Le Dunkerquois encore et toujours aux prises avec les pollutions industrielles

La région de Dunkerque compte parmi les plus grandes concentrations en France d’usines classées Seveso, soit des sites présentant un risque industriel pour les populations alentours. Au-delà du risque d’accidents industriels, et autres événements graves mais globalement peu fréquents, les populations restent exposées au quotidien à des pollutions insidieuses et dangereuses, posant des graves questions sanitaires. Les normes, réglementations et parfois même les amendes n’y font rien : dans des régions en difficultés, la sauvegarde de l’emploi semble passer avant les considérations de santé publique.

La région de Dunkerque compte parmi les plus grandes concentrations en France d’usines classées Seveso, soit des sites présentant un risque industriel pour les populations alentours. Au-delà du risque d’accidents industriels, et autres événements graves mais globalement peu fréquents, les populations restent exposées au quotidien à des pollutions insidieuses et dangereuses, posant des graves questions sanitaires. Les normes, réglementations et parfois même les amendes n’y font rien : dans des régions en difficultés, la sauvegarde de l’emploi semble passer avant les considérations de santé publique.

La dernière pollution en date rendue publique a constitué un choc pour les habitants du pays de Dunkerque : l’usine Aliphos de Dunkerque aurait récemment été condamnée par la préfecture pour plus de 2000 tonnes de résidus de production entreposés à l’air libre, sans précaution ni prise en charge par une filière de retraitement spécialisée, à rebours des engagements pris par l’entreprise. Si une telle négligence peut choquer, c’est bien parce que l’usine filiale du belge Ecophos est l’une des dernières arrivées sur site. Sur le papier au moins, le projet devait être un modèle industriel en termes de gestion des produits polluants et autres résidus de l’activité industrielle. Outre plusieurs centaines d’emplois créés, l’usine devait être une étape symbolique de la conversion du bassin industriel du Dunkerquois vers des productions plus « vertueuses » sur un plan environnemental. L’arrêté préfectoral faisant état de cette condamnation de l’usine Aliphos ne mâche pourtant pas ses mots, et parle « d’urgence » et de « dommages graves pour l’environnement ». Alors que la société s’est installée à grand renfort de publicités sur l’ancien site d’une raffinerie Total, force est de constater que le compte n’y est pas aujourd’hui, et que ce sont une fois encore les habitants du Dunkerquois qui payent la note finale.

Le pays de Dunkerque n’a pourtant pas besoin de pollution supplémentaire tant la région connait déjà une situation de quasi-crise permanente sur le plan environnemental. Patrice Vergriete, maire de Dunkerque et président de la Communauté urbaine de Dunkerque (CUD) ne dit pas autre chose lorsqu’il admet devoir « revoir en profondeur notre organisation urbaine et industrielle », pour « adapter l’industrie d’aujourd’hui aux enjeux environnementaux, énergétiques et climatiques actuels ». La formulation est prudente mais inutile de lire entre les lignes pour comprendre que l’industrie, présente en masse autour de Dunkerque, pose de nombreux problèmes non résolus, sur fond de lutte contre le chômage.

En effet, depuis des décennies, dans une région en difficultés économiques, la défense ou la création d’emplois a servi de justification à l’installation d’usines parmi les plus polluantes de France. « Avec treize usines, le Dunkerquois a la plus forte concentration de sites Seveso [sites industriels présentant des risques d’accidents majeurs] en France », expliquait déjà en 2012 René Carton, adjoint à l’environnement à Saint-Pol-sur-Mer : acier (ArcelorMittal), aluminium (GFG Alliance), laitier Moulu (Ecocem), ciments (LafargeHolcim)… Le pays de Dunkerque attire depuis toujours l’industrie lourde, notamment en raison de la proximité d’un port de grandes dimensions. Mais en dépit de tentatives de reconversion vers des production plus modernes et moins polluantes, comme avec le biopharmaceutique d’AstraZeneca, les vieux démons industriels s’accrochent au pays : de nouvelles usines s’installent, plus respectueuses de l’environnement, pour certaines. Mais ce n’est pas pour autant que les anciennes ferment.

Mise en cause l’été dernier lors d’un épisode de pollution aux poussières de combustion et particules fines, l’usine sidérurgique ArcelorMittal de Dunkerque est ainsi la plus grande d’Europe, avec une production de plus de 7 millions de tonnes d’acier par an. Elle emploie directement et indirectement des milliers de personnes sur le bassin d’emploi du Dunkerquois. Avec une telle importance pour la vie économique de la région, bien peu d’élus osent monter au créneau pour dénoncer la réalité des pratiques derrière les pollutions : accident, négligence, non-conformité des installations ? Les causes réelles des pollutions ne sont bien souvent pas investiguées, de peur de faire fuir ou de simplement indisposer les grands pourvoyeurs d’emplois.

