LOI D’AIDE ET D’ASSISTANCE AUX ÉLUS

 Proposition de loi

écrite le 24 Juillet 2011 à 06:16

Loi d’aide et assistance au élus

Préambule

Indépendamment de la division par 6 du nombre de députés, sénateurs et bien d’autres réajustements.

Force est de constater que la gauche n’a pas le monopole de la trahison. Les élus de tous bords sont faillibles quelles que soient leurs intentions réelles ou supposées aux cours de leurs mandats respectifs.

Du temps de la Grèce antique la démocratie directe a pu s’appliquer du fait qu’un petit nombre de citoyens constituait la république d’Athènes, aujourd’hui les moindres nations dites démocratiques, dont la française, comptent des millions, des dizaines voire des centaines de millions d’individus susceptibles d’aller aux urnes et ainsi voir diluer dans une cacophonie invraisemblable leurs volontés et décisions, sans oublier le fait qu’il est impossible de tenir au courant de tous les faits et gestes des élus et de leurs attachés fonctionnaires ou non, les citoyens de tous horizons.

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Supprimer le Sénat ! Stop aux idées reçues !

Je reprends ma plume après plusieurs années sans écrire. En ces temps de disette et de cure d’austérité, nous sommes embarqués dans une valse sans arrêt dissonante qui peut faire fait perdre le bon sens.

   La nécessité de faire des économies à tous les échelons se fait sentir : les piques sont sorties et on frémit à l’idée de pouvoir y mettre quelques têtes sanguinolentes. En cette année 2014…le débat revient sur le Sénat !

      Que de débats autour de son utilité ! Et que ne bave t-on pas sur les économies prétendues si on supprimait cette institution, que d’ailleurs beaucoup ignore aujourd’hui le fonctionnement. Qui savait dire que le mandat d’un sénateur n’était plus de 9 ans mais de 6 ans ?

Si la caricature des sénateurs « bien gras » à l’image de MM Raffarin ou Larcher est bien ancrée dans l’inconscient collectif, c’est qu’il y a bien une raison. La légitimité de remettre en cause la rémunération par rapport à l’efficacité de ces « super-élus » qui dorment souvent et laissent le palais du Luxembourg plus souvent vide que plein n’est plus à démontrer. Et c’est l’entrée du Front National qui donne la sentence du troisième tour présidentiel.

 

Modèle contre modèle

   Et quand les politiques nous martèlent un modèle allemand pour modèle économique que le peuple rejette car contraire à ses acquis, celui-ci brandit le modèle américain aux politiques concernant les institutions. Ceux qui revendiquent l’américanisation ne s’aperçoivent t’ils pas du contresens et que cela sera forcément rejeté de nos élites ?

 

   Le débat s’active à la fois au niveau politique qu’il faut rénover politiquement le Sénat ; pour la population c’est clair, il faut le supprimer et diminuer le nombre députés, ce serait plus simple et économique.

   Ces arguments sont défendables et plein de bon sens pourtant prendre pour exemple le modèle américain pour argumenter parait contre-productif.

   Il est facile de se procurer les chiffres des indemnités des élus en France et de faire la comparaison :

France (1) : 927 élus dont 350 sénateurs et prenons au plus large des chiffres avancés 13 340 euros bruts/mois/sénateurs…oui, le total fait peur et reste scandaleux pour l’image rendue de leur fonction, sans parler des députés, ni du reste.

   Il est beaucoup plus compliqué de fournir la même précision pour le modèle américain souvent cité en comparaison :

Etats unis: 535 élus, dont 100 sénateurs…et plouf, les « indemnités » ne sont pas simples à obtenir.

   Néanmoins un fait est évident, les élus des américains sont riches, très riches et cela fait débat ! Si le nombre d’élus aux « states » est moins important  la fortune accumulée est proportionnellement plus importante. Le site rtbf.be (2) rapporte par exemple qu’en 2012, la moitié du congrès américain (donc des élus) avait un revenu net supérieur à un million de dollars américain…

   En 2011, le Figaro (3) le dénonçait déjà, donc cela ne va pas en s’améliorant. Certes les américains sont plus « soft » en nombre mais le sont il plus en « salaire »  quand ils deviennent d’année en année millionnaire alors que leur peuple se paupérise ?

