Le MH17 abattu: à qui la faute?

Malgré le fait qu’aucune enquête sérieuse relative au crash de l’appareil de la compagnie

aérienne Malaysia Airalines du 17 juillet n’ait encore  eu lieu, les accusations

visant la responsabilité de Moscou dans cet accident terrible ayant causé la mort de

298 personnes vont bon train.

 

                   

 

En effet, le nouveau président Ukrainien Porochenko ainsi que le secrétaire d’Etat américain

John Kerry accusent la Russie d’avoir livré aux « séparatistes » le système de missile sol-air

qui aurait servi à abattre l’avion. Si le premier parle de « preuves irréfutables », le second

évoque «des preuves circonstancielles extraordinaires» de la responsabilité de la Russie et

des séparatistes prorusses. Porochenko, le président qui fait terroriser et massacrer le peuple

de Donbass, va encore plus loin en appelant les dirigeants occidentaux à reconnaître la

DNR comme « organisation terroriste » en comparant cette tragédie aux événements

du 11 septembre ou à l’attentat de Lockerbie…

 

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Népal, sixième crash aérien en deux ans!

 

Le Népal subit une véritable série noire en ce moment… Six crash en moins de deux ans…En mai déjà, un crash aérien avait fait quinze morts dans la région montagneuse de Jomsom, six seulement s’en étaient miraculeusement sorties…

 

Aujourd’hui, vendredi 28 septembre, l’annonce d’un nouveau crash fait frissonner le pays entier. Le crash a eu lieu à un kilomètre de l’aéroport de la capitale, Katmandou. Cette fois ci, aucun survivant, et les autorités dénombrent pas moins de dix-neuf victimes. Victimes parmi lesquelles figurent sept touristes britanniques, cinq chinois ainsi que trois membres d’équipage et quatre ressortissants népalais. L’avion, un Sita Air Dornier Do 228, en partance pour Lulka, une destination très prisée par les touristes randonneurs du fait de la proximité avec le Mont Everest, a pris feu peu de temps après son décollage. Le pilote aurait essayé de se poser près du fleuve Manohara, sans succès. Néanmoins, le crash n’a pas fait de victimes au sol, une chance si l’on considère qu’il s’est crashé à proximité d’un bidonville et à une heure ou peu sont encore éveillés (six heures trente, heure locale).

L’incendie, maîtrisé à cette heure, a été relativement difficile à éteindre. Une trentaine de soldats ont ainsi été dépêchés pour venir en renfort afin de maîtriser l’incendie et ainsi éviter une propagation plus importante.

Cela relance le débat sur les transports aériens au Népal. Ce type de transport est fort répandu notamment du fait du manque de moyens terrestres pour accéder aux régions de hautes montagnes. On dénombre pas moins de quarante neuf aéroports et seize compagnies intérieures.  Le travail des pilotes est fort pénible si l’on considère que la montagne et les conditions atmosphériques sont peu propices à un vol en toute quiétude. L’état des avions ainsi que leurs entretien ne seraient pas en cause selon les autorités en place.

Passager porte-malheur

Le 19 février, Rob De Knecht était à bord d'un avion de la Turkish Airlines qui devait l'emmener en Irak, une escale était prévue à Istanbul.

Après une première partie de voyage sans problème, l'appareil amorça sa descente vers Istanbul et atterrit sans problème. Mais durant la phase de freinage, l'avion patinât sur la piste et alla heurter un pylône d'éclairage. Rob De Knecht se sortit heureusement indemne de cet accident.

Une semaine plus tard, le passager néerlandais remontait courageusement (ou peut-être inconsidérément) dans un avion de la même compagnie turque, mais cette fois pour rentrer chez lui. Hélas, il s'agissait du Boeing 737-800 de la Turkish Airlines qui alla s'écraser près de l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol ce 25 février, faisant neuf morts et de nombreux blessés.

Rob De Knecht s'en tira une fois encore, mais avec quatre côtes cassées.

Lorsqu'un passager survit à deux crashs aériens en l'espace d'une semaine, doit-on dire de lui qu'il a beaucoup de chance ou bien qu'il a une malchance incroyable ? On pourrait aussi voir cela d'un autre point de vue, et ne pas considérer Rob De Knecht comme une victime du destin, mais bien comme un de ses instruments; ce serait alors la compagnie turque qui devrait se méfier de ce passager qui a peut-être le mauvais œil et qui lui a déjà fait perdre deux de ses appareils.