Le résultat est pourtant connu depuis des années : un fin voile de suies noir recouvre tout continuellement à des kilomètres à la ronde, contaminant les exploitations agricoles et les cultures maraichères. Tout le pays dunkerquois vit dans cette ambiance délétère depuis des décennies maintenant. Les usines passent mais les pollutions restent, sans que les pouvoirs publics puissent y faire grand-chose manifestement, tant les intérêts industriels semblent prévaloir sur la santé et la qualité de vie. Qu’il s’agisse de la nouvelle usine Aliphos ou des plus anciennes, comme les sites de Total ou d’ArcelorMittal, on peut s’interroger sur l’avenir d’industries qui ne font manifestement pas grand cas des réglementations environnementales

Les gilets jaunes ou la révolte des individualistes

La France subit actuellement les manifestations des gilets jaunes soutenus par 70% des Français. Que veulent-il ? De pouvoir aller du point A au point B avec leurs voitures essence/diesel sans subir la taxe carbone. Les 48 000 morts à cause des particules fines des véhicules diesels: ils s’en fichent. Le réchauffement climatique: c’est pas leur problème, c’est celui des générations futurs. Ce mouvement est révélateur des individualismes toujours de plus en plus croissants touchant nos sociétés. Il n’y a qu’une chose qui compte chez eux: leurs porte-monnaies.

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La France subit actuellement les manifestations des gilets jaunes soutenus par 70% des Français. Que veulent-il ? De pouvoir aller du point A au point B avec leurs voitures essence/diesel sans subir la taxe carbone. Les 48 000 morts à cause des particules fines des véhicules diesels: ils s’en fichent. Le réchauffement climatique: c’est pas leur problème, c’est celui des générations futures. Ce mouvement est révélateur des individualismes toujours de plus en plus développés touchant nos sociétés. Il n’y a qu’une chose qui compte chez eux: leurs porte-monnaies. Mais quels sont leurs arguments ?

L’argument qu’on entend souvent:

Ah oui mais moi je fais partie des petites gens qui ont besoin de leurs véhicules pour travailler et je ne peux pas faire autrement avec mes fins de mois difficiles.

L’argument très en vogue qui permet de susciter la compassion pour ne pas devoir se justifier tout en fermant la porte à toute solution qui demanderait un changement dans leurs habitudes. Du grand classique. Mais ces gens-là ont-ils de l’empathie vis-à-vis de ceux qui subissent les changements climatiques ? Ont-ils une petite pensée pour les habitants des îles Carteret, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, ou Kiribati (110 000 habitants) et Tuvalu (12 000 habitants) qui voient leurs territoires pris par la montée du niveau des Océans ? Déjà 8 îles du Pacifique ont  été englouties !! Ont-ils de l’empathie vis-à-vis de ceux qui ont des problèmes de santé lors des pics de pollution dans les grandes villes ? Des gens meurent à cause des particules fines chez nous chaque année !! Comment peut-on accepter cela en défendant un mode de vie qui en est responsable. D’après une étude de Santé publique France de juin 2016, la pollution est la troisième cause de mortalité en France (48 000 décès), derrière le tabac (78 000 décès) et l’alcool (49 000 décès): c’est un problème de santé publique majeur. Il est très curieux de voir des gens essayer de susciter l’empathie des autres alors qu’eux mêmes en sont totalement dénués. La pauvreté doit-elle devenir l’excuse pour s’affranchir de tout ? De menacer la vie des autres pour préserver son pouvoir d’achat ? Mais il faut aussi ne pas être naïf car la plupart de ceux qui vous sortent cet argument ne sont pas tous des pauvres: ils ont juste mal à leurs porte-monnaies et ne supportent pas une remise en question de leurs modes de vie.

Un autre argument qu’on entend souvent:

Mon diesel nouvelle génération est moins polluant que la plupart des véhicules.

Après le dieselgate, il est assez surprenant d’entendre ce genre d’argument. Si les véhicules nouvelles générations étaient plus propres alors pourquoi les constructeurs ont-ils triché sur les normes anti-pollution ? Leurs discours et celui des professionnels de santé et des ONG sont totalement divergeant. Il ne faut pas chercher bien loin pour savoir où est la vérité et où sont les intérêts financiers.

