Du beau temps qui génère de la pollution !

 

 Depuis le temps qu’on attendait un temps calme et ensoleillé, après plus de 2 mois de temps gris maussade et pluvieux, on se sentait revivre et on se croyait presqu’au Printemps. Mais voilà maintenant que depuis quelques jours de soleil radieux et de températures dignes d’un mois de mai, on nous alerte sur la pollution. Cela en raison d’un temps au beau fixe, sans vent ni pluie qui bloque l’air au sol et empêche la pollution de se dissiper plus facilement dans l’atmosphère.

Airparif, qui est chargé de surveiller la pollution dans la capitale signale que l’on atteint un niveau d’alerte maximale depuis plusieurs jours, mais cela n’est pas spécifique à l’Ile de France, puisque près de 20 régions de la moitié nord se trouvent dans la même situation.

Les risques pour la santé sont majeurs, surtout pour les personnes à risque au niveau pulmonaire et cardiaque. Il leur  est recommandé de limiter toute activité physique intense et de sortir en début de matinée ou en soirée, lorsque la pollution est moins forte. Difficile de faire comprendre aux enfants que quand il fait beau, il n’est pas possible de profiter du grand air ! Ils ont déjà été obligés de rester enfermés une bonne partie de l’hiver en raison des conditions atmosphériques exécrables, alors là ces restrictions de sortie sont vraiment de trop !

Les solutions mises en place par les pouvoirs publics, de réduire la vitesse sur les routes, ne semblent pas régler le problème, pas plus que la gratuité des transports en commun, des vé lib et des autos lib, dans la mesure où il est parfois difficile pour chacun de changer ses habitudes.

On parle maintenant au niveau du gouvernement, sous la contrainte des écologistes, de mettre en place une circulation alternée, avec des autorisations de circuler pour les véhicules les jours pairs et impairs en fonction des numéros d’immatriculation. Dispositif très contraignant à mettre en place

A une semaine des élections municipales, cela ne semble pas être la solution idéale, surtout dans le contexte actuel où les gens sont passablement irrités par tous les scandales politiques. Une telle mesure, ne ferait qu’exacerber un peu plus l’électorat.

Alors que faire ? Distribuer des masques pour se mettre à l’abri de toutes ces particules fines qui obstruent nos poumons en profondeur, ou bien exiger de la part des constructeurs automobiles de passer rapidement au tout électrique ! Utopie !

Et puis, il n’y a pas que les voitures qui polluent, les usines industrielles, les agriculteurs, les avions ont aussi une grande part de responsabilité dans le développement de cette pollution.

Il est peut-être temps de prendre des mesures draconiennes dans ce domaine, si l’on veut que nos enfants et petits enfants puissent dans les années à venir respirer à plein poumon sans risque majeur ! 

3 réflexions sur « Du beau temps qui génère de la pollution ! »

  1. MANIFESTE SUR L’ÉTAT PRÉCAIRE DE L’ATMOSPHÈRE

    C’est maintenant qu’il faut agir…
    car demain il sera trop tard !

    Les compagnies aériennes doivent absolument prendre
    part à un débat sur les conditions atmosphériques qui
    s’aggravent de jour en jour, car ce sont les premières
    concernées sur cette dégradation qui est en cours,
    causée par le kérosène et autres agents très toxiques.

    L’urgence de prendre en considération que l’on doit
    absolument réduire le trafic aérien mondial devenu
    extrême, ceci dans le but d’éliminer les substances
    nocives à la vie, comme le kérosène qui empoisonne
    l’atmosphère au plus haut degré…
    Car sans atmosphère, la nature terrestre disparaîtrait
    ainsi que l’humain qui ne pourrait vivre sans cet appui
    indispensable à l’existence.

    Après les attaques sans précédent survenues en septembre
    2001 sur les tours du « World Trade Center » à New York, une
    étude a été faite concernant le trafic aérien qui avait considé-
    rablement ralenti durant les mois qui suivirent l’attentat, pour
    que la couche d’ozone s’améliore grâce à la réduction des vols.

    L’humain étant de nature fataliste à bien des égards,
    en pensant que tout est perdu d’avance…
    a la mauvaise habitude de se laisser-aller par un instinct de
    négligence qui le dirige à vouloir attendre jusqu’à la limite du
    risque, avant de prendre enfin des décisions d’envergure vitale
    à son bien-être.

    Ainsi pour une question de survie, il doit faire l’effort
    de se tourner vers le naturel bienfaisant à sa santé,
    plutôt que de s’accrocher à une laideur artificielle qui
    dégrade la qualité de vie au quotidien, car dans ce cas,
    il prend de toute évidence la mauvaise route.
    C’est en parcourant des sentiers qui abondent d’air pur
    et vivifiant que tout ira mieux…

    Savions-nous que la Terre a des normes qui doivent-être
    respectées, comme nous le faisons pour notre corps ?

    Mais notre préoccupation première de voir à l’efficacité d’un
    marché économique florissant, dans le but de remplir les
    coffres de banques, ce qui est à nos yeux d’une importance
    primordiale et prend plus de place que de se soucier du réel
    problème d’extrême urgence qui est de vouloir sauvegarder
    la nature terrestre, en rétablissant l’ordre naturel que nous
    avons détruit.
    Car le système écologique s’aggrave de jour en jour par la
    négligence de ne pas vouloir remédier plus sérieusement à
    éliminer la pollution qui empoisonne la pureté de l’air, l’eau
    et celle de l’environnement. Ceci dû à la propagation de gaz
    toxiques dans l’air et l’eau, étant sans aucun doute la cause
    du réchauffement planétaire. Il est évident que la température
    ambiante qui entoure la Terre, a tendance à se réchauffer
    graduellement et naturellement, sans que l’homme abuse et
    dérange le système climatique, en déstabilisant un processus
    qui doit rester naturel.