L'histoire ne dit pas si Rob De Knecht continuera à voyager en avion, ou si dorénavant il préférera un autre moyen de transport. Mais vous tous qui me lisez, avant de prendre l'avion, assurez-vous que Rob De Knecht ne voyage pas avec vous… on ne sait jamais.

Accidents d’avion, attentats et contrôle de l’atmosphère

Aujourd'hui, il n'est plus possible d'écrire comme si le contrôle du temps, de l'atmosphère et des éléments naturels étaient hors de notre portée, au moins pour une action locale…

(par exemple à l'échelle d'un pays comme la France, qui n'est plus qu'un département d'Europe).

I 

Cette forme de conscience d'arrière-garde relève de la moitié du XX s.

(guerre froide, III guerre mondiale)
Or, déjà au cours de la guerre du vietnam les USA expérimentaient des techniques de contrôle du temps (par ex : faire pleuvoir une averse conséquente sur une colonne de chars ennemis pour l'embourber, et ce à partir de matières chimiques diffusées dans l'atmosphère au passage d'un avion)
 

Depuis, les choses ont bien évolué… mais aussi les buts dans lesquels ces technologies de contrôle du temps ou de l'atmosphère en général, sont exploitées.

image d'archive.

II 

"La réalité a plus d'imagination que n'en porteront jamais nos rêves" (Christophe Colomb) 

 

Les premiers hommes voyaient dans la manifestations des éléments naturels l'expression de forces occultes. Le rêve d'Icare, ou l'homme se voit voler, est aussi le désir de s'approcher de Dieu ou de l'Oeil de lumière qui inonde ce monde : le Soleil.

Les premiers arcs construits par l'homme ont révélés que celui-ci cherchaient dans la nature la présence de forces pouvant exprimer sa volonté sans subir l'obstacle du temps ou de l'espace.  

A partir du projet HAARP (Base US en Alaska), on sait que les USA influence régulièrement les deux grands courants électriques de la stratosphère… ce qui n'est pas sans conséquence sur la météo de certains pays ou régions du monde, évidemment… (Tsunami, ouragans à répétition, tempête de 1999 en France…)
L'atmosphère est très sensible au courants électromagnétiques dégagés par ces opérations.

 

Extrait du rapport européen de Rosalie Bertell (5.02.1998, Parlement européen)

"  Rosalie Bertell, actuellement présidente de l’International Institute of Concern for Public Health (Toronto, Canada) mais dont il est bon de savoir qu’elle fut aussi conseillère scientifique du Président Carter pour les technologies de défense dans les années 1970 apporte néanmoins un nombre considérable d’informations à ce sujet.

Selon son rapport, le projet militaire de substituer à l’ionosphère un bouclier artificiel, doté du même potentiel de transmission des télécommunications, mais si on peut dire  libéré des fluctuations et perturbations naturelles, ce projet donc remonte à 1958.

C’est l’époque où l’US Navy aurait procédé clandestinement à l’explosion de trois bombes nucléaires à une altitude ionosphérique, au dessus de l’Atlantique sud et à environ 1800 Km de la ville du Cap. Il ne s’agissait que d’évaluer les effets électromagnétiques de ce type d’explosion à très haute altitude sur les systèmes de télécommunication !… D’autres essais analogues auront lieu en 1962, suivis par ceux de l’Union soviétique. Dans sa communication, R. Bertell retrace la succession de projets déments et d’expérimentations insensées, et aussi des accidents survenus, tel celui d’avril 1986 dans le Nevada ayant entraîné de sérieuses retombées radioactives sur tout le continent nord-américain, lesquelles furent, sur le moment, attribuées à la catastrophe de Tchernobyl, survenue par un « heureux » hasard à quelques jours d’intervalle.

(…)

Dont les vrais bailleurs de fond sont la Navy, l’Air Force et le Département de la Défense.

(…) 

En deçà de l’exploitation technique dont elle est l’objet, l’ionosphère joue un rôle fondamental de protection de la biosphère, notamment en fixant les particules chargées électriquement par les phénomènes d’intenses ionisations qui caractérisent cette zone atmosphérique. « Le rayonnement solaire frappant un atome ou une molécule est partiellement absorbé par cet atome ou molécule, mais a une énergie suffisante pour lui arracher un électron, d’où la production d’un électron libre et d’un atome chargé positivement » (Manpey, p. 12).