Une étude de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris montre que les filtres à particules qui équipent les véhicules diesels dernières générations sont à l’origine de nanoparticules qui s’infiltrent jusque dans nos cerveaux causant ainsi des maladies neurodégénératives alors que les particules fines rejetées par les anciens modèles n’affectaient que nos poumons. En faite, le filtre transforme les particules fines (PM10 et PM2,5) en nanoparticules qui ne sont pas toutes retenues. Autre dispositif qui équipe les nouveaux véhicules, le catalyseur qui piège le NOx responsable des infarctus et des complications pour les asthmatiques. Non seulement ce dispositif ne fonctionne que si le moteur est très chaud (et donc totalement inefficace en ville) mais en plus il produit des particules de nitrate d’ammonium. Le véhicule essence n’est pas mieux loti car depuis l’arrivée des moteurs à injection directe ceux-ci sont devenus des pourvoyeurs de particules ultrafines. Le constat est là: les dernières innovations n’ont pas permis de rendre le véhicule thermique moins polluant. Pire, ils n’ont fait qu’aggraver les choses. Il ne faudra donc pas s’étonner d’observer une augmentation des cancers. Tout ceci devrait nous interpeller. Il est clair que les normes anti-pollution ont un train de retard qui permet aux constructeurs de vanter des nouveaux modèles plus propres alors qu’ils ne le sont pas.

Autre idée reçue sur les diesels censés rejeter moins de CO2: une étude de l’ONG Transport & Environment (T&E) démontre que le véhicule diesel émet 3,65 tonnes de CO2 de plus que le véhicule essence quand on prend en compte en plus des rejets à la sortie des pots d’échappements, le raffinage du carburant, la construction du véhicule et un kilométrage plus long à cause d’un carburant meilleur marché.

Un autre argument:

Les batteries des véhicules électriques sont un désastre écologique.

Soyons clair là dessus, les catastrophes écologiques il y en aura toujours à moins que nous revenions à l’âge de pierre avec une diminution drastique de la démographie. Nous avons un très grave problème à cause des changements climatiques et il est de notre survie d’y remédier le plus rapidement possible. Si la terre subit un emballement de l’effet de serre, non seulement nous mettons l’humanité en danger mais nous risquons de rendre la Terre totalement stérile de toute vie. Et tout ça parce qu’à une époque relativement courte du point de vue géologique, des individus n’ont pas voulu revoir leurs modes de vie et n’ont pas su comprendre les enjeux qui dépassent de très loin leurs petites personnes… Bien sûr, face aux solutions qui rejettent moins ou pas du tout de CO2 (voiture électrique) on pourra toujours les opposer à d’autres problèmes environnementaux: c’est l’argument « bonne conscience écologique » de ceux qui ne veulent rien changer à leurs habitudes. Argument qui ne tient plus si l’on donne des priorités à chaque problème environnemental selon la menace qu’il fait peser sur l’humanité.

Autre argument:

Oui mais un cargo porte-conteneur pollue autant que toutes les voitures françaises.

Il est faux de dire qu’un cargo pollue autant que le parc automobile Français. Si le fret maritime est un gros émetteur de particules fines par l’utilisation des carburants les plus sales au monde, il est néanmoins moins émetteur de CO2 que la route:

  • le fret aérien et maritime ne représente que 11,9% des émissions de CO2 avec 929,25 millions de tonnes;
  • le transport de passagers en surface (voiture, bus, train) représente 50% des émissions de CO2 avec 3 911 millions de tonnes;
  • le fret de surface (camion, train) représente 28,5% des émissions de CO2 avec 2 230,93 millions de tonnes;
  • et enfin le transport aérien de passagers ferme la marche en ne représentant que 9,67% avec 757 millions de tonnes.

Il faut aussi noter que si le fret maritime représente 52% des émissions du fret, il représente 87% des tonnes-kilomètres transportés. D’après les chiffres du ministère de l’environnement, on a entre 10,1 à 32,5 g de CO2 par tonne-kilomètre pour des cargos porte-conteneurs et 91,6 pour un camion de 40 tonnes. Opposer les cargos porte-conteneurs aux voitures est assez révélateurs du manque d’argument des défenseurs de la voiture particulière. Jusqu’à présent ce ne sont pas les zones côtières qui ont un problème de pollution de l’air à cause des particules fines mais bel et bien les villes qui pour la plupart ne sont même pas situées au bord de l’eau. Alors un peu de sérieux… Si ce ne sont pas les bateaux, ce sont les feux de cheminée ou que sais-je encore. Si chacun d’entre nous refuse de faire des efforts au prétexte que le voisin pollue tout autant, on ne fait plus rien. Il faut commencer par changer les choses là où les alternatives existent, ce qui est le cas de la voiture (vélo, transport en commun, covoiturage, etc…) et cela doit commencer à l’échelle individuelle.

Autre argument:

J’aimerais bien vous voir faire vos courses à 30 km de chez vous en vélo.

Remarquez bien qu’il ne s’agit pas d’aller au boulot mais de faire ses courses. Là nous parlons d’un trajet que la plupart des ménages font une fois par semaine et généralement en dehors des heures de pointe. La distance domicile-travail moyenne est de 25,9 km pour 5 jours sur 7. Une distance tout à fait faisable en vélo pour une durée d’une heure de trajet. Si la moitié de nos compatriotes décidaient de se passer de leurs véhicules au profit du vélo pour se rendre au travail, l’air de nos villes seraient beaucoup plus respirable.

