Dans les Hauts-de-Seine un homme de 54 ans, inscrit depuis 2009 vient de porter plainte contre l’agence d’Issy-les-Moulineaux.
L’audience de cette procédure a lieu aujourd’hui même.
Ce quinquagénaire reproche à l’agence de ne l’avoir reçu que trois fois malgré ses demandes pour obtenir des rendez-vous auprès de son conseiller.
Son avocat, Maître Hennequin, précise " Aujourd’hui, il arrive en fin de droits et se trouve dans une situation de précarité financière catastrophique, car il n’a pas réussi à accéder à l’emploi, alors qu’il était gestionnaire de clientèle chez Veolia"
A noter tout de même, que le plaignant ne demande aucune indemnisation. Cette démarche a pour objectif de rappeler à Pôle emploi qu’ils doivent respecter leurs obligations auprès de leurs demandeurs d’emploi.
Les obligations de Pôle emploi envers "les sans emploi" :
– Convocation mensuelle
– Définir un Projet Personnalisé d’Accès à l’Emploi (PPAE) au moins tous les trois mois
– Adresser des offres d’emploi
– Proposer des formations en rapport avec le projet initial
D’après le figaro on pouvait lire en début d’après-midi :
Pôle emploi concède « qu’effectivement il y a eu un manque», même si, précise-t-on, celui-ci ne concerne que la recherche d’emploi et non pas l’indemnisation. Selon l’établissement public, cette plainte a peu de chances d’aboutir, car « en se basant sur le droit du travail, nous ne pouvons juridiquement être tenus pour responsables si un demandeur d’emploi ne trouve pas satisfaction à l’issue de sa période d’accompagnement.»
Affaire à suivre puisque le juge aura 48 heures pour statuer sur « l’obligation de placement» réclamée par l’avocat du demandeur d’emploi.
Les obligations de Pôle emploi envers « les sans emploi » :
– Convocation mensuelle
Impossible ils devraient embaucher eux-même pour assurer la mission
– Définir un Projet Personnalisé d’Accès à l’Emploi (PPAE) au moins tous les trois mois
Si l’accés à l’emploi était faisable nous le saurions et eux aussi depuis 1972. Simple organisme de gestion des flux du travail qui ne répond que peut en plus aux besoin des entreprises qui recrutnet majoritairement autrement n’étant pas sur la même longeur d’onde profesionnelle (Mettez un DRH du privé face à un conseiller d’une agence et écouter, ou pleurez tous ensemble…)
– Adresser des offres d’emploi
Il y a du travail encore en France au sein d’un système qui désinsère socialement depuis 40 ans ? Le jubilé se fera dans les rues, faute de bougies sur le gateau il y aura des fumigènes pour les trés nombreux invités …
– Proposer des formations en rapport avec le projet initial
Formation/ Justificatif pour occuper les gens qui aprés deux ou trois formations rejoignent les mêmes bureaux de l’ANPE depuis 1981…. Ils devraient inviter les gens à faire des stages de survie, le besoin est important par la demande qui se confirme…
Les gens veulent vraiment se convaincre que d’autyres trouveraient des réponses à leur situation sociale alors que les chiffres explosent ? Le réality-sclow n’est pas devant l’écran des TV, que le peuple se réveille de son endormissement.
PH
Il n’y a pas beaucoup de conseiller dans les angences de l’ANPE, parce que un conseiller reçoit je ne sais combien de sana emplois et c’est impossible d’être à l’écoute de ses personnes et de prendre le temps de parler avec.
bonjour Chrystèle – pourquoi certaines organisations privées de formation et de recherche d’emplois fonctionnent bien et reçoivent le soutient des entreprises qui recherchent de la main d’oeuvre qualifiée – peut être parce qu’elles sont privées – peut être parce qu’elle sont payantes mais aussi parce qu’elles sont sérieuse et servent réellement d’intermédiaire entre les demandeurs d’emplois et ceux qui peuvent en proposer tout en assurant des formations adaptées. et puis elles n’ont pas l’obligation de faire tomber à tout prix le taux de chômage. ces organismes vivent grace à leurs résultats et si c’était le cas de pôle emplois, il y a longtemps que ces organismes auraient fermé leurs portes.pour info: http://www.apec.fr/Accueil/ApecIndexAccueil.jsp
D’accord avec [b]jp.visee[/b], si ces organismes sont privés, on a le choix, dont une réelle possibilité d’intervention. Lorsque qu’ils sont publiques, aucun choix donc il faut en passer par leurs plus ou moins intentionnalités !
En faite, si l’on regarde bien, tout ce qui est privée est bien. Les écoles privés sont à l’écoute des élèves, les hôpitaux privée comme les cliniques sont trés souriante envers leur malade, etc….
Un ancien formateur vous dirait…
La formation privée fonctionne bien parce que les programmes sont adaptés à la demande de l’entreprise à un moment précis. Un programme pédagogique s’établit sur mesure afin d’optimiser la rentabilité recherchée, d’ou les résultats des centres privées sans oublier les coûts trés chers, mais prévu sur le plan comptable d’une entreprise (autant en profiter ce qui fait les choux gras des organismes privés qui gagnent beaucoup d’argent pour peu d’investissements souvent).
Un centre de formation qui travaille avec les gens au chômage propose des formations génériques (exemple CAP/BEP…autres) alors que le marché en a déja des millions en attente par manque de postes sur le marché.
Une formation privée c’est parfois quelques centaines d’euros de l’heure ou milliers par jour et par tête, une formation sociale pour les chômeurs c’est limités à quelques euros de l’heure en centre professionnel souvent avec une structures trés lourde technique parfois, donc deux approches trés différentes sur le fond, la forme et les moyens, qui fait bien deux objectifs et deux résultats trés différents.
Autre chose, le grand débat sur les bancs des universités en sciences humaines de l’éducation, l’état doit-il former des êtres réfléchissant (formation plus ouverte) ou former pour répondre aux besoins des marchés, de l’industrie, du commerce, soit éduquer à la société marchande et fournir de la main d’oeuvre à un système égoïste final ? Voila pourquoi l’université en général surtout en sciences humaines comme l’éducation nationale par ailleurs sont majoritairement dans une approche plus sociale ou « socialiste dans les urnes » par une vision plus ouverte qu’enfermante pour l’être face à l’avoir des autres.
Si les écoles de nos enfants avaient les moyens des entreprises par tête d’élève je vous donne à la suite la solution aux problèmes de nos chères têtes blondes sans avenir le plus souvent ainsi qu’au nouveaux ministre de l’éducation en place.
PH