Il en résulte, à une altitude d’environ 80 Km, une couche atmosphérique conductrice, et propice à la réflexion des ondes radio, donc à leur transmission.

(…) 

Une des questions posées par Nick Begich, l’un des représentants d’une totale opposition au projet HAARP, est celle-ci : « l’absence d’informations satisfaisantes sur des sujets aussi controversés que l’impact d’ondes à certaines fréquences sur les organismes, ou encore les conséquences potentielles d’expériences prolongées et plus agressives sur l’ionosphère, relève-t-elle d’une volonté de dissimuler, ou plutôt d’une ignorance de la réponse ? » (L. Manpey, page 44).

(…)

Parmi les applications possibles du projet HAARP, il faut aussi noter celle-ci, qui est de l’ordre de l’armement psycho-technologique, mais aussi susceptible, en cas de force majeure, de servir au contrôle des populations, de celles que, dans la littérature militaire, on désigne sous le nom d’ennemi intérieur : dans son livre qui semble avoir eu quelque écho outre-atlantique ¾ Angels don’t play this HAARP  Nick Begich souligne que le type d’ondes utilisées dans le cadre de HAARP ont aussi cette vertu de provoquer dans le système cérébral la sécrétion de substances neuro-chimiques aptes à générer « un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels tels que des sentiments de peur, de dépression, de désir, etc. ». L’auteur se dit convaincu que cette potentialité ne peut pas ne pas être prise en compte dans le cadre d’un tel programme. On le croit d’autant mieux que la domination moderne s’est annexée, pour les situations en temps de paix, une large panoplie de manipulations émotionnelles et sensorielles. 

 

III 

Tempêtes ou attaques militaires ?  

"Rarement reconnu dans le débat sur le changement climatique mondial, les conditions météorologiques dans le monde peuvent maintenant être modifiées dans le cadre d’une nouvelle génération d’armes électromagnétiques sophistiquées. Les États-Unis et la Russie ont développé la capacité de manipuler le climat à des fins militaires.

Des techniques de modification de l’environnement ont été appliquées par l’armée US pendant plus d’un demi-siècle. Le mathématicien étasunien John von Neumann, en lien avec le Département de la Défense des États-Unis, a débuté ses recherches sur la modification des conditions météorologiques à la fin des années 1940, au plus fort de la Guerre Froide, et il prévoyait des « formes de guerre climatique encore inimaginables. » Pendant la guerre du Vietnam, les techniques d’ensemencement des nuages ont été utilisées à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye, dont l’objectif était de prolonger la saison des moussons et de bloquer les voies d’approvisionnement ennemies le long de la route de Ho-Chi-Minh-Ville [NDT : À l’époque de la guerre du Vietnam, Ho-Chi-Minh-Ville était connue sous le nom de Saigon].

L’armée US a développé des fonctionnalités sophistiquées qui permettent de modifier les conditions climatiques de manière sélective. La technologie, qui est actuellement perfectionné dans le cadre du programme HAARP, High-frequency Active Auroral Research Program [En français : Recherches dans le domaine des hautes fréquences appliquées aux aurores boréales], est un appendice de l’Initiative de Défense Stratégique, « la Guerre des Étoiles. » D’un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive, qui opère à partir de l’atmosphère externe et qui est capable de déstabiliser des systèmes agricoles et écologiques partout dans le monde."

(Michel Chossudovsky, publié dans la revue "The Ecologist", juin 2008)

 

IV

Recherche d'un bouclier global, et contrôle des pensées

 

Selon différentes sources scientifiques, les militaires US n'en sont pas à leurs débuts ni à la phase expérimentale du projet, mais ont déjà obtenus des résultats sensibles qui justifient de poursuivre les expériences.

Celles-ci peuvent consister par à l'injection de fortes quantités d'énergie dans l'ionosphère, afin d'influencer la météorologie pour provoquer des effets bénéfiques dans une région donnée… ou cauchemardesque dans une autre.

Un domaine d'application, encore plus effrayant et dont les militaires américains pourraient tirer parti grâce au projet "Haarp" et le contrôle des pensées.

