L'Histoire doit reprendre ses lettres de noblesse.

La dette publique et ses conséquences, une émergence du patrimoine mitterrandien. Le chomage a pris son envol sous l'ère socialo-communiste, la nationalisation, aux frais du contribuable, étale toute sa splendeur. La dénationalisation, pour tenter de sauver la face. La gestion mitterrandienne a conduit la France dans l'immobilisme, le laxisme, l'insécurité…

 

 

 

 

 

 

Mitterrand l'imposteur, à l'éducation de droite épousant l'idéologie socialo-communiste pour asseoir ses ambitions. Le dernier monarque républicain, père spirituel d'un pragmatisme consensuel…

Le passage en chiraquie n'a pas été brillant, il faut bien l'admettre. Le lourd héritage de la gestion socialo-communiste, adeptes de la politique d'assistanat, instigateur de la loi pour le peuple, la couronne pour moi !

Le déclin de la France passe par la mise en place de l'utopie socialo-communiste. Il ne faut pas oublier que l'éclosion du Front National émane de la proportionnelle intégrale. La résultance, des députés d'extrême droite. Une droite qui a peur de s'affirmer dans ce climat délétère, prisonnière du spectre lepénien.

Les liens entre le progrès technique et le progrès social, définitivement rompu par une ingérence volontaire. La dérive du pouvoir n'est pas apparue sous l'ère de Jacques Chirac. Le devoir de mémoire s'impose.

Les écoutes téléphoniques, les Irlandais de Vincennes, le sang contaminé, la liste est exhaustive. Les "amis" proches de François Mitterrand, qui avaient une facheuse tendance a des morts soudaines, ou des "suicides". François de Groussouvre, Patrick Pelat hantent le labyrinthe mitterrandien. Pierre Bérégovoy, poussé au "suicide"…

Le constat est accablant, et il me faudrait bien des pages pour compléter l'oeuvre de la gestion socialo-communiste. Le collectivisme aveugle, conduisant les moyens de productivité vers l'immobilisme. Il faut redescendre sur Terre. Une campagne socialiste dépourvue d'imagination, présentant un "programme" utopique, poussant Ségolène Royal a se désolidariser de l'outil du parti.

Le rappel des troupes, le retour des "éléphants", des meetings nécrophiles à la mémoire mitterrandienne. Un retour vers le passéisme, ne pouvant en aucun cas, projeter la France vers l'avenir.

La restructuration vers une productivité et un retour vers la croissance, passe obligatoirement par une période de récession. Ceux qui s'insurgent contre le paquet fiscal, ou la suppression de l'ISF, qui serait certainement un moyen de récupérer des capitaux, et non pas l'inverse. Cette notion de capital écrasant les forces populaires est obsolète. Le socialisme teinté de marxisme est un échec.

La productivité passe par l'individualisme oeuvrant pour le collectivisme, non pas l'inverse. La France doit panser ses plaies et relancer l'industrialisation, la recherche. Cette perspective passe par l'Europe. La mondialisation s'étend, face à cette perspective, il faut faire bloc et redonner des couleurs à la communauté européenne, transie dans un immobilisme affligeant. Il faut ranger les éternels rancoeurs et se plonger dans le futur, en étant solidaire et constructif…