Étiquette : Congrès

L’UMP dans la dernière ligne sinueuse avec… Copé

À 15:30, ce lundi après-midi, les « Cocoés » – qui ont bien gagné leur ordre du Mérite ou de la Légion d’honneur – abordaient la dernière pente sinueuse d’une rude côte : le nouveau comptage des résultats du duel Copé-Fillon dans les dix derniers départements. Soit sans doute les plus contestés et litigieux. Après une hilarante soirée, puis nuit, qui m’avait tenu éveillé jusqu’à 11 heures ce matin, reprise du feuilleton. Un qui a peut-être perdu une bonne occasion de se taire, c’est Yves-Marie Cann, de l’Institut CSA, qui annonçait, peu avant 15 heures, un résultat complet avec Fillon vainqueur de… 93 têtes pour la France métropolitaine. 

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François Bayrou fédérateur de la république !!

François Bayrou sort de son anonymat, le leader centriste en pleine décélération clame son indépendance politique et rejette toutes idées d'une possible alliance avec le parti socialiste. Bayrou s'épanche sur les ondes de LCI…

 

 

 

 

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PS : Le messie nouveau s’appellera t’il Marie-Ségolène ?

On y est ! Ségolène est candidate au poste de première secrétaire du Parti Socialiste

 

Et c’est une bonne chose !

 

Une bonne chose, pour la droite, au vu des performances passées de la gente dame.

 

Une bonne chose, pour le PS, car, avec elle, « tout serait vraiment possible » et tous les espoirs permis pour ceux qui envisageaient de faire sécession et … pourront donc rester.

 

Une bonne  chose pour la vie Politique Française et la parité, car le parti le plus misogyne de France, si elle obtient le poste, tournera royalement une sacrée page.

 

Plus sérieusement …

 

La « nomination » de Ségolène Royal permettrait de sauver le PS et de lancer enfin un vrai débat, à l’intérieur de ce parti.

En effet nous savons que la future nouvelle Secrétaire est fan des commissions et des enquêtes auprès des militants.

 

Elle nous a habitués, lors des dernières échéances électorales, à se reposer sur les attentes des militants et éventuellement des français, pour définir ses prises de positions et l’orientation des grands axes de sa politique ; c’est ce qu’on attend d’un secrétaire général

 

Ses bourdes passées, à répétition, plaident aussi en sa faveur et, même si elle semble avoir beaucoup appris, en la matière, cela lui permettra d’endormir les éléphants.

 

Sa force, c’est l’âge des militants qui l’ont amenée là : les jeunes ! Ceux là, il ne lui faudra pas les décevoir ; mais, si elle y parvient, ils lui permettront d’en imposer à tous les autres.

 

Sa faiblesse c’est le piège Bayrou. Saura-t-elle l’éviter ?

Si non, elle perdra sur sa gauche et renforcera la nébuleuse du facteur.

Gageons qu’elle s’en sortira bien, car son succès, sur ce coup, lui permettrait de rouler quelque temps solo et, égo oblige, de se passer, momentanément, d’alliés de circonstance quelque peu encombrants …

 

A moins qu’elle ne nous ressorte le coup de son parrain en politique, François Mitterrand, le coup … du programme commun

 

Il faut peut être le souhaiter, rien que pour le plaisir … de voir assis, à la même table, Ségolène Royal, Olivier Besancenot et François Bayrou.

 

On n’a pas souvent, par les temps qui courent, l’occasion d’une franche rigolade…

Et puis, il faut avouer que l’incroyable faculté de la candidate à nous la jouer les Gaston Lagaffe féminins, a fini  par nous la rendre attachante et sympathique …. Son nouveau look aussi… on ne se refait pas !

Congrès de Reims : l’imbroglio « socialiste »

On va encore nous accuser de "faire le jeu de la droite", suivant le terrorisme intellectuel qui oblige à cautionner tous les errements des soi-disants "socialistes" au nom du combat contre Sarkozy. Tant pis. Comme le disent Mélenchon et Dolez, "ça suffit comme ça !" Comment ne pas leur donner raison ?