   Le résultat que l’on attend de nos sénateurs par rapport à leur coût n’est pas irréprochable mais ceux qui demandent le modèle institutionnel américain, ne demanderaient-ils pas une poutre à la place d’une paille ?

   Si nous demandons à nos élites d’adopter le même concept numéraire, ne vont-ils pas adopter le même concept pécuniaire ? Car qui fait la loi ? Le peuple propose, eux légifèrent que s’ils n’y trouvent des avantages aussi (réélection, maintien d’acquis, etc…). Tout cela pour le même résultat institutionnel bien évidemment, car américain n’est pas français.

   Ce n’est pas pour rien que la France est connue pour son foie gras, le Sénat risque donc bien de rester longtemps en place à son état. Les Sénateurs n’ont pas de soucis à se faire, ils resteront bien dans leurs sièges comme dans des écrins. 

   Les piques seront au final rangées, c’était pour animer le débat. Il est loin le temps ou l’on croyait encore aux « sans culottes » et aux bonnets phrygiens, aujourd’hui les « sans-dents » n’en n’arriveront pas là car ils n’en n’ont pas l’injonction !

   Mais rien n’est perdu. Renouvelons sans cesse les élus et nous renouvellerons le Sénat, enfin si les politiques le veulent bien.

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La laïcité, principe pour le peuple ou pour le pouvoir ?

Déterminée par les forces politiques françaises comme l’un des enjeux du XXIème siècle, l’intégration des communautés musulmanes en France, République laïque, ne cesse d’alimenter des débats et des conflits.

Mené en parallèle des nombreuses Révolutions arabes, ce martèlement de la laïcité sur le sol français n’est pas évident, alors que les courants islamistes se succèdent. Ces derniers, qui se construisent notamment par opposition aux sociétés occidentales, attirent bon nombre de personnes dans leurs filets.

Mais alors, contre qui se bat la laïcité ? Est-elle tout le temps justifiée ou pertinente ? 

Ces deux problématiques guideront mon article, qui ne relève pas d’une prise de position définitive et prétentieuse, mais des questions que je me pose à l’heure où le procédé de langage qu’est l’amalgame règne sur le paysage français. 

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Vers une nouvelle République ?

Scandales à répétition, Président de la République désavoué, Institutions bafouées, le moral des français en berne et les perspectives d’avenir au point mort, bref, le chaos total aussi bien chez nos élites que dans nos petits foyers.

Qui aujourd’hui ne rêve pas secrètement de tout renverser, ne vous êtes vous jamais posé la question "et moi si j’y étais, qu’est-ce que je ferais ?", la réponse pour de nombreuses personnes est bien celle du ménage. 

Aujourd’hui plus que jamais, nous sommes proches d’une implosion politique, sociétale, alors au lieu de subir, essayons de réfléchir un tout petit peu, le leitmotiv de cette colonne sera un proverbe latin "Scienta potentia est" que l’on peut traduire par Savoir c’est pouvoir, ainsi, si vous savez et que vous subissez, vous ne pourrez vous en prendre qu’à vous-même.

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J’ai mal à la République

Après les présidentielles, on nous a promis que le changement arrivait et que la France allait se relever pour le bien-être de tous les Français. Les législatives sont là, et que constate-t-on ? Que la République va mal et que la démocratie n’a plus beaucoup de sens.

 

Alors que la crise s’aggrave, on nous endort avec du pain et des jeux. Alors que la soap américain Amour, Gloire et Beauté fête ses 25 ans et connaît un immense succès mondial, on a l’impression que le gouvernement s’inspire de cette série pour nous tenir à l’écart des vrais problèmes. En effet, que dire du tweet de Valérie Trierweiler ? Les féministes devraient s’en choquer, car on régresse. La France est retombée au Moyen-Age : le président est un roi, qui a une cour et de nombreuses courtisanes. Sa favorite protège donc ses intérêts en voulant éliminer ses rivales. D’ailleurs, l’insistance de V. Trierweiler pour ne pas se faire appeler « Première Dame » mais « First Girldfriend » montre bien son envie de ne passer que pour une courtisane ! La condition féminine se rabaisse au rang de femme-objet qui ne doit compter que sur ses charmes pour s’en sortir, pas très glorieux tout ça.

