Autre regard sur le chômage

2 785 000 ce chiffre vous évoque-t-il quelque chose ? Exact ! C’est le nombre de chômeurs actuellement en France (1). Un chiffre qui fait peur, un chiffre dont on aimerait tous, qu’il soit moins élevé. Mais… Ce chiffre est bel et bien là et il va falloir qu’on apprenne à vivre au mieux avec vaille que vaille.

Perdre son emploi, être face à soi-même, s’inquiéter des lendemains et de son avenir peuvent être très vite, une source d’angoisses quotidiennes et de stress permanent pouvant entrainer des problèmes de santé, des problèmes familiaux et amicaux.

Mais, ne pourrions-nous pas considérer qu’une période de chômage soit peut-être une occasion (forcée) pour se réorienter professionnellement ? Un temps que l’on pourrait consacrer à valoriser nos acquis professionnels et entreprendre des démarches de formation pour certains, des démarches pour créer son entreprise.

Revenons sur cette dernière idée, la création d’entreprise ne s’adresse pas qu’aux personnes influentes, elle est accessible à tous. Le pôle emploi encourage, accompagne toutes les personnes désireuses d’un tel projet.

 

Pour vous aider, le pôle emploi a deux ateliers mis en place.

L’un a pour but d’évaluer vos motivations, de vous permettre de vous projeter dans votre projet de création d’entreprise.

L’autre a pour objectif d’organiser votre projet (moyens humains, techniques, financiers, commerciaux)

Un tel projet prendra peut-être du temps à se mettre en place, même si peut-être votre entourage ne vous encourage pas tous les jours comme le voudriez il n’y a pas de raison qu’il ne voit pas le jour ! Garder confiance en soi est la meilleure arme que vous puissiez avoir ! Si vous-même, vous doutez de la fiabilité de votre projet, qui d’autre alors aura confiance en votre futur réussite ?

Pôle emploi vous aidera jusqu’à la fin de vos démarches, en vous proposant de rencontrer un consultant pour que celui-ci vous apporte son regard, son expérience et ses conseils grâce à l’Evaluation Préalable à la Création ou reprise d’Entreprise (EPCE).

 

 

Osez !

Et faites de cette citation votre mantra :

 

« Tu peux tout accomplir dans la vie si tu as le courage de le rêver, l’intelligence d’en faire un projet réaliste, et la volonté de voir ce projet mené à bien. » Sidney A. Friedman (Entrepreneur et écrivain américain)

 

 

Information et liens utiles :

(1) Selon les chiffres de l’Insee publié le 6 septembre 2012

 

Aides publiques à la création d’entreprise

Conseils sur la création d’entreprise

 

 

 

 

20 réflexions sur « Autre regard sur le chômage »

  1. Bonjour

    Ce chiffre est celui du chômage en France à la fin du siècle dernier, avant que le calcul statistique de l’ANPE ne change… alors que les sociologues, les ONG diverses annonçaient déja une situation bien plus grave par leurs propres chiffres sur le terrain… Donc tout va bien depuis plus de 10 ans le chômage à baissé par logique….!!!!

    Pour la création d’entreprise, depuis la crise fin 2008 la création augmente chez les plus petits parce qu’ils ne trouvent plus de travail, ou parce qu’ils ne se sentent plus considérer en entreprise à leur niveau. Maintenant envoyez les moins diplômés souvent au « casse-pipe » fait malheureusement sourrire les plus gestionnaires sur le marché.

    Dans les années 80 c’était pareil, la création tentait beaucoup de jeunes (j’en fit parti) mais aprés 3 ans sur 30 courageux il en restait 3, et encore en grande difficulté pour se maintenir, le reste remplissait le tribunal de commerce par les dépôts de bilan.

