José Bové, le leader moustachu altermondialiste, est convoqué le 12 novembre afin de purger sa condamnation à la prison ferme. Il a estimé que c'était au pouvoir politique de comprendre la situation. Rachida Dati, son avocat, s'occupera de la négociation.

Convoqué, à Millau, le 12 novembre, devant un juge d'application des peines pour sa condamnation à la prison ferme pour avoir arraché des champs de maïs transgénique en juillet 2004. Il doit effectuer 4 mois ferme, peine annoncé en novembre 2005. Ce mardi à Montpellier, il a annoncé qu'il refusait tout aménagement de peine.

José Bové affirme : "J'ai reçu à mon domicile la convocation pour me rendre chez le juge d'application des peines, et c'est le Jap qui doit décider des conditions de mon incarcération". Le Jap va me proposer des aménagements de peine éventuellement, type bracelet électronique, aller dormir en prison et sortir le jour. Tous ces types d'aménagement ne sont pas conformes à la réalité d'un engagement politique…".