 

Mais la polémique permet de faire vibrer la classe politique car c’est un bon prétexte pour parler d’autre chose que d’austérité. On en profite pour interroger les Français sur ce sujet, ce qui permet de les impliquer un peu plus dans une affaire stupide qu’on devrait passer sous silence mais au moins, on les maintient dans le principe des émissions de télé-réalité et on leur vend du rêve. Si notre président avait un peu de courage et d’honneur, il ne laisserait pas passer un tel affront ! Qu’attend-t-il pour rompre ? Je regrette mais quand on occupe un poste aussi important, les chamailleries des maîtresses portent préjudice à tout le pays et il faut être ferme, l’amour ne rentrant plus en compte. On voit bien que la classe politique actuelle n’a plus aucune conviction, plus aucun honneur, plus aucune valeur et qu’il s’agit simplement de communication, le scandale étant toujours un élément positif car cela fait parler des gens et permet aux autres de toujours se souvenir d’eux, qu’importe que cela soit en bien ou en mal.

Autre fait choquant pour la république et la démocratie : le front anti-FN. Je suis désolé mais aucun parti n’a été interdit, il est donc inadmissible de chercher à tout prix à en exclure un. Surtout quand on n’agit pas de la même façon avec d’autres partis aux thèses tout aussi discutables. Nos lois s’appliquent à tout le monde, que cela plaise ou non nous sommes tous égaux. Qu’on déclare, preuves à l’appui, le parti interdit (mais alors il faudrait le faire pour d’autres) sinon c’est une conduite purement hypocrite et anti-républicaine. Mais c’est une tendance actuelle de la politique : on ne débat plus sur les idées car on n’en a pas, ni sur les problèmes et leurs façons de les résoudre car elles n’existent pas. Il faut donc débattre sur les gens et faire monter la haine en faisant peur aux électeurs. C’est vraiment dramatique pour la démocratie car nous vivons dans un pays ou la liberté d’expression et d’opinion existe, or on cherche a imposer une pensée bipartiste voire unique. On se rapproche petit à petit de la dictature si on n’y prend pas garde !

 

Enfin, concernant l’éducation, que se passe-t-il ? Les seules mesures urgentes et concrètes pour régler les problèmes ne sont que rallonger les vacances de la Toussaint ? De qui se moque-t-on ? Là encore, un débat est ouvert afin de disperser encore un peu plus l’opinion publique sur des sujets futiles à l’opposé du quotidien de la majorité des travailleurs. C’est bien, on risque de donner deux semaines de vacances aux élèves juste après la rentrée : comme ils n’ont rien fait à cette époque de l’année (ou presque), il va falloir les occuper quelques jours de plus. Mais comment faire quand on n’a pas d’argent et encore moins de temps ?

 

La République Française est en pleine souffrance : elle a mal, elle agonise presque alors qu’on lui avait promis la rémission. Alors on cache ses maux sous des tonnes de pansements grossiers afin de ne pas voir ses plaies qui suppurent. Moi qui croyait qu’on allait enfin écouter ce que le peuple a à dire…

« Retour à l’envoyeur »

 Depuis quelques temps, cette image circule sur les réseaux sociaux et en particulier sur facebook où les partages se font nombreux. 

Et si nous étions nombreux à le faire, si nous nous associons pour faire cette bonne blague à notre actuel président, lui qui depuis 5 ans nous a bien fait rire, le principe du retour à l’envoyeur ne serait que plus sympathique !

 

Donc voici la fameuse photographie explicative, sur la page où je l’ai trouvé il y avait déjà 2244 partages sachant que ce n’était pas la seule personne source donc nous pouvons imaginer qu’un bon nombre de personnes sont en accord avec cet idée, mais aussi que via ce réseau virulent, ils ont informé également tous leur amis.

