Le Lider Maximo n'a pas perdu sa verve révolutionnaire. Le leader cubain, de retour sur le devant de la scène, est toujours aussi virulent envers l'ennemi de toujours, l'Amérique.

El Commandante taxe les Etats-Unis d'avoir entrepris une vaste démarche dans la désinformation. Le onze septembre…

Fidel Castro ne s'est pas présenté sur le plateau de la télévision cubaine, un présentateur relayant le discours de l'emblématique révolutionnaire. En épousant la théorie du complot, Fidel Castro rejoint le cercle, de plus en plus grand, des personnes affirmant que le Pentagone a été touché par un projectile et non pas par un avion.

"On sait aujourd'hui qu'il s'agissait de désinformation. Si l'on étudie l'impact des avions, comme ceux qui ont touchés les Tours jumelles, ou comme ceux qui se sont accidentellement écrasés sur des villes densément peuplées, on peut en conclure, que ce n'est pas un avion qui s'est écrasé sur le Pentagone".

La propabilité de l'information commence à définir le grand mensonge du gouvernement Bush. Des journalistes avaient photographié le Pentagone, après que l'avion mystère se soit écrasé. Stupeur, aucun débris d'avions, la pelouse du Pentagone intacte. Dans un de mes articles précédents, les photos étaient présentes et étalaient la sinistre vérité.

Le Lider Maximo termine son allocution et ne fait que conforter les nombreux partisans de la théorie du complot.

"Seul un projectile est en mesure d'avoir pu provoqué ce cratère de forme géométrique, qui est soi-disant l'oeuvre d'un avion. Nous avons été dupés comme le reste des habitants de cette planéte".

El Commandante n'a cité aucune fois le nom d'Oussama Ben Laden. Le gouvernement de Georges W Bush va bien finir par devoir fournir des explications, un peu plus convaincantes. Le peuple commence à se poser bien des questions, outre-atlantique. La supercherie, le mensonge entourent cette affaire. Les innocents qui ont perdu la vie réclament que "Justice soit faite".