Les condamnations pour recel de biens sociaux ne comptent pas en politique, pas plus le fait de ne pas payer ses PV. Aujourd’hui celui qui percevait pas moins de 8900 Francs en 1986 pour un poste fictif de formateur permanent et qui a été condamné pour cela en 1998 à 18 mois de prison et 30 000 francs d’amende (seulement quatre mois de salaire bien réels) devient secrétaire général du parti socialiste et donc potentiellement présidentiable.
Sous François Mitterrand, la justice, lui avait permis, d’effacer une dette de 80 000 francs qu’il devait au trésor public pour ne pas avoir payé ses PV de stationnement. Avez-vous essayé, vous, Français moyens, travailleurs honnêtes d’échapper au règlement de vos procès-verbaux, pas toujours justifiés ! L’idée même ne vous a pas effleuré. Pouvez-vous, recevoir un salaire conséquent sans aller vous user au travail ? Non bien sûr ! Mais c’est tout à fait normal, car vous n’appartenez pas à l’élite Française, à ces clans politiques où règnent des lois et des avantages sociaux interdits à la population soumise et incrédule Française. Mais attention de ne pas trop les attaquer, on risquerait d’être accusé de racisme envers la « Race » des seigneurs.
Julien Dray et Harlem Désir, tous deux issus des mouvements « Trotskistes » s’engagent activement dans l’association « SOS Racisme », association soutenue par le parti socialiste qui instrumentalise le racisme en France. Un slogan est né sous la plume du journaliste Didier François « touche pas à mon pote » La noble cause de SOS Racisme qui combat les discriminations raciales et l’antisémitisme redore le Blason de Harlem Désir qui en a pris la présidence. Bien que cette association, ait été créée officiellement à partir de prêts étudiants (100 000 €), la rumeur persiste pour un financement occulte en provenance de l’Elysée. Le financement de cette association est au jour d’aujourd’hui essentiellement assuré par les dons des adhérents et par des subventions gouvernementales : ministère de la jeunesse et des sports – ministère de l’éducation nationale – mairie de paris etc… Le montant total avoisine les 900 000 euros (rapport de vérification et de contrôle – journal officiel)
On oublie aussi que, quand il était à la tête de « Touche pas à mon pote », l’association avait été épinglée pour discrimination car elle refusait de venir en aide à certaines ethnies.