Stade Français / Racing 92 : la fuision annulée

Après une semaine riche en rebondissements, les présidents des deux clubs ont finalement annoncé, que le projet de fusion en le Stade Français et le Racing 92 n’aboutirait pas.

Tout a commencé le 13 mars dernier, un communiqué de Thomas Savare président stadiste annonçait la fusion très prochaine entre les deux clubs.

Après de nombreuses critiques, la grève des joueurs du Stade Français menés par Pascal Papé notamment au club depuis 2007, l’annulation des rencontres opposant le Castres Olympique au Stade Français et celle opposant Montpellier au Racing 92, une réunion avec la Fédération Française de Rugby, et bien la nouvelle est tombée : à peine annoncée, fusion n’aura pas lieu.

Plusieurs personnalités du monde du rugby semblent rassurées de savoir que les deux clubs ne fusionneront pas comme le témoignent les réactions Pascal Papé, Henry Chavancy racingman qui a souligné le plaisir qu’il éprouvait à disputer le derby. Des réactions à laquelle s’ajoutent celle de Mourad Boudjellal président toulonnais et Alexandre Flanquart stadiste qui sont du même avis.

Une question ne trouve toujours pas de réponse, celle concernant l’avenir du Stade Français.

Thomas Savare président du club a affirmé qu’il resterait jusqu’à la fin de la saison, mais cherche un repreneur avec un projet sérieux, repreneur qu’il espère trouver dans les trois mois qui arrivent, sans quoi le club qui connait de très grosses difficultés financières pourrait être rétrogradé en fédérale.

Jesse Owens met fin au mythe de supériorité de la race aryenne

Lors des JO de 1936 à Berlin, l’histoire retient sans nul doute la victoire de Jesse Owens, le sprinter américain qui va remporter quatre médailles d’or sous les yeux d’Adolf Hitler. Ces victoires vont mettre un terme aux idées propagées par Hitler disant que la race aryenne est supérieure. 

JO 1936 à Berlin, 4000 athlètes dont 49 pays y participent. Les premières controverses vont venir des Etats-Unis, en effet la délégation va décider de remplacer ses deux athlètes juifs, Marti Glickman et Sam Stoller, par deux autres athlètes, cette fois-ci de couleur  noire, Jesse Owens et Ralph Metcalfe. Ce remplacement avait sans nul doute pour but de complaire à leurs hôtes. Les Etats-Unis ne savaient pas que cet acte allait contribuer à écrire l’histoire. Jesse Owens remporte quatre médailles d’or, sous les yeux d’Adolf Hitler, avec des victoires au saut en longueur (4 août), au 100 mètres (3 août), 200m (5 août) puis le relais 4 x 100 m (9 août). La victoire au saut en longueur devant l’Allemand, Luz Long, décrédibilise ainsi la théorie, selon laquelle la race aryenne est supérieure. La légende raconte qu’Hitler aurait été furieux de voir un athlète noir triompher et aurait refusé de serrer la main de Jesse Owens. D’autres versions racontent qu’Hitler n’aurait pas serré la main à tous les athlètes se contentant de féliciter uniquement les Allemands, comme ce 2 août 1936, où il reçoit des athlètes allemands vainqueurs des épreuves du jour et quitte le stade avant de recevoir l’afro-américain Cornelius Johnson, vainqueur du saut en hauteur.

Siegfried Mischnner affirme avoir vu Hitler serrer la main à Owens

En 2009, le journaliste allemand Siegfried Mischner affirme dans son livre que les spéculations, selon lesquelles, Adolph Hitler n’aurait pas serré la main de Jesse Owens sont fausses. Ce serait sur demande de ce dernier lui-même que Mischner aurait fait ces révélations, le sprinter américain mécontent de la manière dont cette affaire a été traitée. Le journaliste allemand révèle qu’il a vu de ses yeux la poignée de main entre Owens et Hitler, il affirme même ne pas être le seul journaliste à avoir assisté à la scène. Aucun journaliste n’aurait pris la responsabilité de révéler ce fait, par peur de casser l’image de « monstre » qui colle à la peau d’Hitler. Siegfried Mischnner aurait senti le besoin de rétablir cette vérité, alors que tous ces collègues de l’époque sont aujourd’hui décédés. Alors, simple tentative de coup médiatique ou volonté d’un homme âgé de rétablir une vérité lourde à porter ? Libre à chacun de se faire sa propre opinion.

