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Le cyber-Fascisme… Omniprésent!

 

Qu’est-ce que le fascisme?

Le premier régime fasciste à avoir été instauré est celui de Benito Mussolini en Italie, de 1922 à 1945. Les caractéristiques d’un mouvement politique fasciste sont : un sentiment de nationalité très fort, l’inégalité sociale, le militarisme (considéré comme un secteur économique),  la dictature d’un chef (autoritarisme), abolition de toute restriction à son autorité (totalitarisme), le rejet de la démocratie et du libéralisme, la suppression des adversaires, le changement du système capitaliste en bureaucratie et fournir à la nation un pouvoir d’achat adéquat.

 

À l’époque, le fascisme ne semble pas être un régime trop contraignant puisqu’il permet au peuple d’avoir des possessions. En opposition, le communisme est extrêmement critiqué et est considéré comme l’ennemi numéro un du capitalisme. C’est d’ailleurs une des raisons pourquoi les régimes fascistes ont pu avoir une popularité fulgurante, parce que les médias étaient trop occupés à faire craindre le communisme, mais n’ont pas prévenu les gens de la réelle menace. Si l’on regarde en arrière, l’histoire nous a bien démontrée le pouvoir, mais aussi la dangerosité des mouvements fascistes.

 

Peut-être également, l’influence de la désinformation…

 

Qu’est-ce que le cyber-fascisme?

Le cyber-fascisme est une évolution du fascisme qui a la caractéristique d’exister grâce à l’avènement d’internet et de l’accessibilité du Web. Il peut prendre diverses formes : la censure, les groupes cyber-fascistes, la surveillance par internet, l’échange d’informations par les compagnies sur les utilisateurs… En réalité, l’internet n’a plus de limites, pas plus que le cyber-fascisme… Cela cause des problèmes moraux et remet en question l’innocence d’internet et le réel visage des gens qui le contrôlent.

 

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Internet : La censure au Vietnam renforcée !

Si en France, on peut faire tout et n’importe quoi sur Internet à quelques exceptions près, il n’en est pas de même dans certains pays comme la Chine ou le Vietnam qui pratiquent la censure. Ainsi, le Vietnam a proposé d’interdire l’usage des réseaux sociaux pour partager ou échanger des informations sur l’actualité. C’est le premier ministre du pays qui a dévoilé un texte visant donc à restreindre l’usage d’Internet et notamment des célèbre réseaux sociaux comme tels que Facebook ou Twitter. Autant dire que Come4News n’a pas sa place au Vietnam ! En effet, il nous serait interdit de partager nos articles sur Facebook.

 

La censure est déjà mise en place depuis un moment et les blogs ou les réseaux sociaux étaient alors une alternative au Vietnam pour contourner la censure mise en place par le régime communiste. Désormais, l’actualité n’aura plus sa place sur Facebook et les vietnamiens pourront seulement s’échanger des informations personnelles. Selon le ministre adjoint de l’information du Vietnam, le but est de trouver sur Internet uniquement des informations justes et propres. Les rumeurs et les ragots n’existeront plus au Vietnam alors que la presse people, par exemple, continue encore et encore à raconter tout et n’importe quoi en France.

 

Evidemment, les fameux FAI (fournisseur d’accès à internet) au Vietnam sont également soumis à une réglementation stricte. Ils ne doivent alors en aucun cas donner de fausses informations et sont obligés de fournir les adresses IP des internautes qui ne respecteraient pas la loi. Ainsi, Facebook et Google qui ont toujours émis des réserves sur les projets de censure, seront forcés de respecter la loi vietnamienne. Quand on vous dit que le Vietnam veut tout contrôler …

 

Au Vietnam, les journaux et les télévisions sont contrôlés par l’Etat. Si il existe bien le service public en France avec notamment France Télévisions, les chaînes de télévision restent libres de leurs informations ou de leurs programmes. Au Vietnam, la liberté de l’information n’existe pas ! Imaginez en France, on ne pourrait pas voir par exemple un humoriste blaguer sur François Hollande et Nicolas Canteloup ne serait pas l’imitateur que nous connaissons. Evidemment, des associations s’insurgent contre ce nouveau projet vietnamien comme "Reporters sans frontières". Pire encore, les vietnamiens qui osent critiqué la loi sont souvent jetés en prison pour activités contre l’Etat. 