Bref, les arguments des gilets jaunes sont légers. Nous sommes face à un mouvement aux revendications très individualistes qui va à l’encontre de l’intérêt collectif. Derrière tout ça il y a quelque chose de beaucoup plus grave: les gens ne savent plus s’adapter par rapport aux contraintes que posent nos sociétés et notre environnement. Nous sommes plus enclin à lutter contre ces contraintes parce qu’elles nous obligent à changer nos comportement qu’a essayer de nous adapter. Maintenant imaginons un scénario pas si improbable que ça: nos approvisionnements en pétrole souffrent d’une situation de chaos au moyen orient et au Venezuela. Plus de carburant dans nos stations services. Mais comment feraient tous ces gens ? Il est parfaitement clair que ceux qui seront dans l’incapacité de s’adapter vont s’attaquer à ceux qui arrivent à survivre: un monde à la Mad Max… Durant la seconde guerre mondiale, les populations occupées ont su s’adapter pour survivre évitant ainsi le chaos. Mais que se passera t-il si demain un événement de cet ampleur se produit ? L’humanité a toujours su s’adapter même dans les situations les plus difficiles et avec très peu de moyen. De nos jours avec internet, nous avons un accès à la connaissance comme jamais. Une connaissance qui devrait nous aider, nous donner des idées, nous adapter… Et pourtant c’est le contraire qui se produit comme si l’évolution de nos sociétés nous a conduit à nous faire assister et diriger qu’à devenir les acteurs de nos vie. Nous sommes plus dans une logique revendicative que dans une logique créative. Le mouvement des gilets jaunes en est le parfait exemple. Une note d’optimisme dans tout ça: il est encourageant de voir les nouvelles générations adopter des moyens de transport vertueux. Ils ne sont pas accros à la voiture comme leurs aînés. Ils s’en passent…

Maintenant imaginons que le gouvernement plie devant les gilets jaunes comme ça a été fait avec le mouvement des bonnets rouges. Ça serait terrible car nous renoncerions à nos engagements internationaux pour lutter contre le réchauffement climatique. La France, pays hôte de la COP21, rejoindrait l’administration Trump. Une idée totalement inimaginable après les critiques du Président Macron sur son homologue !! Ce que ne comprennent pas les Gilets jaunes c’est que la taxation des carburants c’est le moindre mal pour eux. C’est la méthode douce pour les amener vers un changement des habitudes de manière progressive. Sans l’augmentation des taxes, on verra les villes s’organiser pour restreindre l’accès aux véhicules thermiques. Ça serait inévitable…

Sources:

https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/ocean-pacifique-8-iles-pacifique-deja-englouties-cause-rechauffement-climatique-68510/

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/06/21/25114-pollution-48000-morts-par-an-france

https://www.francetvinfo.fr/sante/environnement-et-sante/pourquoi-les-voitures-les-plus-recentes-sont-elles-les-plus-polluantes_2680058.html

https://www.transportenvironment.org/press/dirty-diesel-also-worse-climate-petrol-cars-study

https://www.lemonde.fr/pollution/article/2016/06/21/la-pollution-de-l-air-est-responsable-de-9-de-la-mortalite-en-france_4954518_1652666.html

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/11/14/un-cargo-pollue-t-il-autant-que-toutes-les-voitures-francaises_5383604_4355770.html

https://www.insee.fr/fr/statistiques/1280781

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Un corps sain dans un environnement sain !

Aujourd’hui, avec tous les chamboulements climatiques ainsi que tous les dégâts qui en découlent, il faut tous agir en faisant de petits gestes. Ces actions vont engendrer inévitablement de grands changements pour un environnement durable. Notre mission est de sensibiliser autrui aux problématiques régnant sur la planète !

 

De nos jours, l’activité physique est très en vogue, et sachant que notre environnement est en péril, pourquoi ne pas combiner les deux ? Au lieu de rester là, assis à ne rien faire, pourquoi ne pas plutôt unir nos forces tous ensemble pour lutter contre la pollution ? C’est la question que nous, deux étudiantes du Collège d’Alma, nous posons. En considérant qu’il y a plusieurs enjeux importants qui se passent dans le monde actuel au niveau de l’environnement, nous voudrions apporter un vent de changement au sein de notre planète. C’est alors pour cette raison que nous vous invitons tous à laisser votre empreinte écologique, soit en participant le 22 avril prochain à la journée de « éco-jogging » en l’honneur du jour de la Terre. Il n’y a donc pas d’excuses de ne pas y être !

 

Le plogging, c’est quoi ?