Les partisans de Ségolène Royal s’offusquent du "tout sauf elle". Ils oublient qu’elle estimait que le SMIC à 1500 euros bruts et la généralisation des 35 heures n’étaient pas des propositions crédibles, après qu’elles ont pourtant figuré dans son programme pour la présidentielle. Et qu’elle a ensuite appelé François Bayrou entre les deux tours des législatives – scrutin qui ne la concernait pas -, sans en référer à personne au PS, comme si elle en était déjà la chef autocratique, pour lui proposer une alliance nationale, ainsi qu’elle lui avait déjà offert, entre les deux tours de la présidentielle, de devenir son Premier ministre (lire notre réquisitoire complet ici).

Restent donc les motions Aubry, Delanoë et Hamon. Des trois, c’est la dernière qui avait attiré notre sympathie : en unissant la gauche du PS, le fringant député européen avait réussi un joli tour de force. Les 19% qu’il a obtenus, bien qu’appréciables, l’ont cantonné à la dernière place qui lui était promise, incapable d’infléchir la ligne du parti quand 81% des militants s’étant exprimé ont voté pour la social-démocratie incarnée par les trois autres motions. Voilà qu’Hamon s’apprête à présent, comme l’annonce l’AFP, à faire alliance avec Aubry et Delanoë, ce dernier n’acceptant l’arrangement qu’à la condition que le candidat au poste de Premier secrétaire soit issu de ses rangs. "Nous refusons de nous renier en participant à des complots et des combinaisons tactiques, écrivaient Mélenchon et Dolez au moment de claquer la porte du PS. Un communiqué ô combien prémonitoire, à la lumière des dernières évolutions. Benoît Hamon, prisonnier de la logique de ce parti capitulard, dans la lignée d’un DSK ayant davantage privatisé que la droite n’avait osé le faire, s’apprête donc à son tour à se trahir : quelle convergence avec le libéral-socialisme d’un Bertrand Delanoë  ?

"Quels que soient les arrangements qui sortiront du Congrès de Reims, la future direction du PS appliquera l’orientation majoritaire en particulier quand viendront les prochaines élections européennes. Il faudrait alors accepter ce que nous refusons depuis toujours : le traité de Lisbonne et le Manifeste commun avec les partis sociaux démocrates qui gouvernent avec la droite dans leur pays", poursuivent nos deux sécessionnistes, qui viennent de fonder le Parti de gauche. Bon vent à eux. Pour notre part, nous ne voulons plus entendre parler du PS – et il est grand temps. «  Nous croyons qu’il est possible de travailler ensemble », a dit hier Jean-Luc Mélenchon à propos du NPA d’Olivier Besancenot. Quant au PC, rendez-vous est d’ores et déjà pris pour mardi prochain. "Le Parti de gauche se verrait bien aux prochaines élections européennes de juin 2009 à la tête d’un «  front de gauche  » regroupant les familles du Non à la Constitution européenne en mai 2005", résume La voix du Nord. Nous en serions. Chiche ?

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Nouvel Ordre Mondial ? … de quoi s’agit-il ?

 

L'expression a été utilisée lors d'un discours prononcé au Congrès américain le 6 mars 1991 par le président George H.W. Bush.

 Le 25 Septembre 2007, cette expression a été reprise par  le président de la République Française, Nicolas Sarkozy, qui s'exprimant  à la tribune des Nations-Unies, a plaidé en faveur d'« un nouvel ordre mondial pour le XXIe siècle »

Faisait-il allusion consciemment à l’objectif soutenu par le Nouvel Ordre Mondial promoteur secret et actif  d’un nouveau New Deal à l’échelle mondiale ? Ou employait-il cette formule par facilité  oratoire pour exprimer une autre idée ? Je n’ai bien entendu aucune réponse à formuler, je ne suis pas dans le secretsdes grands de ce monde,  mais cette formule « Nouvel Ordre mondial » m’a interpellée et j’ai recherché sur le web quelques informations d’ordre général que j’entends vous faire partager et soumettre à vos réflexions, si cela vous intéresse

bien entendu.