A l’image des rendez-vous facebookiens où des dizaines voire des centaines d’individus se retrouve dans un lieu précis pour une action bien précise, nous verrons donc peut être prochainement sur le petit écran le récit plutôt comique de cette petite action.

Ceci peut être vu comme une alternative au vote blanc pour signaler notre mécontentement, évidemment, lorsque l’on souhaite voter "utile" nous délaissons la voie du vote blanc pour signaler notre désaccord, cette action est un moyen de nous exprimer sans pour autant gâcher un vote et qui aura peut être beaucoup plus d’audience ! 

 

A vous de jouer !

 

 

 

République en morceaux…

L’affaire continue : voici que le tueur que je ne nommerai pas (je serai trop grossier !) est supposé avoir été un informateur de la D.C.R.I. Rumeurs, contre-rumeurs : saura-t-on un jour, la vérité ?

Quoiqu’il en soit, le malaise créé par ces faits n’est pas prêt d’en finir et de polluer la campagne présidentielle. Et le climat tout court (déjà délétère) qui court dans la société française.

La preuve en est une « manifestation à la mémoire » du tueur, par un groupe de jeunes à Toulouse. Les adeptes de la victimisation font feu, décidément, de tout bois !!

Comment ne pas relier ces révélations avec le comportement de nombre de petites frappes qui continuent presqu’ impunément leurs petites frasques et incivilités sous prétexte qu’ils sont des indics de la police ?

On nous répondra qu’on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre, mais là, en l’occurrence, si l’affaire se révèle vraie (le saura-t’ont…) : c’est une sacrée bévue !

Mme Le Pen ne s’y s’est pas trompée qui, aussitôt, s’est emparée de l’affaire. Et ça lui réussit plutôt au vu d’un regain de popularité dans les sondages.

Soyons juste : cette affaire, même tristement et politiquement exploitée révèle un malaise profondément ancrée dans la société française qui est celui du refus d’intégration de certains dans le schéma républicain.  

La République, pour certains, c’est le RSA, les allocs et la CMU. Et aussi, le communautarisme, le repli sur soi, la jalousie de l’autre. Point barre. Pour le reste, on repassera.

Pour celui qui habite la banlieue et qui côtoie, au quotidien, des individus, jeunes et parfois moins jeunes, qui n’ont comme autre occupation que de narguer et provoquer autrui, c’est une douloureuse réalité. Si vous la couplez avec un manque de perspectives qui les condamnent à rester prisonniers de ces zones urbaines, vous leur enlevez toutes espérances et les envoyez directement dans la besace des plus populistes et extrémistes.

Dommage que ce constat soit rejetée comme trop populiste par les uns et ne soit bon qu’à être exploité politiquement par les autres, car, en attendant, le problème ne se règle pas.

 

 

Halal ou Casher ?

Halal et Casher : Mais pourquoi voudrait-on interdire cela ? Les ¾ des gens n’en ont rien à faire, c’est clair. Les traditions, flirtant, entre nous, allégrement avec la superstition sont le cadet de nos soucis au quotidien.

Que des gens ne veulent pas manger de porc, ou, si on va plus loin, de viande, de produits laitiers, d’abats pour les raisons qu’ils veulent : c’est leur problème, ça n’a rien à faire dans le débat public.

Le seul truc : c’est qu’on ne m’impose pas de ne pas manger de porc. Après, je m’en fous un peu. Si quelqu’un peut croire que c’est impur, ou que son Dieu lui interdit, libre à lui d’y prescrire.

Surtout que le problème ne se pose pas là. Il est bien plus insidieux que cela. Le communautarisme fait des ravages sans que l’on y prête vraiment attention. Il gangrène le lien social, le vivre ensemble.

On en parle et, tout comme l’Arlésienne, on ne voit rien venir pour le régler. Encore un truc à mettre au crédit de nos « efficaces » représentants politiques.

Il ne s’agit pas de défendre une conception « franchouille » de la république, mais surtout d’être vigilant à ce que ses principes ne soient pas attaqués par des tiers qui ne supportent pas la différence de l’autre et utilise la victimisation comme une arme.