 

Quand la liberté d’expression n’existe pas … 

A chacun son million

Il y a des chiffres qui font toujours rêver. Un million fait partie de ceux-là. Pour tout le monde, il a une signification forte, quoi qu’il désigne. Un million d’€ (surtout en ce moment), un million de bisous, un million de « j’aime » sur une page facebook, un million de secondes etc. Cela peut être tout et n’importe quoi, peu importe, tant qu’il y a un million dedans, cela parait magique, surhumain, merveilleux ! Un exploit qu’on est fier d’avoir accompli et qui réchauffe le cœur.

 

Pour moi, c’est tout simple. J’ai récemment découvert que j’avais dépassé le million de visiteurs sur l’ensemble de mes articles, à quelques dizaines de milliers près. Un petit million simple mais qui m’a un peu surpris, je m’attendais à beaucoup moins. Un million qui me donne envie d’aller plus loin. Une sorte d’anniversaire à fêter, un cap à franchir pour grandir. Malgré le désintérêt des lecteurs pour les sujets peu « vendeurs », malgré les nouveaux algorithmes de référencement qui font chuter les visites, malgré les difficulté à exister dans un monde numérique où la concurrence est énorme et où la durée de vie d’un article est éphémère. Certains articles ont été censurés (on n’a pas le droit de trop critiquer certains ministres, même sans diffamation!), certains m’ont valu d’être contacté très rapidement par les entreprises concernées (parfois en bien, parfois en mal) mais cela ne m’a pas découragé. Big Brother existe pourtant bel et bien, mais l’humanité arrive quand même à avancer. Malgré tout ça, mon million, je l’ai eu.

 

Bien entendu, un million d’euros aurait été plus favorable, surtout en ce moment. Un million d’amis pour me soutenir aussi. Un million de clients au travail, comme ça je pourrais peut-être espérer un salaire normal. Un million de soucis en moins ! Un millions d’années de paix dans le monde (je sais, c’est comme pour le million d’euros, faut pas rêver!). Cet objectif atteint, je me demande maintenant ce que je vais faire : atteindre un milliard de visiteurs ? Ecrire un million d’articles ? Un milliard de visiteurs sur un million d’articles ? Ma vie n’y suffirait pas, mais plutôt que de me dire «c’est bon, je peux passer à autre chose », j’ai plutôt envie de voir jusqu’où je peux aller. Et ça, c’est grâce à C4N. Non, ce n’est pas de la publicité déguisée, c’est un simple constat. Et vous, votre million, c’est quoi ?

Propagande jihadiste : l’insoluble quadrature

L’affaire Merah reste certes dans les esprits, mais du fait que le chasseur alpin Cédric Cordier, victime d’une tentative d’assassinat à La Défense, ne souffrira sans doute que de séquelles psychologiques, l’opinion française n’est guère mobilisée ou sensibilisée contre la propagande jihadiste. Il en est tout autrement au Royaume Uni où le ministère de l’Intérieur, relayé et amplifié par la presse conservatrice, envisage de censurer les supports appelant au jihad, directement ou indirectement,  à la suite des funérailles du fusilier-tambour Lee Rigby et de la sixième arrestation liée, de près ou de loin, à cet acte de guerre.

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Doit-on censurer les clips trop subversifs ?

Il y a quelques jours, le nouveau clip du fameux groupe français Indochine a été sujet à controverse et menaçé de censure. Dans ce clip, on peut voir des scènes assez extrêmes montrant un élève subir des brimades et devenir le bouc émissaire de ses cruels camarades. Certaines images sont  »chocs » et peuvent créer le malaise.

Pourtant, l’intention du groupe de rock français est bien de dénoncer des situations qui peuvent exister dans notre société et notamment à l’école. Surtout que le public d’Indochine est majoritairement un public adolescent donc ce clip trouve une résonnance particulière chez les jeunes.

Je pense aussi que pour dénoncer et alerter les consciences, il faut parfois choquer, bousculer les gens dans leurs idées et leurs convictions. Après tout, n’est-ce pas la stratégie employée pour la prévention routière qui consistait par l’appui d’images extrêmes de spots télé à dénoncer les comportements irresponsables au volant ? Ces images montrant les conséquences de ces mauvais comportements ne pouvaient pas laisser indifférents et ce sont leurs aspects extrêmes qui pouvaient amener les gens les visionnant à une prise de conscience. 

Ce procédé de l’image choc est surement encore plus efficace chez les jeunes esprits qui y sont particulièrement sensibles.

De fait, et pour en revenir au clip d’Indochine, ce qu’ils dénoncent est quelque chose de concret, qui existe dans le milieu scolaire .

