La Commission européenne publie ses exigences et encourage Paris à adopter des réformes structurelles.

Une manière comme une autre de mettre les pieds dans le plat et d’obliger François Hollande à adopter le programme de Barroso.

Ne parlons même pas de l’ Eurogroupe dont le président , JC Juncker, est le président d’un quasi paradis fiscal : le Luxembourg.

 L’UE est quasiment devenu un "radeau de la méduse" dont le monde entier se gausse. La faillite de la Californie n’aura pas duré un automne, la faillite de la Grèce dure depuis plus de deux ans et son cas empire de mois en mois !

 

Barroso combien de divisions ? 

Le peuple français a élu démocratiquement son président. Quand Baroso sera élu par les peuples européens, ses avis  seront peut être pris en compte…

 

La France pourrait donner des leçons de démocratie à des eurocrates qui osent prétendre nous commander sans jamais avoir été plébiscité par la moindre élection démocratique. La commission européenne se métamorphose de plus en plus en un système autoritaire, échappant à tout contrôle populaire. 

Les français viennent de choisir leur président, à l’issue d’une campagne transparente. 

Si la commission ne veut pas l’admettre et persiste à "sanctionner" qu’en est il de l’expression démocratique ? 

Où va-t-on ?

 

Irlande et Espagne étaient cités en exemple par la commission avant la crise (le tigre celtique et la future Californie de l’Union). Il est beau le résultat, une bulle immobilière qui explose et un dumping fiscal inefficace mais destructeur pour les pays voisins ! 

Quand la commission sera élue par le parlement européen, seule structure en Europe à peu près légitime (et encore, faudrait-il en exclure les lobbystes qui  y pratiquent la CORRUPTION active  à peine déguisée), alors son chef ou président pourra donner des ordres mais pas avant.

 

Jetez votre TV par la fenêtre

Nos journalistes ne sont pas grassement payés pour poser les questions qui fâchent! 

Depuis près d’un an la France se nourrit intellectuellement de polémiques politicardes d’un système au bord de l’abîme. 

C’est le complexe de la "cigale". L’hiver en laissera plus d’un sur le carreau, et Bruxelles n’y sera pour rien, bien entendu… 

Grèce, Irlande, Portugal , Espagne et Italie…tout ces pays en redressement laborieux absorbent servilement un remède qui les tuera à plus ou moins long terme. 

 

Notre tour est à venir…après les législatives.

la France a les dirigeants politiques et fonctionnaires qu’elle mérite, mais ils ont au moins le mérite d’être légitimés par le suffrage universel.