Agresser l’autre sous prétexte qu’il est « chinois » par exemple et que les chinois ont de l’argent parce qu’ils travaillent, me paraît être des concepts plutôt dangereux.

Préférer le trafic de drogue sous prétexte qu’il est plus lucratif semble être la voie choisie par certains. Et je ne pense pas que leur fournir un travail y changerait quoique ce soit.

Je ne parle même pas du fait de considérer que la femme n’a  d’existence que comme être humain de second ordre, voire d’objet…

Quant à « dé-ghettoïser » certaines populations, il n’est pas certain qu’elles ne se recréent elle-même leur ghetto tant leur volonté est grande de ne pas participer aux règles de la vie commune…

Il y a un problème d’intégration, notamment avec les pays du sud. Et ça n’est pas une question de religion, ni de race : c’est un problème culturel.

 Il y a 60 ou 100 ans, être une femme dans le Sud de l’Italie n’était pas facile. La cellule familiale, même d’origine matriarcale, laissait un terrible pouvoir à la gente masculine, générant attitude arrogante et irrespect chez les plus jeunes.  

La victimisation a bon dos.  

Alors, les histoires d’Halal… Encore le petit bout de la lorgnette.

Melenchon : ça cogne dur !

Mélenchon a encore cogné durant son meeting de Rouen devant un auditoire, il faut bien le reconnaître, tout conquis à sa cause. Et il a cogné dur. Avec humour, comme à son habitude.

Tous en ont pris pour leur grade, notamment Mme Le Pen avec qui il avait débattu (c’est beaucoup dire, puisqu’elle avait une fois de plus joué la carte de l’indifférence).

Trembles Ô Sarkozy : car ton tour approche !!

Comment ne serait-on pas impressionné par le bonhomme ? A moins bien sûr, d’être un supporter enfiévré (et aveugle, donc) de tel ou tel candidat.

Mélenchon est leTribun. Quand on le voit, on voit un populiste pour certains, c’est sûr. Mais surtout : on voit un Jaurès s’exprimant à la tribune. Il y a là quelque chose que l’on pourrait qualifier de« suranné » dans sa manière de faire de la politique. Quelque chose d’un autre âge. Quelque chose du type monté sur un cageot retourné, haranguant une foule dans la rue. Ce qu’il se propose, du reste, de faire lors de la Marche pour la VI République qui est annoncée pour le 18 mars qui vient.

Mais quelque chose qui garde une grande fraîcheur au regard des interventions calibrées, millimètrées et, pour finir aseptisées, des principaux candidats, trop contraints par l’œil qu’ils ont, en permanence, vissé sur l’audimat. Et par les discours et  petits effets montés par leur service communication.

Au point de ne pas s’apercevoir qu’avec leurs petites histoires de  Halal, alors que nous attendons tous des projets concrets et de vraies idées : ils sont en train de dégoûter l’électeur.

Soyons juste : Mélenchon joue aussi des médias, des petites phrases et des effets.

Et lui aussi, il joue du populisme et a l’œil vissé sur les sondages.

Mais c’est avec jubilation qu’il vous annonce qu’il se sert du système.

Je vote pour Mickey !

 

 

 

 

Les présidentielles approchent à grands pas, la campagne bat son plein et pourtant, le peuple français ne s’est jamais autant senti en décalage avec le pouvoir politique. Petites phrases assassines d’un camp à l’autre, provocations incessantes, bassesses de cours de récréation, etc, bref, le cirque politico-médiatique n’a de cesse que de rabaisser une institution pourtant estimée il y a quelques années. 

Aujourd’hui le constat est simple. L’élection est dans quelques semaines, et franchement, ce bal quinquennal est à mille lieux des préoccupations des Français. Soyons réalistes, l’élection qui approche est en net décalage avec les interrogations du peuple, les politiciens jouant avant tous les vendeurs de poissons en tous genres pour se faire entendre, tandis que le français de base cherche lui à se faire entendre dans cette cacophonie braillarde. 

Voila donc pourquoi, et après mûre réflexion, j’ai décider moi aussi de voter, mais pour le coup de voter Mickey !

 

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