Vu le passif de l'Air Force et surtout de la CIA en matière d'expérimentations chimiques et bactériologiques, il est concevable que les militaires n'aient pu résister à la tentation de faire de Haarp une arme polyvalente. On se souviendra en effet des terribles expériences secrètes réalisées sur de pauvres soldats conscrits qui consistaient à leur injecter d'énormes quantités de drogues pour modifier leur comportement. Ou encore les expériences pour influencer les activités cérébrales avec des ondes : dès 1952, le Dr Jose Delgado, professeur à Yale, avait découvert que l'on pouvait affecter le comportement émotionnel et la façon de penser d'un individu par l'utilisation de certaines fréquences et certaines ondes.

Pour preuve que les risques existent, des Parlementaires Européens commencent depuis 1998, à se préoccuper des problèmes de la manipulation du comportement humain, ou plus exactement de l'esprit, par des micro-ondes, de la HF modulée ou des ELF et autres.

Elles peuvent venir de systèmes de télécommunication ou de détection comme les radars. Les inquiétudes de ces parlementaires reposent sur les révélations de l'existence des recherches faites aussi bien par les services secrets, que par certaines unités militaires spécialisées américaines ou russes. Mais d'autres pays sont impliqués dans ces recherches secrètes. Un premier procès verbal sur une résolution européenne a été élaborée provisoirement à partir de l'année 1998. Ce sont les écologistes qui ont été les plus actifs à démonter l'histoire de ces expériences.

On est par contre encore moins conscient des possibilités qui peuvent aussi concerner le manipulation mentale ou de l'esprit, par de l'utilisation de certaines technologies utilisant des ondes radioélectriques ou ELF. On sait en effet dans les services technologiques des services secrets de la CIA notamment, qu'en utilisant des modulations spécifiques, on peut rendre des individus cancéreux, dépressifs, léthargiques, paranoïaques, irritables, violents, mais que l'on peut aussi provoquer leur mort discrètement par ces moyens.

Cela fait longtemps que l'on sait que les ondes pulsées des systèmes radar sont capables d'endommager les systèmes immunitaires, de stresser, ou de modifier le comportement des individus. Ce qui veut dire que les réseaux de téléphone portable, sont capables de provoquer les mêmes effets, puisqu'ils utilisent eux aussi des micro-ondes pulsées, puisqu'ils font appel à l'agilité de fréquence appelée aussi saut de fréquence. Même si plusieurs grands systèmes radioélectriques américains ont pour objectif les télécommunications, il n'en demeure pas moins qu'ils ont des effets biologiques sur le métabolisme, que nul ne peut nier. Ils peuvent être dévoyés de leur fonction initiale pour des applications militaires. Certains sont déjà mis en cause par des cabinets d'avocats américains et accusés de générer des troubles du comportement. Deux systèmes de communication militaire US basés au Mexique, ont dû être stoppés et redémontés à la suite des troubles qu'ils occasionnaient, et pour éviter un incident diplomatique et une interdiction d'utilisation des autres moyen sur le territoire.

 

V

Haarp ou l'énergie libre

 

le programme HAARP, High Frequency Active Auroral Research Program, est un programme de recherche sur la haute atmosphère géré conjointement par l'U.S. Air Force et l'U.S. Navy sur un site appartenant au ministère américain de la Défense, le DoD, à Gakona dans le sud-est de l'Alaska.

L’étude sur la modification du climat, a commencé depuis les années 1960 (voir antérieurement), et entreprise par des pays tel que : Les USA et URSS (pays connus). HARRP est ici notre exemple.

Son principe est donc de réaliser, un faisceau d'émission radio directif, de forte puissance, vers le bouclier ionosphérique. Celui-ci se met alors à résonner, (circuit accordé self et condensateur). Les atomes ionisés de la haute atmosphère se mettent à osciller puis s'emballent sur leur fréquence de résonance. Il en résulte que l’endroit visée (Couche ionosphérique) se transforme en plasma (1) et devient réfléchissant comme un miroir. Cette onde HAARP est ainsi renvoyée vers le sol, avec de nouvelles propriétés. C'est ce mouvement d'onde tournante qui "ôte" les ions prisonniers de l'ionosphère. Les charges électriques annoncées sont alors véhiculées dans l'espace au moyen de l'électro-jet à haute densité de plasma.