  2. MANIFESTE SUR L’ÉTAT PRÉCAIRE DE L’ATMOSPHÈRE (suite)

    Ayant vécu trois ans à Los Angeles au début des années 70,
    c’est à cette époque que j’ai pris conscience du réel danger
    de la concentration de gaz toxiques dans l’air ambiant, ceci
    dû à une circulation automobile très dense sur les multiples
    autoroutes de cette grande agglomération. Créant un smog
    permanent au-dessus de la ville, tel un écran de pollution qui
    amplifie la chaleur du soleil.
    Alors qu’en Chine, où le problème de pollution est encore plus
    grave, les habitants des grandes cités portent des masques
    pour protéger leur respiration.

    Et si un smog planétaire se formait dans l’atmosphère
    que ferions-nous ?

    Cela produirait un effet de serre asphyxiant et suffocant sur
    toute la surface terrestre, en appauvrissant, détériorant et
    empoisonnant toutes formes de vie sur Terre.
    Alors que le processus du réchauffement de la température
    ambiante devrait se stabiliser, si nous prenons les moyens
    nécessaires pour enrayer ce mal.

    Car à l’heure actuelle, le processus s’accélère et continue
    dans la mauvaise direction. Ce qui accentue le mouvement
    naturel du système climatique, en causant de plus en plus
    de feux de forêts, augmentant le nombre de pluies abondantes
    ainsi qu’une rapidité accrue de la fonte des glaces de l’Arctique
    et l’Antarctique. En se rappelant que le point d’équilibre entre
    les deux pôles se situe sur la ligne médiane de l’équateur !

    En réalité l’effet de serre est tolérable, pour autant que l’air
    ambiant qui entoure la planète soit d’une qualité de pureté
    supérieure à la norme fixée comme étant acceptable.

    Ce principe est du reste employé en bio-culture et sert à activer
    la production des légumes, fruits et fleurs, ce qui donne de très
    bons résultats, en utilisant l’énergie solaire qui crée la chaleur
    nécessaire pour qu’une condensation de vapeur se forme à
    l’intérieur de la serre.
    Avec l’aide d’engrais, la relation: lumière / chaleur / vapeur
    est le moyen de faire pousser en serre des cultures vigoureuses
    en ce milieu, entourées d’un air ambiant 100% pur, d’autant plus
    qu’en terme savant: BIO signifie VIE.

    Il suffit d’aller se promener dans les grandes serres du jardin
    botanique, pour pouvoir ressentir un effet agréable de bien-être,
    dont dispose cette luxuriante végétation pour s’embellir, de la
    même manière qu’un bon bain de vapeur régénère notre corps.
    En fait l’effet de serre est un système écologique qui se développe
    sous l’épais feuillage des grands arbres des forêts tropicales.
    Ainsi à l’ombre et à l’abri de la chaleur accablante se propage en
    permanence une condensation de vapeur qui humidifie l’air ambiant,
    ce qui procure une fraîcheur continue plus vivable pour la flore et la
    faune. Aussi, cette rosée qui alimente en eau cette belle nature,
    est la seule source de vie durant la période de sécheresse.
    Et lorsque le moment de la saison des pluies abondantes arrive,
    cette grande rain forest de l’Amazonie devient le poumon naturel
    de la Terre.

  3. MANIFESTE SUR L’ÉTAT PRÉCAIRE DE L’ATMOSPHÈRE (suite)

    C’est en renversant la vapeur et en pensant plus précisément
    à améliorer et enrichir la nature, pour que sa croissance soit
    saine et ainsi plus prospère.
    Il faut rétablir le processus naturel indispensable au bon sens
    de la vie, en prenant la décision d’améliorer cette grande
    défaillance des conditions atmosphériques.
    Par l’élimination progressive des excès de pollution qui
    affectent la nature terrestre, en plus que de nuire à notre
    santé de façon sournoise.

    En prenant davantage conscience de l’ampleur catastrophique
    de cette pollution atmosphérique, selon un article paru dans le
    journal Métro du 7 novembre 2013, l’Organisation Météorologique
    Mondiale (OMM) cite que l’humanité n’a jamais habité une Terre
    aussi polluée, ainsi la concentration actuelle de méthane dans
    l’atmosphère est 260% plus importante que celle de la période
    pré-industrielle.
    Si le rythme actuel des émissions se maintient, l’organisation
    s’attend à ce que la teneur annuelle moyenne en CO2 à l’échelle
    du globe dépasse le seuil de 400 parties par million en 2016.
    Le dioxyde de carbone demeure dans l’atmosphère pendant un
    siècle, parfois plus longtemps, ce qui signifie qu’une bonne part
    du réchauffement climatique est déjà assurée.

    « La quantité croissante de gaz à effet de serre dans l’atmosphère
    montre de quelle façon l’homme a modifié l’équilibre naturel pour
    devenir un contributeur majeur aux changements climatiques »
    affirme Michel Jarraud secrétaire général de l’OMM.

    Les individus à l’âme guerrière et avides de conflits militaires,
    ayant une tendance plutôt destructive, seront les derniers à
    vouloir améliorer ce grave problème de pollution.
    Aussi ce sont les amoureux de la nature qui s’occuperont plus
    volontiers à prendre position et agir dans la bonne direction…

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