Histoire du badminton : de l’Antiquité à nos jours

Quand on regarde, l’été, les joueurs de badminton sur la plage, on n’imagine pas que ce sport de raquette, revendiqué comme le plus rapide du monde tire ses origines de l’Antiquité.

Voici un petit historique du badminton qui peut se jouer en simple (à 2) ou en double (à 4).

Des origines multiples

Le jeu du badminton prend sa source dans diverses origines dont la plus ancienne remonte à l’Antiquité, au Japon, à la fin de l’époque dite « médiévale ». Le « hanetsuki » consistait à se renvoyer un projectile en utilisant une partie du corps ou un accessoire. Mais il faut traverser les continents et se retrouver au Moyen-Age du côté de l’Angleterre pour découvrir une autre version du badminton. Le « battledore and shuttlecock », littéralement « raquette et volant » se pratiquait couramment. Le but était de faire tenir en l’air le plus longtemps possible le « shuttlecock » que l’on se renvoyait à l’aide de la « battledore ».

Plus tard, au 18ème siècle, des peintres comme Fragonard ou Chardin évoqueront dans leur travail ce sport pratiqué également par la gent féminine mais qui ne s’appelle pas encore « badminton ».

1873 : le badminton moderne

Cette année-là, le Duc de Beaufort reçoit des amis dans son somptueux château. Parmi eux, des officiers anglais anciennement basés en Inde. Durant leur conversation, ils évoquent un jeu qui fait fureur là-bas. Le « poona », qui consiste pour les joueurs à se renvoyer une balle à l’aide d’une raquette.

Pour illustrer son histoire, l’un d’entre eux entreprend de faire une démonstration. Trouver une raquette fut aisée mais l’absence de balle l’obligea à la réflexion. Un bouchon de champagne sur lequel il colle quelques plumes fait office de projectile.

Très heureux de leur découverte, ces officiers anglais décident de jouer à ce nouveau jeu et de le baptiser du lieu du nom de l’endroit où ils se trouvent : la ville de Badminton.

Le badminton de nos jours

Le badminton entre dans la cour des grands sports avec un championnat du monde marquant pour l’année 1900 où une certaine Elisabeth Thomson s’illustre en devenant la première championne du monde de l’histoire du badminton. En France, c’est C. Radeglia qui va remporter la coupe à cinq reprises.

Quelques trente ans plus tard, en 1934, la fédération internationale de badminton prend forme et assoit définitivement ce sport de raquette. l’Uber Cup est le nom du championnat de badminton qui se déroule chaque année. A partir de 1957, une équipe féminine sera désignée par l’Uber Cup pour concourir au titre de champion du monde.

En 1988, une démonstration de badminton durant les Jeux Olympiques se déroulant à Séoul séduit le comité. Celui-ci décide de rajouter cette discipline aux Jeux Olympiques dès 1992.

5 pratiques seront intégrées :

  • Le simple messieurs
  • Le simple dames
  • Le double messieurs
  • Le double dames
  • Le double mixte

Le nombre de points nécessaires pour remporter un set étaient de 11 pour les dames et de 15 pour les messieurs. En 2006, il sera de 21 points pour tout le monde.

Le chiffre d’adeptes du badminton avancé est de 100 millions de joueurs recensés dans le monde.

Les sports de l’extrême, une passion

Tout le monde vous dira qu’ils sont fous. Eux vous répondront qu’ils sont passionnés. La recherche de sensations les attirent et ils aiment repousser leur limites malgré le risque. Mais que recherchent-ils donc ? Qu’est ce qui explique leur engouement ?

L’amour du danger

Du baptême de l’air en hélicoptère au saut en parachute, en passant par le saut à l’élastique, tous les pratiquants de sports de l’extrême ont une quête commune : l’adrénaline. Hormone produite par le corps humain face à un stress excessif, elle acère les sens, dilate les pupilles et accélère le rythme du cœur. Cela pourraient être oppressant pour un débutant, mais les plus adeptes y trouvent là un plaisir immense, voire une dépendance.

