des méduses en mer Noire et en Méditerranée. 

Mais pour l’instant les méduses restent encore un plat d’exception. En effet, la préparation en cuisine pour les rendre consommables est long et minutieuse. De plus, la faible quantité de matière organique qu’elles contiennent, soit 1 % de matière organique contre 99 % d’eau, en font un aliment encore trop onéreux : trop de quantité à préparer pour faire une assiette de qualité et appétissante. 

 

La grande révolution des réseaux sociaux

Avec l’arrivée d’internet et la démocratisation des blog et sites, la diffusion des informations et actualités ne sont plus l’apanage des journalistes professionnels. Le développement des réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter… et autres… diffusent à grande échelle, au niveau planétaire, les informations presque en temps réel. Les lecteurs internautes ont accès aujourd’hui à un outil sans frontière et sans limite. Nous en profitons tous !

Qu’en pensent les médias traditionnels ?

Au début les réseaux sociaux ont été largement boudés et incompris par les professionnels. Mais depuis trois ou quatre ans environ les médias ont compris le grand intérêt qu’apportait le travail de blogueurs et des journalistes non-professionnels : une nouveauté dans l’art de l’écrit, un air frais, une relation plus accessible avec les lecteurs, une ouverture vers l’extérieur. La possibilité de laisser des commentaires invitent le lecteur à participer et à s’impliquer.  

 

Une participation active des citoyens

Lors des grandes catastrophes, comme par exemple le séisme au Japon, ou lors de tristes et malheureuses guerres, il n’est pas toujours possible d’envoyer sur place des journalistes reporter. Dans ces cas, la fonction des réseaux sociaux est indéniable ! En effet, l’information est transmise directement par les citoyens vivant sur place ce qui nous permet d’être informé de tous les évènements "en live". 

Quoi de plus direct ou de plus transparent ? 

 

Le grand avantage des réseaux sociaux est également de pouvoir échanger des idées avec d’autres internautes partout dans le monde et en temps réel. Une communication certes virtuelle mais qui a l’avantage d’élargir notre espace de connaissances et notre champ de vision. 

 

La fonction du journaliste

Le travail des journalistes consiste alors à vérifier les informations transmises, à les coordonner, à les ordonner pour en sortir la "substantifique moelle" (en référence à Gargantua de Rabelais dans lequel : "il invite le lecteur à approfondir le sens du récit, à rompre l’os et sucer la substantifique moelle".

  

Nous sommes tous un peu tous des journalistes en herbe, alors continuons à apporter notre grain de sable dans le désert…

 

 

Faut-il donner de l’argent de poche aux enfants ?

Toujours le même dilemme : est-il bon d’habituer les enfants à gérer leur argent et à engranger dans leur tirelire  "cochon" des économies pour leur apprendre la valeur de l’argent ? Ou faut-il au contraire les éloigner de toutes ces préoccupations financières ? Ils auront bien le temps d’approcher des euros plus tard !

Certains parents sont pour donner de l’argent aux enfants même depuis le plus jeune âge et d’autres sont absolument contre. Tentons d’analyser les deux approches. Ce qui est sûr est que cette question occupe une grande place dans les conversations familiales. 

 

Donner de l’argent est une marque d’indépendance et de liberté. 

Selon un sondage CSA réalisé en 2009, 40 % des enfant de 6 à 15 ans recevraient 19 euros en moyenne tous les mois et posséderaient déjà un compte épargne bien fourni (anniversaire, cadeau des grands-parents, noël…). La première motivation des parents est d’apprendre à leur enfant à gérer leurs économies.

Le bon âge est à partir duquel l’enfant est en mesure de savoir compter, lui donner de l’argent avant ne sert à rien car il n’a aucune représentation matérielle.

 

A partir de 15 ans, l’enfant devient un adolescent et ses besoins évoluent. C’est le bon moment pour lui procurer une carte bancaire pour qu’il puisse se sentir libre de ses achats, tout en ayant un oeil vigilant sur ses consommations. 