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Plein feu sur, pleines braises sous… Belfort

Et de quoi ? Trois ? Une lettre au procureur, une plainte pour injures, une autre en diffamation. Plein feu sur Belfort, le septième blogue-notes le plus fréquenté du site du Nouvel Observateur, se retrouve sous les tirs croisés d’un député UMP  du Territoire, d’une adjointe au maire, et à présent du maire de Belfort, Étienne Buzbach, en personne. En cause, un lapsus de saisie (le s marqueur de pluriel, à « malversation »), peut-être une histoire de passation de marché en faveur de l’époux, entrepreneur, d’une adjointe au maire, et surtout, surtout… le détestable climat politique belfortain.

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Qui veut épouser mon fils ? La séquence censurée par TF1.

La seconde saison de Qui veut épouser mon fils a démarré sur les chapeaux de roue ! Entre Frédéric qui c’est tout de suite imprégné de la sulfureuse Cindy avant de se faire éconduire par la belle (à la demande de la production qui voyait d’un mauvais oeil le passé de star du X de Cindy), retour sur un duo vraiment atypique ! 

Ainsi, nous retrouvons Morgan et sa chère mère Pascale. Dès le démarrage de l’émission, le style vestimentaire arboré par les deux compères ne laissent pas indifférent ! En effet, sur-joué ou non il faut admettre que nous les croirions volontiers sortis d’un film des années 30… Issus de la bourgeoisie, ils apparaissent, surtout Pascale, comme des personnages guindés, et quelque peu hautains ! Morgan, en bon petit fils de bonne famille obtempère à l’ensemble des requêtes de sa mère. Il faut dire que lorsque l’on a un statut de virtuose, on se doit bien d’avoir une certaine prestance… Oui mais voilà, oh surprise, le bon petit garçon de trente et un ans n’est pas si sage que l’on veut bien nous le faire croire ! 

En effet, lors de son second rendez-vous avec ses prétendantes, Morgan avait choisi une séance de "car wash sexy"… Si vous ne connaissez pas cette… "activité", regardez simplement les photographies et vous aurez compris… Les prétendantes de Morgan, toutes mouillées, laissaient apparaître a priori trop de choses pour que TF1 diffuse cette séquence. Pour information, l’émission est considérée comme une émission familiale alors il n’y a pas de place pour ce genre de séance olé olé. De plus, selon certaines sources, la séance aurait dégénéré, dans quel sens on ne sait pas et on ne veut pas savoir ! Voilà, une rolls blanche, des filles dévoilant bien des parties de leur corps et le pauvre garçon a complètement perdu la tête ! Oups, maman va tomber de haut ! 

Moi qui doutais déjà de la crédibilité de certains candidats on en a encore une belle illustration. Ces garçons sont juste là pour s’amuser et non pour trouver la femme de leur vie. Je doute fort que ce concept puisse fonctionner. On ne rencontre pas l’amour par le biais de la télé réalité.

Une censure : pourquoi faire ?

Nous vivons à une époque où nous pouvons tout dire, tout faire, tout montrer. Le temps de la pudeur est révolu. Les gens étalent leurs misères dont les médias se repaissent.

La critique est aisée ? Peut-être mais logiquement, elle sert à faire poser des questions, à faire progresser. Elle devrait être un sacré moteur de recherche, en ça.

Pourtant, elle a viré tout comme les mentalités actuelles.

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M6 et Free : la déprogrammation de la discorde

L’émission Capital, fleuron de la petite chaîne qui monte M6, envisageait de diffuser un reportage sur Free Mobile. Mais ce reportage n’a même pas eu le temps de voir le jour sur les grilles que la chaîne envoie aux hebdomadaires TV, prévues trois semaines à l’avance, qu’il a été tué dans l’oeuf par une déprogrammation intempestive. 57 des journalistes, rédacteurs en chef et responsables de production de la chaîne, ne comprenant pas pourquoi le fruit de leur travail se voit privé d’antenne, rédigent alors une lettre de protestation, jetant de l’huile sur un feu déjà terriblement vif.

Les portables de la colère 

En lançant son offre mobile apparemment très alléchante, Free s’est attiré les foudres d’un peu tout le monde (voir http://www.come4news.com/offre-free-arnaque-deguisee-204859). En effet, l’opérateur a permis aux consommateurs de se rendre compte que les opérateurs historiques (Orange, Bouygues et SFR) faisaient d’énormes profits sur leur dos mais aussi de constater que Free n’était pas mieux que les autres. Des manœuvres obscures ont été constatées, renvoyant tout ce petit monde dos-à-dos et montrant la complexité de la réglementation sur les télécommunications, l’absence de contrôle et de suivi et les arrangements étranges entre opérateurs. En bref, une sale affaire pour tout le monde. Le temps passant, on croyait l’histoire oubliée mais voilà, il semblait bon pour une équipe de journalistes de faire le point sur tout cela, plus d’un an après le lancement très médiatiques de cette offre populaire.