Si tel était  le cas je vous recommande aussi  pour  information plus approfondie,  de rechercher vous-mêmes,  sur le Web,  les sites qui expliquent en quoi consiste le Nouvel Ordre Mondial,  quels sont ses initiateurs et adeptes, quel est son objectif.

Pour ma part, je vous livre une  synthèse   d’informations  sur   le Nouvel Ordre Mondial « new worl order », recueillie sur  différents  sites  web :

« Cet ordre mondial serait caractérisé par sa tendance unipolaire (après cinquante ans de « bipolarité, incarnée par l'opposition entre le monde occidental et le bloc soviétique), un fort « interventionnisme international au nom des Droits de l'homme, et une volonté d'expansion « de tout ce qui, schématiquement, définissait le modèle américain pendant la Guerre froide, « notamment la démocratie et l'économie de marché.

« Les tenants de la théorie du nouvel ordre mondial, aussi appelée « théorie de l'empire global », considèrent les événements politico-économiques internationaux survenus depuis 1989 « comme témoins de la transition de l'humanité vers un « empire global », polarisé autour d'une seule puissance mondiale : les États-Unis.

« Cette théorie du nouvel ordre mondial, datant de la  première moitié des années 1990  est   contestée par des économistes  qui, au lieu d'une « unipolarité » , préfèrent définir le monde comme étant plutôt « multipolaire », la Chine et l'Inde étant également des pôles majeurs non pris en compte par la   « théorie de l’empire global » du Nouvel Ordre International .

Le nouvel ordre mondial aurait pour antécédent,  depuis 1952, des réunions informelles réunissant des universitaires, des financiers, des politiques, des hauts fonctionnaires internationaux.

 Lors d’une réunion d’une centaine de membres,  convoquée en Mai 1954 à  Oosterbeek en Hollande , par un* prince européen mari d’une Reine*,  le  "Bilderberg Group", a été  constitué avec pour  objet officiel de construire l’unité occidentale contre l’expansion soviétique.

(* prince connu pour son goût des affaires et par  ses amitiés avec les plus puissants financiers et industriels internationaux).

La gouvernance et les règles de fonctionnement du Bidelberg Group  sont secrets, les délibérations ne donnent lieu à aucun compte rendu,  la presse  ne reçoit aucune communication..

Au début,  la présidence  du Bilderberg Group était exercée par le prince et cette association regroupait   le monde international des affaires au sens larges. En 1976, un scandale  dit « des pots-de-vins «  et le "mea culpa »  public de l’intéressé lui-même, obligea  le prince   à quitter la présidence du Bilderberg Group et  l'organisation  poursuivit ses activités,  sous l’égide de son vrai patron occulte,   le milliardaire David Rockefeller qui en réalité tenait tout en mains, mais se tenait « en cache » sous la personnalité de façade du prince.   

Ce financier américain  est en effet,  l’initial investigateur  du Bilderberg Group dont les membres à l’époque comptaient :  Retinger,  F.D.L. Astor, éditor du London Observer; Georges Ball; Pierre Commin, de la S.F.I.O.; Allen Dulles, ancien directeur de la CIA; le sénateur américain Fulbright; Robert Murphy, Dean Acheson et Henry Kissinger, hommes d'états américains; Robert Oppenheimer, le père de la bombe d'Hiroshima et de Nagasak, Nelson Rockefeller, futur vice-président des USA. 

Autre implication, en 1976   David Rockefeller venait de créer la Trilatérale. Il en est aujourd'hui le patron  pour l'Amérique, tout en présidant le Coucil on Foreign Relations (C.F.R. ou Conseil aux relations étrangères),  promoteur du Bilderberg Group et de la Trilatérale (le CFR ne regroupe que des affiliés américains). 