Souvent, on désire apporter notre petit grain de sel pour l’environnement, mais nous ne savons pas toujours comment nous y prendre. C’est donc pourquoi nous voulons introduire le « plogging  dans notre milieu, car il est primordial d’accorder une grande importance à l’environnement qui nous entoure. Qu’est-ce que le « plogging » ? Il s’agit entre autres de faire son jogging, sac à déchets à la main, et de ramasser le plus de détritus sur son chemin. Plus les gens participeront, plus cela entraînera une chaîne sociale, c’est-à-dire que cette nouvelle tendance attirera sans aucun doute l’attention des gens, les amenant ainsi à suivre ce geste.  Il y aura donc nécessairement des bienfaits sur notre environnement. En plus de créer une chaîne sociale, ce sport crée aussi une chaîne écologique. Alors, pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ? De ce fait, il serait intéressant d’en apprendre davantage en lisant le passage de l’article de Nathan Weber. Vous pouvez le trouver sur le site Demotivateur.fr : « On peut dire qu’il s’agit d’un sport complet. Tout le corps est sollicité et comme il faut récupérer le maximum de déchets le plus rapidement possible, on se retrouve à enchaîner les squats, à changer de rythme constamment, bref : c’est clairement beaucoup plus éprouvant et physique que le jogging « classique » ! Mais outre le côté purement sportif, le véritable but du jeu est surtout d’attirer l’attention sur le problème de la pollution et des déchets plastiques. » Il est de mise que c’est un excellent moyen pour faire bouger les choses tout en bougeant !

 

Agir pour éviter le pire

Aujourd’hui, avec tous les chamboulements climatiques ainsi que tous les dégâts qui en découlent, il faut tous agir en faisant de petits gestes. Ces actions vont engendrer inévitablement de grands changements pour un environnement durable. Nous espérons que nous avons été en mesure de vous convaincre à participer en grand nombre à ce beau projet qu’est le « plogging ». Il y a encore de l’espoir pour changer notre monde et l’améliorer avant de se rendre au point de non-retour.

Vicky-Ann Fortin et Émilie Ménard

 

Vidéo sur le plogging : https://www.facebook.com/RTSinfo/videos/925188700977652/

 

 

Pollution de l’air et circulation alternée, l’incompatibilité scientifique

 

J’entends déjà dire : « le revoilà celui-là ! » Ce lanceur de pavé dans la mare des autres, cet éternel critiqueur de ce qui semble pourtant avéré pour bien de ses congénères, puisqu’on l’affirme à la télévision !

Je répondrais que lorsque je me sens interpellé par des affirmations qui ne me conviennent pas, et que n’ayons pas peur des mots, je qualifierais de hâtives, voire mensongères, eh bien, je le fais savoir !
Ce sera encore le cas en ce jour…

On nous rebat les oreilles à grands coups d’informations télévisées avec les pics de pollution…
Je suis d’accord, il y a matière à s’inquiéter lorsque la santé publique est en péril… Par contre permettez que je ne le sois pas sur les moyens employés pour diminuer cette pollution, qui passez-moi l’expression ne sont absolument pas cohérents, voire ne ciblent-ils pas les polluants les plus dangereux à leur source…

Savez-vous que nombre d’études ont été menées par les diverses municipalités parisienne, dont une sous le mandat de Bertrand DELANOË ?
La municipalité de l’époque devait procéder à une enquête, visant à mesurer l’impact de la politique des transports sur la qualité de l’air.
Prenant conscience que les réponses à cette épineuse question seraient compliquées, les élus du Conseil de Paris avaient préféré confier l’enquête à Airparif, l’organisme qui mesure la pollution de l’air dans la capitale et dont nul ne pourrait contester les compétences.
Les ingénieurs d’Airparif avaient eu pour mission d’évaluer l’efficacité de la politique municipale de l’époque, dont les mesures avaient été axées sur les zones piétonnes, une restriction de la circulation dominicale, les quartiers verts, et les couloirs de bus.
Durant 6 mois, 900 kilomètres de voies parisiennes devaient donc être étudiées avec minutie.
Mais selon de discrets rapports, l’enquête baptisée Heaven n’avait pourtant portée que sur les « couloirs réservés » de trois axes, dont quelques mauvaises langues avaient prétendue, qu’elles avaient été « suggérées en priorité » :
– La rue de Rivoli
– Le boulevard de Strasbourg
et
– Le boulevard de Sébastopol

Si les résultats avaient mis en avant, une baisse de 20 % d’émissions de certains polluants au niveau de la rue de Rivoli, grâce semblait-il à la création de son « couloir réservé », les ingénieurs d’Airparif s’étaient accordé à dire que l’impact des mesures prises sur la circulation seraient difficiles, voire impossibles à mesurer.
Rien de véritablement engageant et un soupçon d’embarras, vous en conviendrez…
Denis BAUPIN adjoint au maire de l’époque et chargé des transports avait quant à lui déclaré, je cite : « notre objectif était surtout de pouvoir répondre à la question : quelle serait la situation si nous n’avions rien fait ? »
Enfin l’adjoint écologiste rappelait avec fierté, les -14 % de baisse de la circulation automobile depuis 2001 et durant ses 4 ans de mandature…
En somme des paroles en « l’air » (excusez ce jeu de mots !), qui n’apportèrent pas davantage d’eau au moulin…
Bref, le coup d’épée dans l’eau fut magistral, et l’enquête renvoyée aux calanques grecques…