 

Il n’existe pas de conduite normalisée, tout dépend de l’enfant et de la façon dont les parents appréhendent la valeur monétaire. Ce qui est important, c’est que l’argent de poche doit servir pour acheter les à côté et non l’essentiel : nourriture, vêtement, jouet, loisir… 

Mais dans tous les cas, il est très important que l’enfant sache que l’argent ne "tombe pas du ciel" mais que cette liberté se gagne. 

Coquillages et crustacés !

C’est la pleine période pour déguster huîtres, coquilles Saint-Jacques et autres délices de la mer… Tant mieux, car tous les crustacés, et notamment les huitres sont des cocktails explosifs de vitamines et de protéines. 

 

Out les graisses !

Les fruits de mer ne contiennent presque pas de graisses (moins de 2% de lipides) et de sucres. Ils apportent en revanche entre 10 % et 18% de bonnes protéines et sont bénéfiques pour notre santé. Peu caloriques, riche en protéines et reconnus pour leurs vertus antioxydantes, ils recèlent une source importante de minéraux et d’oligo-éléments. 

 

Comment les conserver ?

Les fruits de mer vivants se conservent pas plus de 48 heures au réfrigérateur. Les huitres font exception car elles se gardent jusqu’à dix jours dans le bac à légumes.

 

Les fruits de mer peuvent être en contact de microorganismes nocifs pour l’homme, origine d’indigestion douloureuse. Lors de l’achat il faut donc être vigilant et vérifier que les produits soient vendus en rayon frais et présentés sur un lit de glace. Il faut s’assurer que les huîtres soient vivantes donc fermées.

A l’achat, il est conseillé de laisser les huîtres dans leur bourriche. Si l’on consomme les huîtres crues, il faut savoir que les bactéries se multiplient à un rythme important dans les mollusques morts. 

L’huître est-elle aphrodisiaque ? Nous attendons vos commentaires…

Concernant les coquilles Saint-Jacques, palourdes, moules… elles ne doivent pas baigner dans l’eau mais être enveloppées dans un linge propre et humide.

 

Petits conseils

Les huitres et les moules doivent être toujours bien fermées preuve de leur fraicheur. Les homards et araignées de mer doivent avoir les pattes repliées sous le corps et les yeux mobiles. 

Il ne faut donc pas hésiter à en profiter sauf en cas d’allergie. Les huîtres crues sont également déconseillées aux femmes enceintes et allaitantes.

 

Les bars à eaux : une tendance « so » chic !

Les bars à vins, tout le monde connaît ! Mais les bars à eaux ? Cette nouvelle tendance a fait son apparition récemment dans certains restaurants ou bars situés dans les quartiers chics de Paris : les "Water-bar", sans faire de jeu de mot !  Quels sont les services et produits proposés par ces bars d’un style nouveau et branché ?

Ces bars ou restaurants d’un nouveau genre proposent simplement des cartes à eaux allant des plus simples au plus recherchées et rares : des eaux de source avec des vertus thérapeutiques, des eaux à bulles chargées en minéraux… D’autres bars se sont équipés de machines permettant de propulser du gaz dans l’eau du robinet ou eaux minérales. Toutes ces eaux sont vendues dans des présentoirs en verre (pour ne pas dire "bouteille") élégants avec un prix qui correspond aux services (traduisez en langage courant : un peu cher).

 

Il existe des goûteurs de vin, des oenologues et pourquoi pas également des spécialistes de l’eau. Il existe plusieurs types d’eaux. Par exemple, savez-vous quelle est la différence entre une eau minérale, une eau gazeuse naturelle ou une eau gazéifiée ?

L’eau pétillante gazeuse naturelle provient d’une source volcanique, alors que l’on a injecté du gaz carbonique à l’eau pétillante gazéifiée lors de sa mise en bouteille. L’eau minérale est d’origine souterraine et fait partie d’une exploitation commerciale. Le marché de l’eau en tout genre se développe de plus en plus. Il suffit de s’en rendre compte en contemplant les étals dans les grandes surfaces. 

Mais les français fins connaisseurs de vins seront-ils adeptes de ces nouvelles boissons à consommer dans des bars ?

