1) La modification de son statut d’espèce «strictement protégée» à «nuisible» est pourtant réclamée. Un «homo politicus» aperçu en Moselle à la mi-février. Un autre abattu dans la Marne fin janvier. L’aire d’extension géographique du prédateur, arrivé d’Italie dans les alpes du Sud en 1992, continue de progresser vers le Nord-Est. Homo politicus erratique ou meute constituée, on ne sait. Mais la deuxième hypothèse est (pour l’instant) la plus probable.
Toujours est-il que homo politicus n’étant pas plus un animal de montagne, que de plaine ou de forêt, il apparaît naturel qu’il rejoigne ces espaces tandis que l’espèce va croissante dans le monde entier, attirée par l’odeur de l’argent. Cette situation nouvelle, certains estiment que l’homo politicus sera de retour dans toute la France avant la fin de la décennie, inquiète au plus au point la population mondiale mise à genoux par le pillage systématique des richesses et l’éradication de toutes mesures à caractère social.
2) Au nom du droit des Humains Le récent Salon des droits de l’Homme a d’ailleurs été le terreau favorable a un lobbying anti-homo politicus – communiqués, pétitions, prises de parole, interventions directes auprès des autorités, des élus, des visiteurs lambdas – afin de faire passer les angoisses qui étreignent la population.
Ainsi, les principaux syndicats de protection des droits humains élémentaires et les associations de jeunes, ont-ils sollicité auprès des états, des réunions de crise avec pour ordre du jour, la révision de la législation sur la protection de l’homo politicus.
Ils ont été rejoints par les Coordinations urbaines pour formuler cette même demande de changement de statut d’homo politicus «au nom de la reconnaissance des droits des humains victimes de ses méfaits».
Là-dessus est venu se greffer un rapport d’informations parlementaires qui préconise de rétrograder le prédateur «d’espèce strictement protégée» à «espèce nuisible». Un pas en avant, un soutien moral pour le monde des Hommes et des Femmes dépouillés par le système ultra-libéral de la Triade. Mais on se demande bien ce qu’il pourra changer sur le fond ? Ne serait-ce que parce que l’homo politicus mène sa vie d’homo politicus en se moquant bien de l’étiquette qu’on lui colle.
3) Cesser la dynamique de croissance Le Président du Comité national homo politicus, sans sous-estimer la gravité du problème, ne pense pas autre chose lorsqu’il parle «d’une fausse bonne idée».
«Ce n’est pas parce que l’homo politicus sera déclassé qu’il sera plus facile à contrôler . Il faut casser la dynamique de croissance du prédateur».
Or, on constate chaque année une augmentation du nombre d’homo politicus. Ce qui signifie l’échec, d’aucun dirait l’inutilité de cette politique de régulation, laquelle n’est pas compensée par une diminution du nombre de victimes qui se comptent par milliards.
Au prochain Comité homo politicus, il va falloir poser la question du renforcement des moyens de défense des humains et de la réorganisation des méthodes de préservation.
(D’après un article de François de Bouchony sur les loups paru dans La Provence du 12/03/14)
L’homo politicus est-il socialo-capitaliste ou capitalo-socialiste ?
LES MORTS GOUVERNENT LES VIVANTS !!!:
Poutine :
» Nous n’aurions pas pu abandonner la Crimée »
NOUS = KROUTCHEV !!!