Loin de moi l’idée de critiquer les uns plus que les autres, mais ma formation scientifique m’oblige à préciser, que toute étude sérieuse se doit de reposer sur des éléments solides et divers, et non ponctionnés au hasard dans des rapports de personnages (passez-moi l’expression), qui n’y connaissent pas grand chose sur les sujets qu’ils traitent depuis leurs bureaux, et surtout ne placent pas en commun l’évolution de leurs recherches, ou constatations.

On sait que « sur commande » les ingénieurs d’Airparif s’étaient surtout penchés à l’époque de l’enquête, sur la concentration du dioxyde d’azote émis principalement par les voitures, ce qui prête, on le sait désormais tout scientifique sérieux à sourire, et voici pourquoi.

Il faut savoir, que la qualité de l’air que nous respirons connaît des variations en fonction de nombreux critères, qui dépassent largement le cadre d’une circulation alternée :

1- La météo :
Il a par exemple été établi de façon formelle et scientifique, que les pics de pollution de 2003 n’avaient strictement rien à voir avec les bouchons sur les routes, autoroutes, et autres artères importantes, mais à la canicule.

2- La circulation des masses d’air :
Elles se déplacent au-delà des frontières à l’échelle européenne, et sont fortement chargées d’ozone, considéré par les scientifiques comme un polluant voyageur.

3- Les microparticules :
Leur liste est bien trop longue pour être citée, je parlerai simplement l’une des plus connues et également des plus nocives : le benzène, reconnu comme particulièrement volatile.

Après ce récapitulatif, je l’espère le moins ennuyeux possible, interrogeons sur la réelle utilité des dernières mesures prises conjointement avec des associations environnementales, municipalités et autres ministres, et plus particulièrement sur l’extraordinaire idée de la « circulation alternée ».

On voudrait donc nous faire croire, que seules les automobiles seraient responsables des pics de pollution ? Je pense avoir démontré plus haut que c’est totalement faux, et que bien que cette décision puisse-être intéressante, elle ne pourra le devenir qu’en complément d’autres mesures, bien plus difficiles, et courageuses avouons-le à prendre…
Mesdames Messieurs les écolos de tous poils ! Mesdames et Messieurs les ministres ! Mesdames et Messieurs les responsables d’associations de qualité de la vie, etc… Cessez de vous réfugier derrière des décisions fantoches et largement médiatisées, dans le but unique que l’on parle de vous, et prenez plutôt le problème à la base !
Faites fi des pressions subies par les lobbies de l’industrie, de l’épée de Damoclès que de puissants industriels ou groupes internationaux maintiennent au-dessus de vos têtes, ayez au cruel détriment de ce que vous rapporte le fait de fermer les yeux sur des pratiques assassines, le courage de dénoncer qui sont les réels pollueurs, et d’enfin leur imposer des normes qui je vous le rappellent existent depuis des décennies, et ne sont pas respectées ou honteusement détournées.

Un organisation hélas non-gouvernementale, « Transport & Environnement » (T&E), après avoir passé au crible différents rapports d’enquêtes sur des véhicules Diesel, réalisés conjointement par les autorités britanniques, française et allemandes, a pourtant établi un classement reconnu par d’éminents scientifiques comme indiscutable, dont il ressort une liste de 30 véhicules vendus actuellement en Europe et considérés comme les plus polluants !
Cette liste s’appelle la « Dirty30 », soit « les 30 sales ». On parle tout de même de véhicules Euro 6 dont l’émission de Nox dépasse plus de 2 fois les limites fixées par les normes européennes, une fois mesurées en laboratoire et lors d’essais sur route cette fois, plus de 5 fois la limite autorisée !
La norme Euro 6d, qui devrait entrer en vigueur en septembre 2017, obligera cette fois les constructeurs à procéder à des tests d’homologation en conditions réelles « Real Driving Emissions » (RDE), qui écarteront toute possibilité de « tricherie sur les taux annoncés ».

Pour ce faire, 3 procédés actuellement utilisés et reconnus comme étant des mauvaises pratiques, seront définitivement bannis.

Sans devenir trop technique en voici la liste :

-1 La fenêtre thermique de contrôle trop basse :

Les constructeurs se verront obligés de contrôler les émissions de « gaz toxiques » en utilisant une fenêtre thermique, qui place en condition les moteurs depuis une température de démarrage (moteur froid) vers une température de fonctionnement dite chaude (moteur au maximum de température). Les fenêtres thermiques actuelles varient (en moyenne) entre 5° et 40° selon ce qui est divulgué.
Les ingénieurs de « Transport & Environnement » affirment qu’une fenêtre thermique aussi réduite, n’aurait jamais dû être utilisée et qu’elle devrait être considérée à l’avenir comme un dispositif de contrôle frauduleux.