Des liens  puissants unissent  ces trois groupes secrets , que certains comparent à des sectes,  on retrouve  de nombreux affiliés du Bilderberg Group au sein du C.F.R. et de  la Trilatérale.  Le financier Rockefeller anime  les trois organisations.

 Des personnalités sont affiliées simultanément  à deux ou trois de ces sociétés. Par exemple: Georges Bush (CFR, Trilatérale); Zbigniew Brzezinski (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Henry Kissinger (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Robert McNamara (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Giovanni Agnelli (Trilatérale, Bilderberg); Edmond de Rothschild (Trilatérale, Bilderberg); Thierry de Montbrial, président de l'Institut Français des Relation Internationales (Trilatérale, Bilderberg); Jean-Claude Casanova (Trilatérale, Bilderberg), homme de confiance de Raymond Barre (Trilatérale)  Raymond Barre(Trilatérale),   et on cite aussi  Lionel Jospin (Bilderberg),  et bien d’autres encore  de droite ou de gauche, athées ou croyants, dont  le point commun  est la défense et la promotion  internationale du  néo libéralisme et  l’objectif principal,  la consolidation de  la puissance financière internationale   par la mise en place  d’ organismes supranationaux, la mondialisation progressive politique et économique des pays, le bannissement des protections sociales publiques,  pour parvenir à un empire international global,  avec pour arguments  de mise en confiance l’incitation à la démocratisation des institutions des pays à endoctriner,  et pour drapeau  colifichet « la Défense des Droits de l’Homme. » qu’ils professent dans  tous leurs discours, pour ceux d’entre eux qui ont des responsabilités politiques officielles. Des loups revêtus de peaux d’agneaux.  

 

 Ces associations se réunissent  périodiquement en conférence , pour ajuster et  établir leur  contrôle sur les rouages essentiels des organismes supranationaux, la presse ne peut en faire état puisque tenue à l’écart, mais quelques « fuites » de temps en temps nous ont permis d’apprendre que certaines personnalités dont on suppose des sympathies avec le Bidelberg Group sont invitées à y participer, et depuis 1977 des noms ont été cités tels que ceux de Henry Kissinger, Giscard d'Estaing (qui  aurait refusé)  Helmut Schmidt, Niarchos,  armateur grec, Agnelli, patron de la  Fiat ou encore des  Premiers ministres,  le président de la Chase Manhattan Bank etc.  …….  En principe ces conférences se réunissent quelques  jours avant les sommets  de l'économie mondiale,  G8 etc. …et autres sommets politiques et économiques  internationaux liés aux questions financières  industrielles, où même les sommets portant sur  les questions de défense, OTAN etc.…. 

La grande presse victime d’exclusion de   leur réunion et conférence et d’ex communication sur la teneur de leurs délibérations  ne peut que faire  silence sur l’essentiel, et se dédouane en  diffusant épisodiquement  de vagues informations , des allusions à telle ou telle adhésion , ou tel ou tel objectif supposé,   si bien que le grand public ignore tout des véritables desseins des politiciens et de financiers qui n’ont qu’un objectif, mettre le monde en coupe  réglée, soit disant au nom  des droits de l’homme, en réalité au nom de leur portefeuille

Mais il arrive, les humains étant ce qu’ils sont, que pas suite de chicanes  internes,  le secret  des délibérations  du  Bilderberg Group  fassent  l'objet d'indiscrétions  (dont la source n’est jamais dévoilée) et  un auteur   Jacques Bordiot  a pu résumer dans son livre "Une main cachée dirige", quelques  sujets proposés au cours de leurs travaux :,

Il s’agirait :  

–  des problèmes financiers internationaux 

–  de la liberté d'émigration et d'immigration 

–  de la libre circulation des produits sans entraves douanières 

–  de  l'union économique internationale 

–  de  la constitution d'une force de police internationale avec suppression des armées

    nationales            

–  de  la création d'un Parlement international 

–  de la limitation de la souveraineté des états déléguée à l'ONU ou à tout autre gouvernement

    supranational

Cet auteur écrit dans son livre : "C’est comme on le voit, le processus vers la constitution d'un Gouvernement mondial »

En 1950 le 17 Février,  Paul Warburg, célèbre financier lié au CFR, avait déclaré  devant les sénateurs américains: "Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consentement". 