Ces vagues d'ondes électromagnétiques, animées d'une grande vélocité, ont une trajectoire perpendiculaire aux lignes de champ magnétique de la terre et se déplacent d'un pôle à un autre. Au cours cette trajectoire dans la tropopause, elles provoquent, une multitude "d'effets climatiques". Les dipôles d'émission du champ d'antennes de Gakona sont assemblés en forme de croix. Ce procédé polarise le signal d'émission HF de telle sorte qu'il se propage en spirale. Toutes ces explications vulgarisées à. propos du HAARP sont nécessaires pour comprendre comment les vagues d'électro-jet chargées d'énergie, ont la faculté d'agir sur les anti-cyclones.et dépressions. Des masses d'air froid chassées des pôles qui agissent sur le climat des régions tempérées est un exemple.

Nous connaissons maintenant l’importance militaire de l'ionosphère qui est moins dense et contient à la fois des gaz neutres, des particules chargées telles que des ions ou des électrons. La présence de particules chargées dans l'ionosphère contrôle les performances de beaucoup de systèmes civils et militaires utilisant les ondes électromagnétiques…

 

VI

Les Anges ne jouent pas de cette HAARP !

 

"Certaines innovations technologiques, expériences, ou recherches scientifiques – notamment « HAARP », un programme de recherche sur les propriétés de l’ionosphère mené en Alaska par le département américain de la Défense – ont récemment contribué à raviver les préoccupations relatives aux utilisations militaires de l’environnement, en particulier les procédés de modifications climatiques. Une Convention de 1976, largement méconnue et dite « Convention ENMOD », interdit pourtant explicitement l’utilisation de l’environnement à des fins militaires. La dernière conférence de révision de la Convention ENMOD remonte à 1992. A défaut d’une relance rapide d’un processus de révision visant à corriger les lacunes et prendre en compte les avancées technologiques récentes, la Convention ENMOD risque de tomber définitivement en désuétude, ouvrant le champ aux pires scénarios."

Texte présenté à la Conférence « Sécurité Collective et Environnement », organisée le 12 juin 2006 au Parlement européen par Angelika Beer et Alain Lipietz, Députés européens (Les Verts/ALE).

 

Les nanotechnologies sont aujourd'hui également suspectées d'être utilisées aussi dans des buts autres que seulement industriels… On en trouve trace dans les enquêtes non-officielles et indépendantes au sujet du dernier tsunami. 

L'électromagnétisme : les armes à ondes et les lasers ont été dénoncées dans la guerre en Irak que mènent les américains… (rumeur ou test grandeur nature)

"La fausse neutralité de la science en font une arme dans les mains du plus fort"

"Dieu a dit : je partage tout en deux. Les riches auront la nourriture, les pauvres auront l'appétît" (Coluche) 

Reste la preuve : nous n'avons jamais accès à tous les éléments d'une étude indépendante. Les recherches sont systématiquement orientées dans un sens compréhensible pour le commun des mortels (juges, journalistes…),afin d'éviter des révélations sur le niveau réel des découvertes et applications scientifiques… et leur main mise pour des buts inavouables.
Ce qui rend suspects tous les résultats de ces études.

IL Y A DONC DES ACCIDENTS QUI EN SONT, ET D'AUTRES QUI N'EN SONT PAS, des tempêtes qui en sont et d'autres qui n'en sont pas car nous ne vivons pas dans le monde que nous avons appris à penser il y a 30, 40 et 50 ans.

(Les véritables terroristes sont parfois les "états eux-mêmes", non AlQuaida, qui n'est qu'une marque déposée du gouvernement Bush-Rockfeller)

Les découvertes du futur (ex : les maladies) sont déjà prêtes : elles seront annoncées au moment voulu. Elles existent pour des raisons de profits, de tests à échelle réelle mais aussi de régulations des populations humaines, comme le sont les conflits armés ou les famines organisées… sur des territoires ou le développement n'a jamais pu se réaliser ou la paix s'installer.

Nous n'avons pas plus accès aux laboratoires fermés qu'aux bunkers de l'armée…et nos gouvernements ne nous protégent pas tant qu'ils le disent.

Il revient à chacun de s'informer sur ces techniques mises au point par les  différents acteurs de la recherche au profit des Etats et d'agir en citoyen plutot qu'en usager dans son pays.