-2 Le redémarrage à chaud :

Il s’agit d’une technique qui ne « respecte les normes » de pollution que lorsque le moteur est froid, et qui ne tiendrait pas compte qu’il dépasse allègrement les plafonds lorsqu’il est chaud. Là encore il y a fraude.
Il faut savoir qu’à l’heure actuelle, seuls les tests de combustion liés au « démarrage à froid » sont demandés, et que les constructeurs n’optimisent les réglages de leurs moteurs, que pour répondre au strict minimum de ces conditions.

-3 La temporisation :

Il s’agit d’équiper certains moteurs d’un temporisateur électronique, qui permettrait de couper le système de dépollution au bout d’un laps de temps déterminé.
En Allemagne, le KBA aurait procédé à des tests sur certains modèles de Fiat (la 500X par exemple), mettant en avant le fait que le système de dépollution donc se coupait au bout de 22 mn, sachant que les tests d’homologation, ne dure que 20 mn…
« Transport & Environnement » a émis des soupçons quant à la légalité de ce système.
Le classement « Dirty 30 » établi par « Transport & Environnement » se veut une mise en garde pour attirer l’attention, mais un des ingénieurs aurait déclaré, je cite : « il faut garder à l’esprit que les tests pilotés par les gouvernements n’ont rien à voir entre eux. La France a testé les véhicules en conduite réelle avec le moteur froid, le Royaume-Uni a choisi aussi la conduite réelle, mais avec le moteur chaud, et les mesures allemandes sont réalisées sur route et en laboratoire, mais uniquement sur des moteurs chauds. Attention à ne pas comparer les valeurs d’émissions entre elles, car les protocoles de tests ne sont pas les mêmes d’un pays à l’autre. »

Pour ma part, c’est sur le grotesque des mesures de style « circulation alternée » que je veux attirer l’attention, même si je sais que mon modeste article ne sera rien de plus qu’une « goutte de benzène dans l’océan des micro-particules ».
Cette mesure dans l’état reste efficace pour une chose avérée : rendre la vie professionnelle des plus modestes d’entre nous impossible, voire comme on l’a entendu dans des reportages aboutir à des licenciements pour « absence à son poste », plonger dans l’illégalité des travailleurs qui pour manger, n’ont d’autre choix que de se rendre à leur boulot coûte que coûte avec leur véhicule, en ne tenant pas compte du jour où ils en ont le droit…
Sans compter que les grèves des transports ferroviaires, en commun, etc… N’arrangent rien à l’affaire… Mais il s’agit d’un autre débat !
Je ne parlerai pas non plus des forces de l’ordre, cantonnées à des contrôles, puis depuis peu à des verbalisations pour les contrevenants, donc à des tâches subalternes alors qu’ils auraient peut-être mieux à faire ailleurs ?
Mais là aussi, il s’agit d’un autre débat !

Permettez que je termine, avec une information qui ajoutera, je pense au ridicule des mesures visant soit disant à améliorer la qualité de l’air, dans les grandes agglomérations…

Savez-vous que dans les sommets de la « Dirty 30 », se retrouvent sur le podium des mauvais élèves, les Dacia Sandero 1.5 dCi, Renault Kadjar 1.5 dCi et 1.6 dCi, certifiés comme étant parmi les véhicules les plus polluants.
En conduite réelle, ils émettraient entre 12,8 et 14,6 fois plus de NOx que lors des tests en laboratoire !
En conclusion dormez tranquilles français (ou presque)… Et vive la circulation altérée ! Heu… Alternée !

Dyonisos.

Au fil de l’actualité (suite)

Ce ne sont pas des fadaises, des on-dit… Elles reculent inexorablement, les falaises de Normandie. Pendant ce temps,  des comptes se truquent et des trucs se troquent. Et l’état colmate les brèches, sauve William Saurin, son lapin chasseur et son couscous marocain. Et met de l’oseille dans le saumon. Il s’agit de sauver les emplois, les apparences et de rassurer les banques.  Entre les falaises et la Financière Turenne-Lafayette, le cœur de l’état ne balance pas… La Normandie devra faire la manche…

Pendant que la guerre des étoiles refait son cinéma sous le nom de « Rogue One » (Rogue signifiant « canaille » « sauvage » « traître »…) et alors qu’on évoque une cyber-attaque russe sur l’élection américaine, Alep crève et se morfond, pour de vrai, sous l’œil de drones voyeurs.  Le rideau est tombé sur des ruines. Peut-être a-t-on crié « à l’aide » à Alep. Mais là-bas c’est tellement loin… Alep a perdu des vies, sa citadelle aussi. Quant à son savon, il s’en produit en France et même en Australie, en toute légalité. L’appellation n’a jamais été protégée, elle non plus…D’Alep s’échappent quelques âmes qui échoueront en Turquie, parfois…  En Turquie où l’on attente et où l’on représaille aussi…

Alors qu’en France des attentats sont déjoués, mais que l’état est toujours d’urgence devant la résurgence de tentatives, autre part des gosses téléguidés se font sauter sur des marchés ou aux terrasses de café. L’horreur au quotidien, là aussi. Là-bas.

