"La face cachée du Ché"'

L'ouvrage de Jakob Machover, un exilé cubain, va enlever définitivement l'aura romantique qui auréolait le révolutionnaire Argentin. Au bout du compte, on se rend compte, que le Ché ne représente qu'un outil promotionnel de la tyrannie castriste, qui a tout fait pour l'ériger au stade de demi-dieu…

La vérité est tout autre…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Certains journalistes citoyens, Blaise, Dominique, étalent l'abjecte imposture de la révolution cubaine. Le procès Ochoa, que je vous conseille de visionner, établit un parralèle avec les purges staliniennes…

Le communisme paradisiaque étale toute sa fourberie, son impitoyable cruauté, n'en déplaise aux "ringards", toujours fascinés par le drapeau rouge. Le mythe du Ché Guévara n'est qu'un leurre, une gigantesque mystification véhiculée par les castristes. La fascination morbide, le culte de l'héros, le mythe de l'internationaliste tombé au champ d'honneur…

Jean-Paul Sartre, avait en son époque glorifier le culte du révolutionnaire Argentin, en une éloge consternante :

"Le Ché Guévara est tout simplement l'homme le plus complet de notre temps"

Les langues se délient et dressent un portrait révélateur de la vaste supercherie. Un Guévar, fumant le havane, en regardant les bourreaux oeuvraient, pour une idéologie, le communisme. Il est loin, le héros romantique, l'auréole du polyglotte ayant accompli des études de médecine, pour se retrouver presque par hasard dans la révolution cubaine.

L'écrivain insiste sur le reflet de cette mystification. Dés leurs plus jeunes ages, les enfants sont élevés dans le culte du Ché, le martyre de la révolution. Comme confie le narrateur, Guévara parlait d'amour, tout en soulignant qu'il devait prendre des décisions douloureuse…

Viva la Muerte…

Che Guévara : Un héros préfabriqué.

Une nouvelle démonstration de la facilité de manipuler les esprits  en dépeignant un boucher comme un symbole de la révolution, une icone d'une partie de la jeunesse. Fasciné par l'aura d'un personnage, qui n'était au final, que l'égal de Fidel Castro. Un monstre tyrannique, éxécutant ses victimes, au son de l'Internationale…

L'Histoire reprend son autorité, le temps du mythe a cessé.

Pour l'information, cher Dominique, je suis sorti de l'hopital ce matin, le dos meurtri mais la plume vengeresse !!!

Merci a tous ceux qui ont eu une petite pensée à mon égard, Come4News en premier.  Michel