L’adrénaline est associée à la sécrétion d’endorphines, comme la dopamine, la substance qui vous rend euphorique. C’est la même substance qui vous aide à combattre la douleur et qui est également associée au plaisir. C’est donc cette poussée d’adrénaline, ce flash, que les sportifs de l’extrême recherchent.

Très bon antidote contre le stress

Les sports de l’extrême sont très utile pour gérer son stress quotidien. Certains pourraient croire qu’ils pourraient rendre encore plus anxieux plutôt que de calmer les nerfs, mais ces activités vous mettent face à une situation extrême et vous force à canaliser votre énergie et ne pas paniquer, ce qui aide à relativiser une fois face aux petits problèmes quotidiens. Ils vous font réaliser que vos limites sont bien plus élevées que vous ne l’auriez imaginé, et vous permettre de vous défendre avec plus de sérénité contre votre anxiété.

Ils requièrent également toute votre énergie mentale et votre concentration, et vous entraîne à vider votre esprit dans les moments difficiles du quotidien et vous aident à lutter contre la dépression, souvent à l’origine du stress, grâce à la poussée d’adrénaline qui vous aide à vous sentir vivant.

Boosteurs de confiance personnelle

Avec les sports de l’extrême, c’est « frissons garantis ». On a ensuite l’impression qu’on peut conquérir le monde entier. Ils boostent notre confiance en soi et le sentiment d’accomplissement qui en résulte augmentent notre motivation et notre détermination.

L’extase provoquée est un plaisir en lui-même et également une récompense à long terme. C’est une véritable jouissance à tous les niveaux. Ces sports aident à connaître ses propres limites et mieux cerner sa personnalité, tout en prenant du bon temps. Bien mieux que le psy, non ?

Euro 2016 et les Bleus

Pour ne pas passer à côté d’un événement festif de cette ampleur, certains incultes ont dû se refamiliariser avec le jargon footballistique, de l’appel croisé au coup franc en passant par le penalty sans oublier « la panenka synonyme de talent pur  » pour François Hollande : « les mous peuvent surprendre, ou encore atteindre la perfection, la subtilité, l’élégance » !

Même si les « pointilleux » trouveront toujours à redire, les Bleus virevoltants ont assuré jusqu’à la dernière marche. Euphoriques de se retrouver en finale face à une équipe ne faisant pas le poids, les Bleus se sont sans doute un peu laissés « endormir inconsciemment », (comme dirait Ribéry). A l’inverse, moins bien lotis de par leur palmarès et comme lobotomisés suite à la sortie de leur attaquant phare, les Portugais ont redoublé d’agressivité sous les gesticulations galvanisantes de leurs coachs.

Jouer le tout pour le tout dans un sursaut, dans l’espoir de marquer un but in extremis pendant la prolongation, stratégie des Bleus mise à mal par de coriaces adversaires à court d’idées, au jeu insipide. Déjouant tous les pronostics des pro, « la routourne » a tourné pour les Portugais coupant au passage l’herbe sous les pieds de ceux qui s’apprêtaient à récolter les dividendes de ce qui n’est qu’un jeu. Si les performances sont nécessaires, elles ne sont pas forcément suffisantes pour décrocher le trophée, la chance ayant son mot à dire, la preuve !

Rien de grave se dit tout mauvais perdant, ce n’est qu’un au revoir et sans doute, ces deux équipes se reverront-elles pour rendre à César ce qui est à César… En définitive l’équipe de Didier Deschamps en ressort pas trop mal en point : d’après l’UEFA, Griezmann est élu meilleur buteur de l’Euro 2016 talonné presque par Olivier Giroud et Dimitri Payet. De quoi pousser un cocorico pour ces porteurs de maillots estampillés du coq !

Si la « plèbe » ne trouvait pas son compte dans ces matchs hauts en couleurs animés par des joueurs attachants de Sissoko, à Grizou, ils ne se laisseraient pas enfumer par le pouvoir magique du ballon rond, reléguant aux oubliettes la corruption consubstantielle au foot. Après cette parenthèse enchantée, il est temps pour ceux qui culpabilisent de se laisser griser par un jeu banal de revenir sur terre pour composer avec le Brexit, le terrorisme, la misère ambiante et tout ce qui va avec…

Euro 2016 : l’histoire extraordinaire de l’Islande !