"En France, le parc nucléaire est important, non pas parceque nous n'avons pas une goutte de pétrole ou des idées, MAIS PARCEQUE LE LOBBY DU NUCLEAIRE  Y EST TRES FORT !" 

"Dans quelques décennies, 20 ou 30 ans, ce n'est pas l'Afrique qui sera développée et ressemblera à l'Europe, mais l'Europe qui ressemblera à l'Afrique actuelle"

(Jacques ATTALI, "Une brève histoire de l'avenir")

Ceux qui manipulent l'énergie supérieure aurait dans l'idée de procéder à un renversement des pôles !

 

BIENVENUE DONC DANS LE XXI s !

Un avion se crach dans l’état de New-york 50 morts

L'appareil en provenance de New York s'est écrasé sur une maison à quelques kilomètres de l'aéroport de Buffalo, avec 48 personnes à bord.

Deux personnes sont mortes au sol.

Un avion de ligne, avec 48 personnes à bord, s'est écrasé sur une maison à quelques kilomètres de l'aéroport de Buffalo, dans le nord de l'Etat de New York. L'appareil arrivait de Newark, dans le New Jersey, près de New York, et s'est écrasé a environ 8 km de l'aéroport, alors que de la neige fondue tombait. Les 48 personnes à bord et deux personnes au sol ont été tuées dans le crash. "Il n'y a aucun survivant", a déclaré la porte-parole de la police de l'Etat. Selon la chaîne MSNBC, l'avion s'est écrasé à 22h10 locales. CNN a montré des débris de l'appareil en train de brûler et indiqué que deux personnes ont été conduites à l'hôpital. L'administration de l'aviation civile (FAA) n'a fourni pour l'heure aucun élément sur les causes de l'accident.

 

Des témoins ont décrit une très forte explosion au moment de l'impact, avant que l'avion ne prenne feu et plusieurs habitants affirment que l'appareil était en feu avant qu'il ne touche le sol. "C'était comme un tremblement de terre, on a ressenti le choc", a témoigné un habitant vivant à moins d'un kilomètre du lieu de l'accident. "Malgré le vent qui souffle dans l'autre sens, la fumée et l'odeur sont très fortes", a-t-il poursuivi. Un autre témoin a vu l'avion voler "vraiment bas". "J'ai regardé par ma fenêtre, et le ciel tout entier était illuminé par une flamme orange", a dit ce témoin à la chaîne de télévision MSNBC. "Il ne reste rien du fuselage ni des ailes", a précisé un habitant du secteur, à MSNBC sur les lieux du crash.

Une chaîne de télévision locale, WGRZ, a diffusé une conversation des contrôleurs aériens essayant d'entrer en contact avec l'appareil alors qu'il s'approchait. L'un des contrôleurs demande à un autre avion de le chercher après qu'il a disparu des écrans, puis demande à quelqu'un de prévenir la police. Douze habitations ont été évacuées en raison des fumées toxiques, selon le Buffalo News, un journal local. L'appareil transportait 2,6 tonnes de kérosène et s'est transformé en boule de feu en s'écrasant au sol, a expliqué un responsable du comté d'Erie à CNN. "L'avion a de toute évidence explosé lors de l'impact. Il y a eu un gros incendie au départ. Il s'est écrasé tout près d'une caserne de pompiers, donc ils ont pu être sur place dans les secondes suivant le crash", a-t-il expliqué.

Plusieurs heures après le crash, l'épave était toujours inaccessible en raison de la chaleur intense dégagée après l'explosion de l'appareil. "Le fuselage est toujours extrêmement chaud. Il va falloir attendre pas mal de temps avant que la température soit assez basse pour commencer une enquête détaillée", a indiqué sur CNN le coordinateur des secours. Des pompiers et des membres des forces de l'ordre blessés "se portent tous bien, ce sont des blessures sont légères", a-t-il ajouté. "Nous avons évacué une dizaine de maisons par simple précaution, mais en même temps nous avons besoin de maintenir l'intégrité du site (de l'accident). Chaque indice, toutes les informations qui peuvent se trouver sur le terrain, nous avons besoin de les conserver afin de découvrir ce qui est arrivé", a-t-il souligné. Le constructeur de l'avion, le Canadien Bombardier, a dépêché une équipe d'experts sur les lieux du crash et a présenté ses condoléances aux familles des victimes.