C’est là que je me mets à fredonner…

« …La bombe humaine, c’est l’arme de demain, enfantée du monde elle en sera la fin… ». Téléphone

« Là-bas… » « N’y va pas, y’a des tempêtes et des naufrages, le feu, les diables et les mirages… » J.J Goldman

Alors que primaires de gauche et primaires de droite se succèdent, et paraissent tout à fait secondaires au sein d’un tel cloaque, dans certaines métropoles c’est chacun son tour. La voiture, c’est un jour sur deux. On parle de « plan oxygène », de vignettes et de périmètres. Petites mesurettes pour de bien grands maux. En attendant, on est invité à sortir masqué, à ne pas courir, à retenir son souffle jusqu’à ce que les particules fines finissent par se barrer. Quel suspens !

(PS : Les Lyonnais sont sommés de prendre des transports en commun en grève depuis déjà trois semaines…)

Pendant que Galiléo trace sa route et nous met sur la bonne voie, Macron en Guadeloupe se croit expatrié. . . Il est déjà perdu. Va-t-on le perdre ? Va-t-il se retrouver ?   ( A force de trop s’époumoner, il en a perdu la voix…)

Il est temps je crois de faire une pause dans toutes ces élucubrations… Pourtant, j’aurais bien aimé parler de la crèche artisanale installée au sein du Conseil Régional Rhône Alpes Auvergne et des prises de bec que l’initiative a déclenché… 14 m2 de terrain glissant. De quoi chausser des patins !  J’aurais souhaité aussi débattre sur le Label Emmaüs, sur la wifi dans le TGV, et sur les crétins de TPMP. Mais je dois y aller…

Vague de pollution : et si le problème n’était pas celui que l’on imagine ?

 

 

 

Les médecins généralistes ont vu défiler dans leurs cabinets un nombre important de patients présentant tous des symptômes similaires (douleurs à la gorge, difficultés respiratoires…) causés par la vague de pollution qui a assailli le pays à la mi-mars. Beaucoup s’interrogent sur la provenance de cet air chargé qui a conduit le gouvernement à prendre une série de mesures exceptionnelles.

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Environnement Royal

Il serait aisé de dire que le devenir de la France est sur la voie royale, eu égard à l’environnement. 

Après le sacre des ministres et du premier d’entre eux, après les petits pots entre amis, en Famille, l’Etat va peut être et certainement se positionner sur le phénomène récurant de la pollution.

A ce jour, il apparaît que nous, joyeux et insouciants automobilistes, sommes les responsables majeurs de cette pollution environnementale.

Electeurs, conducteurs, que dis-je, soyez prêts.

L’Europe a sa solution sur les moteurs polluants qui nous ont été imposés, en fait, depuis longtemps.

Ca va chauffer pour le porte monnaie, après les grandes vacances, naturellement.

Nous sommes déjà légèrement avertis, mais à ce jour, nous préférons ignorer cette menace, celle qui consistera à payer lourdement le mode de propulsion choisi.

La grande Famille va bientôt mettre en place un truc du tonnerre, une idée provenant naturellement de l’Europe, agrémenté d’une onctueuse sauce hollandaise…

Un seul Pays de l’UE n’est qu’un gamin face au Dieu de l’UE, en terme de taxes, de mépris.
Ce mépris qui nous est réservé par nos cols blancs et nos "tailleurs sur mesure" de la politique, n’est rien à côté de ce qui nous attend.

Le bunker de l’Europe est construit depuis longtemps et allez donc à l’assaut de cette forteresse !!!

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Plan anti pollution …

J’ai cru voir en diagonale aux informations, que des mesures drastiques, pensées depuis des lustres, dont les résultats efficaces sont connus depuis longtemps, ont été prises pour lutter contre le phénomène de l’anticyclone et de la pollution qu’il favorise.

Je ne savais pas à ce jour, que les milliers d’énarques de France, de tous bords, avaient mis tant d’énergie dans ce plan "Orsec" de la pollution.

Je ne savais pas que les hypers intellos Verts, verre à la main, avaient établi une stratégie capable de s’inscrire dans la préservation totale de notre planète et en fait qu’ils étaient allés si loin dans l’aboutissement d’une solution écologique qui nous est enviée par le Monde entier.

 

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