Ce qui est certain quand on sort de ces bars à eaux, est qu’il n’est nul besoin d’avoir peur de passer le barrage de l’alcootest !

 

 

 

 

 

 

 

 

Faut-il encore « donner la fessée » aux enfants ?

Cette question parait complètement désuète et d’un autre temps ! Pourtant, selon une étude de l’union des familles en Europe, plus de 80 % des français lèveraient la main sur leurs enfants, et cela concernerait toutes les classes sociales sans distinction ! Affolant comme information ! 

 

Faut-il pour autant voter une loi contre la fessée ?

Une loi ne changerait pas les vieilles mentalités souvent ancrées depuis l’enfance. On a tous entendu les expressions populaires "qui aime bien châtie bien" ou "une fessée n’a jamais fait de mal à personne"… Il n’existe pas de formation pour devenir parents, et souvent lever la main est un réflexe naturel, par manque de temps ou par agacement. Une gifle ou une fessée ne règle pas le problème, bien au contraire elle l’amplifie ! De plus, ce genre de rapport de force édifie des barrières qui deviennent des murs. Le pire est que l’enfant adulte reproduit l’éducation qu’il a connu. Brisez la chaîne ! Seules la communication et les explications avec l’enfant ont des effets bénéfiques, peut-être pas à court terme mais à moyen terme assurément. 

De plus, si une loi était votée, qui dénoncerait le parent infligeant une fessée ou une gifle à son enfant ? Le voisin, le petit frère ?  

 

Il faut néanmoins se pencher sérieusement sur la question, car selon les psychologues, toutes violence physique même bénigne (tape sur la main par exemple) est une atteinte à la dignité humaine. 

Alors que faire face à un enfant turbulent ? La meilleure solution serait d’isoler l’enfant dans sa chambre pendant quelques minutes et de dialoguer avec lui. 

Pas toujours facile d’être parents ! L’éducation top est d’avoir une attitude toujours cohérente et équilibrée avec l’enfant pour qu’il puisse se créer ses propres repères. 

Faut-il supprimer la case « Mademoiselle » ?

Deux associations féministes ont lancé un grand débat visant à supprimer de tous les documents administratifs la case discriminatoire "Mademoiselle". Elle préconise seulement le choix entre les deux sexes : Monsieur ou Madame. En effet, ce terme "Mademoiselle" est considéré comme une indiscrétion sur la vie privée et désigne une femme célibataire, donc non mariée et sans enfant, ce qui n’est pas toujours le cas surtout aujourd’hui. Ce terme reste une particularité bien française qui n’existe pas dans les pays anglophones. Pourquoi la France conserve cette appellation ?

 

Un peu d’histoire…

En France, et sous l’ancien régime, Mademoiselle ne signifiait pas un état civil mais un titre de noblesse. Cette signification a changé à partir du XVIIème siècle et a donné sons sens actuel au mot, c’est à dire une femme non mariée, sens considéré comme péjoratif par certaines femmes. En effet, à partir de cette date, les femmes non mariées et arrivant à un certain âge étaient considérées comme "vierges à marier", une image plutôt dévalorisante.

Ce terme n’a aucune valeur légale juridiquement. Pourtant, aujourd’hui il n’est pas rare de cocher la case célibataire, même à plus de 40 ans et avec des enfants à charge. Etant considérée comme célibataire, vous recevrez sûrement un courrier au nom de "Mademoiselle". Cette dénomination peut flatter ou choquer selon l’âge et le ressenti de chaque personne.

 

Dans la conversation courante, les femmes passées l’âge de la quarantaine se font appelées Madame. Seuls les documents administratifs trahissent la condition maritale. D’ailleurs, il n’existe pas de case "Damoiseau" pour désigner un jeune homme non marié. 

 

Pour certaines femmes, le concept "Mademoiselle" garde un charme un peu vieux jeu. Pour d’autres en revanche, ce terme est une véritable discrimination ! Qu’en pensez-vous Mesdames ou Mesdemoiselles ?