Les  idéologies qui animent ces trois associations imbriquées l’une dans  l’autre comme des poupées russes  sont en partie  communes  à tous leurs membres mais toutes les personnes recrutées  ne sont pas au courant des idéologies fondamentales  des membres qui font aussi partie des  2 autres sociétés secrètes (Trilatérale et CFR). 

Les membres qui dirigent  les trois associations  sont  les plus puissants,  il s’agit de ce que nous appellerons, pour faciliter la lecture,  le « noyau central    »,  les autres membres sont les hommes de la finance et de la politique, intéressés par  l’établissement  d'un gouvernement mondial qui harmoniserait tout (au niveau politique et économique), ignorants des véritables motifs qui animent le « noyau central  » qui est d’ instaurer  un gouvernement mondial.

Le «  noyau central  » très puissant à l’intérieur de chaque organisation ,  utilise à l’extérieur les autres  membres  , mais les uns et les autres agissant de concert ne poursuivent pas les mêmes visées, les visées du « noyau central  » demeurent secrètes à l’intérieur , les visées des autres membres sont  matérielles  et se manifestent à l’extérieur, ils sont utilisés par le "noyau central" pour  favoriser l’établissement de structures internationales politiques,  économiques, industrielle qui permettent au" noyau central" de mettre en pratique son idéologie unitaire  pour parvenir à  un gouvernement mondial.

Le « noyau central » dont tous les membres sont affiliés au  Bilderberg Group, , est le Steering Committee (Comité de Direction), composé de 24 Européens et de 15 Américains. Tous sont ou ont été  affiliées au CFR. On y retrouve, David Rockefeller,  George W. Ball, Robert Murphy, Arthur Dean, Dean Rusk, etc. 

Certains des membres du "noyau central"  font partie d'un «  noyau dur », très fermé,  le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif), qui comprend des membres européens et américains, ces derniers appartenant tous au CFR.

Nous trouvons aussi certains textes qui affirment que  les puissances politico-financières tirent les ficelles de nos  dirigeants, politiques et politiciens. Et aussi d’autres qui affirment, sans les nommer, que certains médias sont informés mais complices et qu’ils sont tenus comme  la plupart de nos politiques en laisse  par la Trilatérale ou le Bilderberg Group.

Des noms de personnalités sont cités pour avoir été invités ou avoir participés, comme celui de Michel Rocard, à une des réunions du Bilderberg Group, on cite même aussi le nom d’un député-maire radical qui se serait laissé piéger en s’affiliant en méconnaissance de cause à la Trilatérale dont il a réussi à se  « tirer » une fois qu’il s’était rendu compte qu’il avait mis les pieds dans de sales draps, et on déplore aussi que certaines personnalités  désinformées fassent partie de ces organisations  dévouées au  plan mondialiste de destruction des patries et d'asservissement des peuples.   

Ce que nous pouvons regretter amèrement, c’est que les électeurs qu’ils votent à droite, au centre, à gauche, ne savent jamais quelle est la vraie appartenance de celle, celui qui se présente  à leur suffrage, et malheureusement il arrive qu’ils votent sans le savoir pour un adepte de ces sociétés secrètes..

Si vous recherchez  bien dans le Web et prenez bien votre temps pour lire de nombreux, très nombreux articles, vous trouverez avec  indignation  le nom de plusieurs de nos dirigeants actuels  et des membres de leurs familles, affiliés ou en accointance d’affaires ou de sentiments,  avec ces trois organisations secrètes, dévouées au plan mondialiste d’anéantissement des patries et d’asservissement des peuples.

PS : parmi les personnalités citées certaines depuis  sont passé dans l’Ordre Cosmique Universel.Il y a une justice pour tout le monde, indépendamment du Nouvel Ordre International !  