L’Islande, cette terre de glace de 330 000 habitants, moins peuplée qu’une ville comme Aix-en-Provence, est en passe de réaliser l’un des plus retentissants exploits que le championnat d’Europe des Nations n’ai connu, depuis sa création en 1960.

 

Qualifiée pour la première fois de son histoire à une compétition internationale, l’Islande a validé son ticket pour la phase finale de l’Euro 2016 après avoir terminé première de son groupe de qualifications, devant la Turquie et les Pays-Bas. Autant dire que sa présence à l’Euro n’est nullement due au hasard.
En dépit de l’étiquette de petit poucet de la compétition, les islandais ont créé la sensation du premier tour en parvenant à finir deuxième de leur groupe, devant le Portugal, et se hisser en huitièmes de finale face à l’Angleterre, lieu de naissance du Football.

Portée par un élan populaire incroyable (plus de 30 000 supporters présents hier à l’Allianz Riveira de Nice), l’Islande arrache son billet pour les quarts de finale, en venant à bout des anglais, complètement dépassés par l’abnégation et la détermination de leurs adversaires. Rapidement menés un but à zéro, suite à un penalty transformé par le capitaine des Three Lions Wayne Rooney, l’Islande a immédiatement su réagir en égalisant par l’intermédiaire du valeureux Ragnar Sigurdsson. Puis, quelques minutes plus tard, c’est l’attaquant du FC Nantes, Kolbeinn Sigthorsson, tant décrié sur les pelouses de ligue 1, qui donnait l’avantage aux siens en allant tromper la vigilance du portier anglais Joe Hart, à la suite d’un joli mouvement collectif. Le score est de deux à un, et n’évoluera plus. Dépités, les anglais ne comprenaient pas ce scénario rocambolesque, eux qui avaient sans doute la tête en quarts de finale, en s’étant peut-être vus trop beaux avant l’heure. Le collectif islandais a eu raison de la suffisance anglaise, malgré ses stars.

Adulés par les médias sportifs du monde entier, les islandais auront à coeur de poursuivre leur rêve, de continuer à écrire leur fabuleuse histoire, eux qui seront plus que jamais motivés à l’idée de jouer un mauvais tour aux francais, ce dimanche au stade de France. Les Bleus sont prévenus, l’Islande ne leur fera pas de cadeaux.

L’Islande nous offre un incroyable story-telling, qui s’apparente à l’exploit de Leicester, sacré champion de Premier League cette saison. Et peu importe le résultat final des Islandais dans cette compétition, ils auront réussi à susciter l’admiration au-delà des frontières et à gagner le respect du monde du Football, et cette estime là, a la saveur d’un sacre.

Un nouveau patron à Roland Garros

 

La finale de Roland Garros opposera Novak Djokovic à Andy Murray. Un choc entre les deux meilleurs joueurs du monde.

Cette finale, tant attendu par le grand public donne beaucoup de satisfactions. C’est un nouveau nom inscrit sur la coupe des mousquetaires. Ensuite, c’est la finale entre le numéro 1 et numéro 2 mondial.

Deuxième finale de grand chelem de l’année pour les deux hommes. Ils se sont rencontrés à l’Open d’Australie où Djokovic l’a emporté. Mais ce n’est pas le seul duel de l’année, 4eme finale entre ces deux hommes. C’est aussi un passé de 33 rencontres. Djokovic mène 23-10. Pour ce qui est de la terre battue, Djokovic était invaincu, mais leur dernier match a eu une fin différente.
Niveau grand chelem Djokovic compte 11 victoires. S’il remporte celui-ci, il rentrera dans le cercle fermé des joueurs ayant remporté les quatre. Il se rapprocherait du record des 17 titres détenus par Federer. Enfin il serait encore en course pour réaliser le « grand chelem » c’est-à-dire remporter les quatre titres la même année.
Pour Andy Murray ce n’est pas la même histoire. Il a remporté 2 titres du grand chelem pour 7 défaites en finales perdues. Il visera son troisième trophée.
Les statistiques donnent raison à Djokovic, il n’a perdu qu’un set sur le tournoi. Mais Andy Murray est un battant comme il l’a prouvé sur les deux premiers tours remportés au 5eme set. Une bonne partition en demi finale sur Stan Wawrinka qui a déclaré à la suite du match « Andy n’a jamais été aussi fort ». Et surtout leur dernier match s’est conclu par une victoire du britannique. C’était déjà sur terre battue à Rome. Une victoire 6-3 6-3 qui fut le premier succès de Murray sur cette surface contre Djokovic.

