La rentrée de tous les dangers devient fianlement une cacophonie, entre hystérie gouvernementale et affabulation.

Les ministres se lachent, un torrent d'ineptie, de confusion, animant leurs apparitions. Le vaudeville gouvernemental est-il annoncé dans les prochaines sorties cinématographioques ?

La France rit, la France pleure…

Il faut constater l'ingérance notoire qui parcoure le paysage politique. La grippe n'étant pas responsable, que se passe-t-il au sein du gouvernement ?

Les déclarations fracassantes s'enchainent :

Bernard Kouchner atteint le summum, agitant le spectre d'une guerre inévitable, avec l'Iran. Le Ministre des Affaires Etrangères se couvre de ridicule, un petit détour chez Confucius s'impose…

Christin Lagarde surenchérit. La belmle promet déja un plan de rigueur aux fonctionnaires, un sens de la nuance qui éclabousse ses propos. Les intéréssés ayant certainement apprécié cette annonce…

Aprés, il faut écouter les délires de Brice Hortefeux, créant un tollé d'indignation, avec un controle de l'immigration, sous fond d'ADN. Certainement un feuilleton des "Experts" en préparation. Jean-Louis Borloo, en pleine bataille de la culture des OGM, le gel du matin devenant au fil des déclarations, non..mais..peut-être…a réetudier, bref du surplace qui devient chronique. Hervé Morin ajoute sa pierre à l'édifice, le Rafale représente un avion "trop enclin à la technologie", tout le contraire de la pensée générale…

François Fillon a jeté le plus gros pavé, aprés le défunt mai 1968, voila donc septembre 2007 !!

Je préfére tourner cet article à la dérision, tant la situation est ubuesque. Le prochain conseil des Ministres, au rythme des déclarations, devrait se dérouler à Jarnac !

Le gouvernement se prépare aux réformes constitutionnelles, dans un climat délétére. Il va falloir accorder vos violons pour commencer a nous convaincre de l'efficacité réelle de votre vision de la politique. La plaisanterie est terminée, le citoyen français est dans l'attente d'un changement profond. Pour le moment, il faut bien constater, à quelques exceptions près, que le flou artistique semble s'emparer de la classe dirigeante. Les correctifs apportés aux déclarations tonitruantes ne font qu'alimenter la chronique, laissant la place à bien des points d'interrogation…