    Nous sommes sur des marchés hyper concurrentiels à ce niveau en interne en france, donc ne pas rèver qu’avec quelques milliers d’euros et sans garanties ou arrières vous pourriez tenir longtemps. Dés le moindre probléme ou retard vous êtes en situation dangereuse, et la les promesses des aides comme la confiance des banques… plus rien. Et en cas d’arrêt ensuite encore moins que rien, quand ce ne sont des dettes qui vous empoisonneront pendants des années pour rembouser…

    Consultez des pros gestionnaires et faites une étude sérieuse de votre marché, ce qui coûte souvent plus que votre capital malheureusement, et ensuite vous verrez mieux le piège. A moins d’avoir la formation comptable, financière et économique pour, une compétence technique même trés bonne, ne suffit plus. l’époque comme aprés guerre ou avec une simple patente n’importe qui s’installait petit commerçant artisan jusqu’a sa retraite est révolue depuis 1972…

    Les jeunes qui sortent des écoles commerciales doivent bien rigoler devant les annonces de l’Anpe et de l’état je pense…

    PH

  2. [i] »Les jeunes qui sortent des écoles commerciales doivent bien rigoler… »[/i] [b]ce n’est pas si sûr, car ils peuvent toujours chercher ce qu’il y a à vendre … pas grand chose du fait de la production atone française, en revanche vendre « l’étranger en France » ça ils savent faire ![/b]

  3. Effectivement, les pros des écoles de commerce sont depuis longtemps dans la logique mondiale, alors que les petits commerçants sont tributaires d’un marché fermé limité. Bien que désormais avec les moyens de communication chacun peut s’adresser à l’étranger pour aborder son propre projet, mais beaucoup de gens ont une vision du bout de leur rue et pense encore que le made in France est plus éthique, alors que plus de la moitié de ce qu’ils consomment arrive déja de l’étranger.
    PH

  4. Je travaille depuis six ans maintenant suite à la fin de mes études supérieures… Six ans durant lesquels je n’ai connu que trois mois de chômage! Il est en effet dure de trouver un emploi, mais il ne faut pas non plus se limiter à son simple domaine de compétence… Si j’avais du attendre pour travailler de trouver un emploi dans mon domaine, je ne travaillerais toujours pas aujourd’hui. Il est bien des domaines qui manquent cruellement de main d’oeuvre, celui des services et de l’aide à la personne entre autre. J’ai accepté d’être femme de ménage alors que je suis licencée! J’ai accepté tout et n’importe quoi mais j’ai toujours mangé correctement et n’ai qu’à de rares occasions bénéficié des aides de l’Etat et m’en félicite. Je travaille toujours en CDD ou intérim mais ne désespère pas de trouver un emploi durable. Je suis persuadée que si des chômeurs acceptaient des postes en dessous de leur compétence ne serait ce comme tremplin pour retrouver une vie sociale, le taux de chômage serait moins élevé. Ce n’est que mon avis bien sûr!
    De ce qui est de la création d’entreprise je le déconseille vivement surtout quand on voit le nombre croissant de dépôt de bilan durant la seconde année… et oui les exonérations ne sont pas éternelle…

  5. Bonjour Sarif Guilaine

    Sans indiscrétion quel formation aviez-vous ?

    L’obligation sociale fait qu’effectivement certains n’ont pas le choix à un moment, mais ce que vous dites soulèves une notion qui voudrait dire que l’on « devrait » tout accepté du marché de l’emploi présenté selon le moment.

    Malheureusement les situations changent en sens inverse et l’on réclame des formations aux gens pour ensuite les remettre sur le même marché toujours aussi vide ou qui devient pire en avançant.

    Je vous dis cela car j’étais enseignant formateur à un moment, à la grande époque de Miterrand, ou malheureusement toute la formation ne faisait souvent que renoyer les mêmes avec une formation en plus devant les bureaux de l’Anpe.

    Il faut de plus en plus de formation pointue mais l’on dirige des milliers de jeunes vers des directions que l’on sait d’avance bouchée à la sortie par les variables qui elles n’attendent point.