 

La première affaire ayant fait beaucoup trop de vagues on ne peut que se demander si cette déprogrammation n’est pas intentionnelle, afin d’apaiser les esprits et de ne pas faire resurgir un scandale qui pourrait faire perdre des millions au groupe. Pour l’instant, cette hypothèse n’est qu’une rumeur, une vilaine spéculation ! De méchantes langues voudraient ternir l’image de Free, le sauveur des consommateurs qui propose des forfaits au prix adéquat, à condition de bien lire toutes les lignes ! Ca, c’est la version des adeptes de la machination, de l’embrouille politique, des altermondialistes qui voient le mal partout.

 

Des explications confuses

 

Ce qui paraît louche et permet le doute, c’est que personne ne peut expliquer clairement pourquoi le reportage n’est plus programmé. Un cadre de M6 pense que c’est pour éviter un conflit d’intérêt, le groupe M6 proposant aussi des forfaits mobile. L’attaché de presse pense que c’est parce qu’une autre émission va proposer un reportage assez similaire, donc il faut veiller à ne pas faire doublon. Bref, personne n’est en mesure de donner une raison valable à la non diffusion de ce reportage et le sujet semble beaucoup gêner.

 

Des rumeurs affolantes

 

En coulisses, on murmure que des personnes très influentes seraient intervenues pour empêcher la diffusion de ce reportage. On raconte que les dirigeants d’Iliad (qui a Xavier Niel comme vice-président et directeur de la stratégie), dont Free est une filiale, se seraient arrangés avec la direction de la chaîne de peur que le reportage ne donne une mauvaise image de Free Mobile. On raconte aussi que Delphine Arnault, fille du célèbre Bernard Arnault et membre du conseil de surveillance de M6, aurait usé de son influence par amitié pour Xavier Niel.

 

Officiellement, rien n’est vrai. M6 dément toutes ces rumeurs et Free reste de marbre. Mais le doute demeure.

 

L’indignation de la concurrence

Bien entendu, les trois plus grands concurrents de Free ne comprennent pas cette censure déguisée et le font savoir, rappelant que les journalistes n’hésitaient pas, par le passé, à faire éclater toutes sortes de scandales ou ternir la réputation des grands groupes. Ils se demandent tous pourquoi, cette fois, il ne faut rien dire. Ce serait comme une première… sauf que l’émission « Droit de Réponse » avait été annulée pour des raisons assez semblables.

 

A qui profite le crime ?

 

Depuis de nombreux mois, on ne peut que constater que Free est un cas à part : ce groupe souffle le chaud et le froid, les affaires se multiplient, montrant qu’on ne peut pas faire de gros bénéfices sans flouer ses clients, mais il n’est pas bon de le dire. D’ailleurs, personne ne se soucie si Free tient bien ses promesses concernant son offre Mobile, si tout a été fait correctement alors que des signes de fraudes ou de mensonges pointaient.

 

Officiellement, ni Free ni M6 n’ont fait de mal. C’est juste une erreur dans la gestion des programmes voire un malentendu. Cette nouvelle affaire pourrait même faire passer Free pour une victime et faire remonter la société dans l’estime des gens. En attendant, les salariés de la petite chaîne qui monte ne décolèrent pas.

 

Mais, dans ce cas, pourquoi de telles réactions ? Pourquoi le personnel de M6 est-il aussi mal à l’aise ? Vivons-nous vraiment dans un pays où les lobbies, quels qu’ils soient, peuvent exercer des pressions telles que la censure peut s’appliquer sans discernement sur tous les sujets qui font débat ?

Après Charlie Hebdo fortement réprimandé pour ses dessins satiriques, verra-t-on M6 subir le même sort ? Il serait plus que temps de s’occuper des problèmes de corruption qui empoisonne notre pays car quand on commence à museler l’information, c’est la liberté qu’on assassine.

 

Sources :

 

Challenges :http://www.challenges.fr/high-tech/20120924.CHA1148/la-chaine-m6-censure-un-reportage-sur-free-mobile-pour-le-magazine-capital.html

Gizmodo :http://www.gizmodo.fr/2012/09/24/m6-free-mobile.html

01net :http://www.01net.com/editorial/573617/m6-deprogramme-un-reportage-sur-free-mobile/

Wikipédia :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Delphine_Arnault

http://fr.wikipedia.org/wiki/Xavier_Niel