Le président « Nicolas Sarkozy », candidat à sa succession, « a compris », compris que le peuple Français, ne croit plus au belles phrases et aux jolies promesses. Il a « compris » que son attitude capitaliste et sa façon d’être « le président des riches » va lui coûter son élection à un nouveau mandat. Il a "compris" que la France n’en peut plus de subir alors qu’une minorité s’enrichit de plus en plus, avec l’aval des gouvernements successifs.
Le candidat « Nicolas Sarkozy » connait la faiblesse des français et cet expert de la plaidoirie sait exactement comment endormir la méfiance de ses compatriotes. Comme tout bon avocat il défend sa cause de main de maître en minimisant ses fautes qu’ils fait largement endosser à une crise provoquée par les financiers européens et français et qu’il prétend internationale. Comme tout bon avocat il avoue certaines fautes pas très lourdes qui n’entachent pas trop son bilan et lui redonne une touche de sincérité
Tout son discourt de « Villepinte », ponctué de « j’ai compris » a retracé point par point le désir des français, avec la volonté de sortir du chômage et de certains traités comme celui de « Schengen », pas adapté au contrôle de l’immigration. Il va même plus loin dans sa « compréhension » en proposant, « enfin » de donner une priorité nationale aux entreprises qui produisent en France et critique le libre échange.