Avec l’arrivée d’internet et la démocratisation des blog et sites, la diffusion des informations et actualités ne sont plus l’apanage des journalistes professionnels. Le développement des réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter… et autres… diffusent à grande échelle, au niveau planétaire, les informations presque en temps réel. Les lecteurs internautes ont accès aujourd’hui à un outil sans frontière et sans limite. Nous en profitons tous !

Qu’en pensent les médias traditionnels ?

Au début les réseaux sociaux ont été largement boudés et incompris par les professionnels. Mais depuis trois ou quatre ans environ les médias ont compris le grand intérêt qu’apportait le travail de blogueurs et des journalistes non-professionnels : une nouveauté dans l’art de l’écrit, un air frais, une relation plus accessible avec les lecteurs, une ouverture vers l’extérieur. La possibilité de laisser des commentaires invitent le lecteur à participer et à s’impliquer.  

 

Une participation active des citoyens

Lors des grandes catastrophes, comme par exemple le séisme au Japon, ou lors de tristes et malheureuses guerres, il n’est pas toujours possible d’envoyer sur place des journalistes reporter. Dans ces cas, la fonction des réseaux sociaux est indéniable ! En effet, l’information est transmise directement par les citoyens vivant sur place ce qui nous permet d’être informé de tous les évènements "en live". 

Quoi de plus direct ou de plus transparent ? 

 

Le grand avantage des réseaux sociaux est également de pouvoir échanger des idées avec d’autres internautes partout dans le monde et en temps réel. Une communication certes virtuelle mais qui a l’avantage d’élargir notre espace de connaissances et notre champ de vision. 

 

La fonction du journaliste

Le travail des journalistes consiste alors à vérifier les informations transmises, à les coordonner, à les ordonner pour en sortir la "substantifique moelle" (en référence à Gargantua de Rabelais dans lequel : "il invite le lecteur à approfondir le sens du récit, à rompre l’os et sucer la substantifique moelle".

  

Nous sommes tous un peu tous des journalistes en herbe, alors continuons à apporter notre grain de sable dans le désert…