Un véritable combat attend le public du court Philippe Chatrier. Qui remportera ce 34eme round ? Djokovic peut-il battre le record de grand chelem? Murray peut-il être le premier britannique de l’ère open vainqueur de roland garros? A voir dimanche.

Galatasaray et Fenerbahçe, les frères ennemis d’Istanbul!

 

Istanbul… Istanbul… la ville aux trois Millénaire, qui renvoie à la Byzance grecque, la Constantinople Romaine, conquise par les “braves” de la révolution kémaliste (Turques), devient la capitale d’un immense empire: l’Empire Ottoman. Istanbul c’est aussi, un terrain de jeu, une ville-monde divisée en deux continents par le Bosphore: Sur la rive européenne l’équipe de Galatasaray y définit sa sphère d’influence et, sur la rive asiatique c’est le terrain conquis par Fenerbahçe. Deux équipes de star qui, depuis près de 100 ans se battent et perpétuent l’histoire d’une rivalité brûlante.

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La Coupe du monde de rugby à XV : C’est pour bientôt !

En 2015 les ligues nationales de rugby laisseront leur place à quelque chose de plus grand. La Coupe du monde de rugby à XV se disputera cet automne en Angleterre et à Cardiff (pays de Galles) du 18 septembre au 31 octobre. 



Vingt nations, parmi lesquelles on trouve le pays de Galles, l’Irlande, l’Angleterre et la France, qui rivaliseront pour le prix, la Coupe Webb Ellis, gagnée la dernière fois par la Nouvelle-Zélande en 2011.

 

L’équipe française est dans le Groupe D avec l’Italie, le Canada, la Roumanie et l’Irlande, et elle jouera son premier match le 18 septembre au stade de Twickenham (Londres) contre l’Italie. Ayant notre sélection comme tête de série, on peut être sûr que le match sera vraiment intéressant. Les autres têtes de série sont l’Australie pour le Groupe A, l’Afrique du Sud pour le Groupe B et la Nouvelle-Zélande (l’actuel champion) pour le Groupe C.

 

Toutes les personnes qui veulent aller à ce tournoi doivent savoir que, malheureusement, les billets sont déjà épuisés, même si 25 000 billets supplémentaires furent mis en vente en avril dernier. Pourtant, il y a encore des tickets disponibles sur des canaux de vente alternatifs.

 

D’autre part, la Commission organisatrice de la Coupe du monde de rugby à XV (RWC 2015 en anglais) a déjà annoncé la liste des 41 bases qui constitueront les sièges des vingt équipes participant au tournoi. Dans le cas de la France, elles seront « The Vale Resort » et « Trinity School Croydon ».

 

La recherche de ces bases pour les équipes a commencé en 2013 par la voie d’une procédure d’appel d’offres, car les installations doivent respecter les normes internationales et se trouver près des sièges des matchs. C’est pourquoi un mélange de clubs de rugby, écoles, lycées, universités et centres de perfectionnement sera employé par les vingt équipes. Pour tous les renseignements concernant les bases de chaque équipe, cliquez ici.

JO Spéciaux de Los Angeles : le sport et l’espoir

Permettre aux jeunes handicapés mentaux de mettre en avant leur compétence physique et intellectuelle, tel est le but desSpecial Olympics, organisés à Los Angeles du 25 juillet au 2 aout prochain. Plus de 7000 athlètes, venus de 170 pays différents, vont ainsi s’affronter pendant une semaine afin de faire honneur à leur pays.


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