Consommer local : La fin d’un monde

 C’est la fin d’un monde et non la fin DU monde….

Les intellectuels ont raison, nous voilà arrivés au bout du rouleau. Le monde nous fait comme une crise de foie après une fête monumentale.

  On a joué avec le sous-sol, on a fait n’importe quoi avec nos énergies, saboté notre milieu naturel, déglingué les machines industrielle et agricole, supplanté les produits naturels, délocaliser, mondialiser…. La liste est très longue. Pendant longtemps les dirigeants ont réussi à noyer le poisson.

  L’heure est à la révolte industrielle, a réfléchir a un nouveau modèle, lus court dans tous les sens, plus sain, osons le dire : même plus juste !!!

Le pétrole montre ses limites, il est temps d’investir, le prix énergétique sera de plus en plus dur à payer. Et dans les milieux intellos diront « c’est l’entropie ». Sans trop expliquer, est l’énergie dépensée que nous ne pourrons plus utiliser. Et cette énergie est partout !!! Dans le sol, l’eau, le vent, dans le soleil et même dans les déchets !!!

Mais un nouveau monde est possible, il y a des exemples un peu partout dans le globe, c’est un message que je trouve intéressant à véhiculer, plutôt que tomber dans le pessimisme.

La grand distribution bien sûr n’est pas contente… elle nous a habitué à penser que tout est mieux dans l’hyper, et nous on commence à s’inquiéter pour les mots « proximité », « circuit court » et sur tout « local » que reviennent en force à la mode.

Mais c’est aussi à nous les consommateurs d’arrêter de nous plaindre devant notre écran parce que l’usine d’a côté ferme, quand notre frigo est rempli des trucs fabriqués « on ne sait où »

Alors plus de consommateurs, si non de consomm’acteurs, est comme une grande respiration qui contrarie petit à petit les géants mondialistes…. Et des signes se font visibles : les potagers en plein ville, les épiceries, les fermes que s’adaptent et s’ouvrent au public en offrant des produits frais au meilleur prix…