    Est-ce donc encore raisonnable de faire des longues études désormais devant les faits comme vous ou plutôt de se dire que demain la formation de jardinier permettrait plus de manger au quotidien que le Master accroché au mur devant le crève la faim ? (pour faire large dans l’image)

    A mon époque (années 90) l’on formait 3500 ingénieurs/an dans mon secteur il en fallait maxi 1300/1500 par an réellement sur le marché entre les retraités partants et les nouveaux postes crées répertoriés…. au départ l’ingénieur était accroché à la sortie à 15.000/18.000 frs net/mois minimum et ensuite à peine plus que le smic…

    Faudra-t-il accepter de retourner se courber aux champs comme le fond beaucoup d’Espagnol pour rembourser la dette des incompétents en culpabilisant de refuser à un moment des limites inacceptables et injustes ?

    Faut-il accepter de devenir en fin de compte encore plus pauvre pour répondre aux statistiques déja faussées de l’Anpe depuis de nombreuses années ?

    PH

  6. Bonjour Christèle. Ton article comme toujours écrit avec le coeur et beaucoup d’optimisme est intéressant mais pas tout à fait juste. en effet on fait dire aux chiffres ce que l’on veut et je suis persuadé que ceux ci sont en dessous de la vérité. j’ai à mon modeste niveau (bac 1972 et un diplôme en gestion administrative et comptable)envie de donner mon avis en me basant sur mon vécu et non sur les parlottes des parlementaires. j’ai toujours travaillé depuis l’age de 17 ans après quelques essais vers 14 ans pendant mes vacances et je commencerai par choquer la plupart en disant ce que mon père me disait quand il parlait de l’emploi et qui pour moi est toujours d’actualité « quand on veut travailler! on peut » mais il ne faut jamais baisser les bras et se laisser entretenir. mêmes les handicapés trouvent du travail et peinent à effectuer leurs taches. moi j’ai fait pleins de métier, une carrière militaire et ensuite des boulots civils pour certains très bien payés et pour d’autres moins, à ma sortie de l’armée, ne trouvant rien dans ma branche (comptabilité), j’ai proposé mes services chez un déménageur chez qui j’ai démarré en portant des meubles et à conduire des camions puis mes premiers pas comme commercial qui m’à permis de développer un gros chiffre d’affaire et de me hisser rapidement au niveau de responsable d’agence. une vie personnelle mouvementée m’à souvent obligé à quitter mes emplois et j’ai ensuite exercé plein de petits boulots pour éviter le chômage et l’ANPE. j’ai fait livreur, dépanneur en tout genre chez des « escrocs » vendeur d’extincteurs chez d’autres escrocs – vendeur livreur en surgelé (bien payé mais destructeur de vie privée)jusqu’à ce que je trouve une formation intéressante chez un gestionnaire du groupe total et une nouvelle course aux responsabilités qui m’à fait monter jusqu’à assistant manager et un salaire plus que correct. de nouveaux évènements auraient pu me pousser jusqu’à l’ANPE, Mais non pas pour moi, alors j’ai pris un petit emploi de gardiennage en attendant de trouver autre chose. j’ai alors décidé de me mettre à mon compte avec la reprise d’un commerce (cercle – bar- restaurant- spectacles) et c’est sur ce dernier point où je ne suis pas d’accord avec toi. Pole emploi jette de la poudre aux yeux de ses ayants droit, le but étant de les faire sortir le plus vite possible de la liste des demandeurs ensuite débrouille toi! non, les seuls à mon sens à pouvoir orienter les candidats entrepreneurs sont les chambres des métiers et la chambre de commerce qui eux vous aide réellement à créer votre entreprise mais là aussi il faut Etre humble et accepter les aides – les conseils – et les tuteurs quand c’est possible.