 

Chef d’Etat ou chef de parti ? Les institutions en danger de dictature !

 

La réforme des institutions est soumise à des pressions intolérables !

Les Sénateurs et les députés sont  convoqués  à 15 h 30  Lundi 21 Juillet dans le grand amphithéâtre de l'aile du Midi du château de Versailles, pour se prononcer par vote sur  la réforme des institutions, voulue par Nicolas Sarkozy. Certains d’entre eux  personnellement en désaccord avec le texte,  y compris des membres de l’Ump et des Centristes, se sont abstenus ou ont voté non en première ou en deuxième lecture.

Le vote du Congrès va se jouer à quelques voix, puisque François Hollande a annoncé officiellement que les socialistes voteraient non. Seul un  illustre ancien ministre socialiste,  Monsieur Lang, en attente de quelque distinction sarkozienne,  votera oui.

Au mépris de leurs convictions profondes, les « dissidents nonistes UMP et Centristes » sont soumis depuis plusieurs jours ?  disons-le clairement ,  à des pressions personnelles  de la part du Chef de l’Etat, qui entend les faire voter à sa convenance  pour le soutenir, laissant une fois de plus son activité de chef de clan prendre le pas sur ses fonctions institutionnelles. 

La réforme constitutionnelle doit obtenir la majorité des trois cinquièmes et pourrait être rejetée à quelques voix près,  l'Elysée et ses conseillers  interviennent  abusivement  pour ramener  ces « nonistes » au bercail et chacun d’entre eux se trouve soumis à des tensions personnalisés selon son « profil ».

Au mépris de leur rôle de Sénateurs et de députés, au service de la Nation, certains d’entre eux ont  déjà cédé à la pression et  baissé honteusement  leur culotte,  et renonçant  à leur propre conviction, il se sont retrouvés courtisans et partisans  plaçant l’intérêt du parti  avant celui de la Nation : pour faire court je ne citerai que deux exemple,  les députés UMP  Hervé Mariton (Drôme) et George Tron (Essonne)  viennent d’annoncer  leur intention de voter "finalement" oui lundi à la révision constitutionnelle et Monsieur Tron n’a pas hésité à dire sur une chaîne de radio qu’il avait préféré soutenir « le parti »"Notre abstention était jusqu'à présent l'expression modérée de notre scepticisme" ont prétendu  les deux députés, mais "un rejet – possible – au Congrès se transformerait en piège pour la majorité 

Note : on ne peut être plus explicite, l’intérêt du clan majoritaire passe avant l’intérêt de la nation,  une fois de plus nous constatons que des députés élus par des électeurs et payés par les contribuables  pour défendre l’intérêt de la nation, se conduisent en partisans dans l’intérêt de leur clan.

Cette annonce intervient alors que  de  fortes pressions  se multiplient  pour convaincre les derniers récalcitrants UMP et centristes,  de s'abstenir à défaut de voter contre. Monsieur Sarkozy peut se vanter d’avoir obtenu à la dernière minute  le ralliement de Monsieur  Bernard Debré qui était jusqu’à sa défaite  l'un des farouches opposants à la réforme.

 Pour certains tout semble se marchander ……L’un d’entre les sénateurs s’est amusé à révéler : « Je ne cesse d'être sollicité, je reçois en ce moment beaucoup de preuves d'amitié …… Si je voulais passer un week-end sympa quelque part, je n'aurais qu'à demander. »

Beaucoup de parlementaires, sénateurs et députés, se sont sentis flattés des invitations  de Nicolas Sarkozy  à l’Elysée, certains vaniteux flairant « la bonne affaire » , sont tombés dans le piège des flatteries et des promesses d’autres sont restés fidèles à leur analyse politique

Ainsi,   l’un d’entre eux, reçu plus d’une heure en entretien privé,  a  déclaré : « Quand le président de la République me dit qu'il serait très attaché à ce que je lui manifeste mon soutien une nouvelle fois, ça ne me laisse pas indifférent »,  mais pour autant  il a affirmé avec  une détermination qui est toute à son honneur qu'il votera non.