Si les accidents d'avion sont toujours très spectaculaires, il n'en est pas moins le moyen de transport le plus sur de la planète. Que doit-on retenir d'une telle catastrophe ? Nous ne sommes qu'une aiguille dans une botte de foin. Nous inventons, fabriquons, mais il reste toujours des éléments que nous ne pouvons pas mettre sous contrôle. Doit-on arrêter de vivre pour autant ? Certes non, mais quand apprendrons-nous à grandir ? Je veux dire : quand arrêterons-nous de nous croire supérieurs ? Lorsque les éléments se déchainent, nous comptons nos morts… et c'est tout ce qu'il nous reste.

49 morts dans le crash d’un avion aux Etats-Unis

Jeudi soir, un avion s'est écrasé sur une maison aux Etats-Unis, plus précisément dans l'Etat de New-York.

L'accident a provoqué la mort de 48 personnes qui étaient à bord de l'appareil, ainsi qu'une personne qui se trouvait au sol.

 Cet accident fait partie des plus meurtriers de l'histoire aux Etats-Unis dans l'aviation. L'avion transportait les 48 personnes qui n'ont pas survécues au crash. C'est lorsque le Porte-parole de la Police de l'Etat a déclaré qu'il n'y avait aucun survivant, qu'un responsable local venait de déclarer qu'une personne étais décédé au sol suite à l'accident de l'avion.

L'appareil était un Bombardier Dash 8 Q400 de la Continental Airline. Il s'est écrasé jeudi soir à 22h20 (3h20, vendredi, heure GMT), quelques minutes avant son atterrissage qui étais prévu à l'aéroport de Buffalo.

 

 CNN a précisé que l'appareil arrivait de Newark, dans le New-Jersey, et s'est écrasé à 8km environ de l'aéroport où il devait se poser.

 Le 15 Janvier 2009, un accident aérien avait déjà eu lieu sans faire de victimes, un Airbus A320 avec plus de 150 passagers à bord, s'étais posé sur le fleuve Hudson à New-York, grâce au courage remarquable du pilote.

 

Dans les environs du crash de l'avion, douze habitations ont été évacuées suite à des fumées toxiques.

  En s'écrasant au sol, l'appareil s'est transformer en boule de feu car il transportait 2.6 tonnes de kérosène, a expliqué un responsable du comté d'Erie à CNN.

 

La Renault F1 de 2009 échoue aux crashs tests de la FIA !

Le lancement de la Renault R29 va sans doute être retardé. En effet, nous avons appris que la nouvelle monoplace de l'écurie Française a échoué plusieurs fois aux crashs tests obligatoires imposés par la FIA. La présentation était planifiée pour le 19 janvier mais les crashs tests de l'aileron avant ainsi que des impacts latéraux ont échoué.

Un porte parole de l'équipe a confirmé que les tests avaient échoué mais que les ingénieurs savent d'où vient le problème et qu'il était dors et déjà résolu. ''Ce n'est pas quelque chose qui arrive rarement. Nous avons identifié le problème et l'avons résolu. Nous espérons que la voiture sera présentée à Algarve le 19 janvier.''

Un défaut comme celui-ci n'est pas rare car les tests sont poussés au maximum afin de tester la sécurité totale des pilotes. Or on sait que le KERS qui n'est pas obligatoire mais conseillé sera intégré aux monoplaces cette année et ce système a quelque peut bouleversé la construction des nouvelles autos ce qui peut expliquer ces échecs lors des crashs tests réglementaires.

Cependant, que les fans de l'écurie française se rassurent, un problème lors des crashs tests n'ont jamais empêché les monoplaces Renault de bien fonctionner. En effet, ils avaient échoué en 2005 lors des crashs tests latéraux et pourtant, ils avaient remporté le championnat du monde en fin d'année.

Crash d’un Airbus A320 au large de Perpignan

Ce soir, un airbus A320 appartenant à une compagnie aérienne Néo Zélandaise qui effectuait un vol près des côtes françaises, s'est écrasé avec à son bord 7 personnes. Il s'agirait de deux membres d'équipage de XL Airways (compagnie allemande qui exploitait l'appareil depuis deux ans) et de cinq techniciens de la compagnie Air New Zeland (propriétaire de l'appareil). Cependant, l'identité et la nationalité des personnes se trouvant dans l'appareil ne sont pour le moment pas connues.

