Dans un entretien a paraitre, dans le JDD, Yannick Noah s'en prend vertement au chef de l'état. Au moment même où il reprend la pole position de la personnalité préférée des français.

Yannick avait apporté son soutien, lors de la campagne présidentielle, à Ségolène Royal. Les mots fusent… éreintant le chef de l'Etat.

Pour certains, Yannick Noah, clame haut et fort, la pensée de certains français, pour d'autres, la prise de position de l'ancien tennisman…scandaleuse. La liberté d'expression fait partie de notre patrimoine, donc atteste la légitimité des propos tenus par Yannick Noah. On peut lui reprocher de manquer de substance, dans cet interview, mais il faut bien reconnaitre certaines vérités.

"Tout me choque dans l'action du chef de l'état… L'attitude, le ton, l'arrogance… la désinformation. Le déballage de la richesse, le cynisme… Le roi avec sa cour de courtisans."

Le chanteur affirme que pour les festivités du 14 juillet, au Champ de Mars, il avait été contacté. Yannick avait alors demandé quatre fois le prix proposé…. Le lendemain, un coup de téléphone…l'avertissant que sa proposition était acceptée… Yannick se gaussant de sa fausse proposition… Une forme de remake, du pavé qu'Yves Montand avait provoqué lors d'un passage à la télévision, TF1 en l'occurence, sous fond de gros sous…

Les mots fusent, teintés d'ironisme et vont certainement provoquer une réaction.

Yannick, de son statut de vedette, peut-il se permettre d'éreinter le chef de l'Etat ?

Que pensez vous de l'engagement de certaines vedettes, dans le milieu politique ?

Les opinions seront certainement divergents…

L'hypermédiatisation du chef de l'Etat attise une vague contestataire, et bien légitime…

Nicolas Sarkozy n'outrepasse-t-il pas son devoir de chef de l'Etat ?

Le déballage médiatique autour de sa vie privée n'est-il pas une forme de manipulation ?

A chaque événement, grèves, visites contreversées, etc…., la chronique est alimentée par la vie privée du chef de l'Etat. De Cécilia en passant par Carla, les femmes masquent …l'évènement.