Note : combien de sénateurs et députés écouteront-ils la voix de leur conscience ?

 D’autres  déterminés dans leur décision finale, influencé ou pas par  Nicolas Sarkozy,  garde avec prudence  leur intention secrète.

 « Je réponds simplement à la question qui m'est posée », se justifie un deuxième député   invité lui aussi rue du Faubourg-Saint-Honoré : « Le président m'a dit qu'on était amis depuis longtemps, et qu'on le resterait, même si je votais non », rapporte-t-il, mais il ne dévoile pas son intention et fait l’impasse : « Je voterai en conscience. »

Note : la conscience de ce député actuellement soumise à pression « amicale » saura-t-elle s’affranchir au moment du vote pour lui permettre de voter selon sa propre détermination ?

La question du  redécoupage électoral alimente l’angoisse de nombreux députés   de voir leur  circonscription supprimée. Alain Marleix, le secrétaire d'Etat chargé du redécoupage des circonscription a appelé certains « hésitants » pour  les détourner  de leurs préoccupations en leur parlant  surtout de la réforme des institutions, dont il n’est  pas fonctionnellement  en charge, en leur  concédant  de temps en temps pour les rassurer ,  qu'il va y avoir un redécoupage électoral mais qu’ils n’ont aucun souci à se faire ….

 Enfin il semblerait d’après des confidences faites par un ancien ministre de teinture chiraquienne que des « promesses de postes ou de maroquins »   ont achetés le « oui »  de certains parlementaires qui s’étaient habilement prononcé pour le « non », et cet ancien ministre  a dénoncé  des  «  débauchages et des médiocrités dont on avait perdu l'habitude depuis longtemps » et à cette occasion il a prévenu :  « J'espère que la liberté de vote sera assurée », en  rappelant que « le mandat impératif n'existe pas ».

 Il n’en demeure par moins que relancés  par les  appels téléphoniques, des Conseillers élyséens, relayés  par les appels de Nicolas Sarkozy lui-même, depuis Marrakech où il passe le week-end, les députés qui  voteront  non  demain, auront fait preuve d'une réelle estime de leur mandat et de leur conviction. Seront-ils nombreux …. ?  Nous le saurons demain.

La LCR va-t-elle digérer le parti socialiste !

Les choses bougent au Parti Socialiste !

Une pléthore de postulants illustrant une foire des égos quasi-insupportable, en toile de fond, déja se dresse le syndrome de l'échec. Au vu du scénario catastrophe, qui s'annonce, il ne faut pas s'étonner de l'émergence d'Olivier Besancenot, qui va finir sur un piedestal et devenir le seul fédérateur d'une gauche moribonde.

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Hollande lance la « rénovation »…Valls parle d’un artifice !!

AVIGNON…premier forum de la "rénovation", trois étapes pour se lancer dans le socialisme du XXIème siècle.

François Hollande continue sa quête de non-sens, le jour ou le PS enterrera définitivement ses idées passéistes, toujours au stade de la lutte des classes, ne voulant pas admettre qu'une gauche moderne n'est pas nécessairement marxiste. Les exemples européens ne manquant pas..

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« L’impasse » : Jospin surenchérit dans…l’incompétence !!

Les hommes ou femmes politiques enchainent les ouvrages. Au parti socialiste, la mode est à la surenchère. Tout le monde étale ses pensées, qui ne conduisent qu'à une constation, un déballage médiatique nauséabond.

Lionel Jospin a du tremper sa plume dans le vitriol !!

La rénovation du parti socialiste: UNE LEGENDE !!

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Bill Gates à Paris le 1er février 2007 !

Du 31 janvier au 2 février aura lieu la 14ème édition du salon des Entrepreneurs au Palais des Congrès de Paris.

 

Cette année, le fondateur de Microsoft, le géant Bill Gates, tiendra une conférence afin de promouvoir « Windows Vista Professionnel et Microsoft Office PME 2007 » auprès des entreprises.

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