L’avenir ou l’inconnu du lendemain.

 

Nous avons tous entendu cette phrase venant de nos ainés, "Pense à ton avenir", chacun l’interprétait à sa façon en se disant que les aléas de la vie feraient le reste. Cela a de tous temps été la préoccupation majeure de l’homme et reste encore très présente aujourd’hui.

Sans approfondir toutes les dates anniversaires qui ont marqué les différentes étapes des civilisations, arrêtons nous quelques instants sur cette date du 11 septembre, qui a il y a plus de dix ans a plongé le monde dans un très grand désespoir et une innommable stupeur que personne n’aurait pu imaginer. Comment a-t-on pu en arriver là ?

On s’est tous posé la question et on se la pose encore aujourd’hui mais on n’a toujours pas de réponse logique.

Toutes ces générations qui sont partis un matin de septembre, vers leur avenir professionnel ou familial avec l’espoir du lendemain, sont partis vers l’enfer sans billet de retour. Ils n’avaient rien demandé d’autre que de vivre et ils ont été anéantis par une violence inhumaine qui n’avait peut être jamais atteint un tel niveau. Sacrifier des innocents pour défendre une idéologie, c’est donner vraiment peu de valeur à la personne humaine. Après de tels évènements, rien n’est plus pareil et le regard de chacun vers l’avenir se modifie. A quoi bon se faire du souci, quand on sait que dans demain ou peut être même avant on peut disparaître de ce monde. Etre au mauvais endroit, au mauvais moment, que ce soit sur la route, en pleine nature, ou dans un lieu public, la vie est ainsi faîte avec son lot de tragédies et de véritable incertitude. C’est un peu la loterie de la vie.

Alors quand on parle d’avenir et que l’on fait de projets pour soi-même ou sa famille, on reste le plus souvent mesuré, en se disant que l’inconnu du lendemain peut à n’importe quel moment nous réduire à néant. Mais essayons de dominer ces peurs et traçons notre route en profitant au maximum pour nous et notre famille du moment présent.

5 réflexions sur « L’avenir ou l’inconnu du lendemain. »

  1. Le 11 septembre aura été le déclencheur « inverse » qui met désormais le monde face à la plus grande forme de terrorisme dont les USA et l’occident sont la locomotive.

    Pourquoi désormais vu des pays les plus pauvres ou émergeants, même quand les ricains viennent les « libérer » des dictateurs précédemment mis en place ou entrtenus par les ficelles occidentales, pourquoi ces peuples disent non à l’Oncle Sam ?

    L’égémonie occidentale tractée par les USA, c’est via le système économique et financier la ruine et la stagnation depuis l’indépendance de nombreux pays, la misère entretenue, l’impossibilité de ces autres pays de se développer, tout en pompant leurs diverses énergies, et 5 personnes toutes les 10 secondes qui périssent des diverses conséquences.

    Alors certes que l’affreux carnage du 11/09 à NY est à dénoncer, la violence n’est pas a solution, mais tous ces gens qui oeuvraient chaque jour dans ces deux tours « orgueilleuses » derrière souvent des ordinateurs avec les chiffres des autres, cela représentait combien de 11/09 chaque jour, passés inaperçus ? Faite le compte ou le décompte.

    Plus personne désormais avec cette crise et la prise de conscience qui frappe chacun économiquement parlant depuis 2008 ne peut ne pas comprendre cela sauf par deni ou manque d’analyse évidente.

    PH

  2. Maintenant sur l’avenir, si cela consiste à prendre les éléments du passé encore un moment en pensant à des jours meilleurs, en orient comme en occident, autant prier dans le désert. Quel changement est vu au présent par ce que propose le mouvement général qui s’accroche encore à ces principes du passés, alors que chacun voit bien fondrent de plus en plus les mensonges ?

    PH

    Optimiste mais à plus long terme…

  3. À mes AMIS défaitistes, et ils sont nombreux icitte, quelques citations :

    [i]La pire des défaites, celle d’avoir refusé le combat.[/i]
    (Gérard d’Aboville)
    Ou bien
    [i]Accepter l’idée d’une défaite, c’est être vaincu.[/i]
    (Le maréchal Ferdinand Foch)
    Camarades, de grâce, ne sombrer pas dans le catastrophisme !

  4. Bonjour YOLAINE – en ce qui me concerne, avoir peur de l’avenir aurait un effet paralysant plutôt néfaste. il faut tenir compte des erreurs du passé mais pour vivre correctement il faut se tourner résolument vers l’avenir sans chercher à savoir si cela nous servira ou non. on dit les Bélier Fonceur, réfléchissant après avoir défoncé la porte, c’est un peu mon tempérament et cela m’à permis de ne pas trop réfléchir sur ma condition et d’aller de l’avant. en ce qui me concerne ça me réussi plutôt bien surtout en période de crise où tout est difficile – cordialement – JP

  5. Quidam
    Le courage des belles paroles inscrites sur les beaux livres de france le sont avec le sang des hommes par l’inconscience des masses populaires d’alors.

    La situation n’est plus militaire mais économique, donc la volonté est une chose mais dans un environnement clos l’horizon n’existe plus.

    Il y a 60 ans n’importe quel Français pouvait encore créer son emploi quasi sans risque et même sans grande instruction, aujourd’hui malgré des bagages nombreux de beaucoup personne ne peut plus créer sans aborder la plus grande partie d’un projet par les risques avant même de commencer.

    Maintenant si réussir consite à s’en sortir en marchant sur les autres pour exploiter ou devenir trader, la encore, se pépecher, les marchines remplacent de plus en plus ces voleurs, la machine à boursicoter nous domine déja…

    Le pessimisme est une chose quand les régles du jeux sont les mêmes pour tous les hommes, soyons réaliste, le mot est plus juste ou alors nous sommes tous endormis profondément et allons nous réveiller dans un paradis bientôt…

    Optimiste à long terme je reste, mais quand le bâtiment est en flamme, il faut se réveiller et non plus penser à refaire les peintures, mais penser aux prochains plans… et parfois démolir ou se laisser se démolir un mal reste la seule solution pour une renaissance plus saine, faute d’esprit bien avant…

    PH

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