L'appareil était en France pour subir des opérations de révisions, qui avaient lieu à l'aéroport de Perpignan, et qui étaient menées par la société EAS Industries. Une fois ces opérations terminées, l'avion devait être rendu à son propriétaire.

 

Aussitôt l'annonce du crash, les secours se sont mis en place pour tenter de retrouver d'éventuels survivants. Malheureusement les conditions météo ne sont pas au rendez-vous. Le plan rouge a été déclenché, et ce sont cinq navires et un hélicoptère qui fouillent la zone de l'accident. Le bilan provisoire fait état de trois morts, dont les corps ont pu être repêchés.

Peu après le drame, (vers 17h) c'est un voilier qui a donné l'alerte. BEA (Bureau Enquêtes Accidents) a ouvert une enquête, afin de déterminer les causes de ce drame.

Une famille survit au crash d’un hélicoptère sur sa maison

Aux Etats-Unis, la ville de Kenosha (Wisconsin) a connu un évènement comme il en arrive très rarement.

En effet, une famille de cinq personnes (les deux parents et trois enfant âgés de deux, six et neuf ans) a survécu au crash d'un hélicoptère dans sa maison. Selon les autorités locales l'appareil serait tout d'abord passé à à travers le toit de la maison, avant de s'écraser entre les chambres dans lesquelles dormaient les occupants de l'habitation.

Il a ensuite "descendu" les escaliers avant de détruire un pan de mur de la maison, terminant sa course au milieu de la rue.

D'ailleurs le chef des pompiers de la ville a déclaré que cette famille:

"a vu un hélicoptère lancé à grande vitesse, en marche et rempli de fuel passer à travers sa maison. Il est littéralement passé entre les chambres où ces gens dormaient, à moins de quelques mètres d'eux."

Si cette histoire se limitait là elle pourrait être considérée comme un fait d'hivers hors du commun, mais il est a noter que les deux passagers de l'hélicoptère, le pilote et sa passagère, sont tous deux décédés dans cet accident, semble-t-il du à de mauvaises conditions météos.

Crash de la Spanair : les circuits électriques de l’avion mis en cause

Selon le Wall Street Journal, qui cite des sources proches de l'enquête, la catastrophe aérienne qui a fait 154 morts et 18 blessés à Madrid le 20 août dernier ne serait pas liée à l'incendie d'un des moteurs de l'avion ou au déploiement malencontreux des aérofreins, mais à un dysfonctionnement des volets de décollage.

Le journal new-yorkais affirme que des éléments préliminaires issus des boîtes noires récupérées dans les débris du McDonnel Douglas MD-82 indiquent que les deux moteurs fonctionnaient parfaitement et qu'il n'y avait pas d'incendie avant l'impact. Cependant, les données enregistrées indiqueraient que les volets situés sur les ailes de l'avion n'étaient pas abaissés en position de décollage.

Normalement, lorsque les volets ne sont pas abaissés au moment du décollage une puissante alarme retentit dans le cockpit alertant les pilotes. Cependant, les enquêteurs signalent qu'une sonde permettant aux pilotes de connaître la température à l'extérieur de l'avion avait été désactivée parce qu'elle fonctionnait mal, ce qui ne mettait pas en danger l'utilisation de l'appareil dans des conditions normales, mais qui aurait dû indiquer aux contrôleurs que d'autres systèmes électriques affectant des éléments plus importants pouvaient être défectueux. Ainsi, on peut supposer qu'un autre système électrique a empêché l'alarme de retentir ce qui aurait laissé les pilotes tenter de décoller avec les volets relevés.

Un expert en accident d'avion a d'ailleurs fait remarquer que les descriptions du crash selon plusieurs témoins et les traces de l'impact sont caractéristiques d'une tentative de décollage avec les volets relevés. Cet expert signale malgré tout qu'on effectue d'habitude un contrôle visuel de la position des volets avant un décollage, et que la faute humaine ici est flagrante.

Espérons que les enquêteurs découvriront rapidement les causes exactes de cette catastrophe, non seulement pour les familles des victimes, mais pour la sécurité aérienne dans son ensemble puisque chaque accident permet aux vols suivants d'être plus sûrs.