Un 14 juillet qui restera ancré dans les mémoires. Nicolas Sarkozy, animé d'un sentiment gaullien profond, a donné une nouvelle dimension notre fête nationale.
Un vent de réunification planait sur le défilé. La présence des 27 membres de l'Union européenne, une première dans les annales de la communauté européenne. Le chef de l'Etat insuffle une énergie nouvelle, qui semble communicative.
Les médisants taxeront le président de populisme, d'hyper-présidentialité, etc.. Le chef de l'Etat semble toujours la proie d'une idéologie passéiste, n'ayant toujours pas assimilé le pourquoi de leurs échecs répétitifs. Nicolas Sarkozy, lors de la garden-party élyséenne, donne un aperçu de sa simplicité. Présentant les membres de son gouvernement, la fierté que lui inspire ses troupes, un récital orchestré avec maestria. Un hommage à la beauté de Cécilia et de Judith (la fille de Cécilia). Un hommage aux 2000 anonymes présents, héros d'un jour ou victimes des aléas de la vie. La sobriété, en présence de Guillaume, un jeune garçon handicapé, tout en évitant le piége de la mièvrerie. Le concert de Michel Polnareff, invité et fier de représenter une image de la chanson française… La Sarko-attitude s'empare de l'Hexagone !!