  7. Il faut apprendre sans griller les étapes parce que les pièges sont nombreux et les frais souvent sous estimés. ceci dit je suis un optimiste et je dit à ceux qui veulent créer leur emploi, « allez y » mais attention n’y allez pas les poches vides en croyant gagner tout de suite le salaire d’un directeur car la création d’entreprise c’est souvent plusieurs années sans grands revenus et pas question de puiser dans les caisses de l’entreprise pour faire vivre sa petite famille. il faut que les jeunes s’orientent vers la création d’entreprise, c’est notre avenir même si ce n’est pas très facile et il faut que ceux qui sont bardés de diplômes prennent de petits boulots en attendant de trouver un job qui correspond à leur formation. il n’est pas déshonorant de travailler avec les petits avant d’accéder à des postes de direction, c’est la meilleure des écoles!
    à bientôt chystèle – JP

  8. Et n’oubliez pas la reflexion « génialissime » de notre président…
    qui a qualifié les chômeurs de « stock dont il faut bien tenir compte ».
    Je cherche ce matin sur le web « hollande stock chômage chômeurs », j’ai du mal à trouver. C’est repris nulle part !

    Fabienne Brutus : «A l’agence, les chômeurs sont qualifiés de « stock »»
    7 contributions
    Publié le 7 avril 2006.
    [url]http://www.20minutes.fr/economie/79253-Economie-Fabienne-Brutus-A-l-agence-les-chomeurs-sont-qualifies-de-stock.php[/url]

  9. Bonjour à tous,

    Tout d’abord, je tiens à vous remercier de vos commentaires qui offrent un panel de témoignages tous très intéressant. Par ailleurs, je tiens juste à préciser que dans certains cas, le pôle emploi peut être quand même un bon tremplin pour les jeunes qui ont déjà un bon projet en « tête ». En effet, j’ai une jeune amie (25 ans) travaillant depuis plusieurs années en tant que vendeuse dans magasin de grande marque. Cette jeune femme crée ses vêtements, offre ses créations à son entourage et réussira j’en suis sûre à développer un jour son projet (créer sa propre collection). Donc, il me semble que dans ces conditions-là, le pôle emploi et ses aides en place pour la création d’entreprise sera une aide précieuse pour cette jeune femme.

    chrystèle

  10. J’ajouterai que la création d’entreprise doit surtout venir de l’intention de créer donc d’avoir en soit la créativité et donc l’approche d’un caractère personnel pour cela. C’est toujours une forme d’aventure à prévoir, et être bien conscient que chaque jour il faut affronter des éléments nouveaux. Donc être encouragé par des structures externes pour devenir indépendant comme une solution pour s’en sortir socialement est faussé. Même des gens ayant des compétences et des formations pour devenir entrepreuneur sont loin de réussir malgré leurs connaissances. Les PME et PMI se présentent au dépôt de bilan chaque jour malgré des gens qui tenaient la route.

    Voir aussi l’époque, créer aprés guerre 1945 son activité était d’une facilité si vous aviez le budget, personne ne voyait des petits commerçants et artisans jusqu’en 1975/1980 fermer boutique même si le patron n’était pas vraiment plus formé, bien souvent il ne comprenait rie à sa propre comptabilité laissé à son comptable, qui lui disait en fin d’année ce qu’il avait gagner… (jamais perdant…). Aprés l’approche de création inclua la notion de perte et de dépôts de bilan ainsi qu’une suite de risque, qui fit dire que créer était quasiment un suicide parfois. Les grandes écoles de commerce et de gestion enseigne dés le départ la notion de dépôt de bilan et inclus cet aspect dans la gestion d’entreprise, parfois même comme un outil de gestion plus vicieux aussi…

    Créer oui j’encourage aussi mais avec recul jamais les yeux fermés.

    PH

  11. je pense que la chambre des métiers et plus à même d’orienter une personne qui veut créer sa propre entreprise de création et surtout elle pourra la parrainer, la guider sur le choix de ses statuts, et lui présenter des confrères ou consoeurs qui ont réussis dans leurs projets. ils peuvent également organiser des stages de formations, réunions d’informations et donner les bons tuyaux pour trouver les fonds nécessaires et enfin, ils sont incontournables pour créer une société artisanale. vous pouvez récupérer un passeport qui vous donne droit à une consultation gratuite d’un avocat pour la création des status ainsi que l’avis d’un expert comptable qui peu également établir bilans et prévisionnels de façon à présenter un dossier pro aux banques.et puis les renseignements sont gratuits ! cordialement jp

  12. Bonjour Jean Paul

    La jeune femme dont je parle en commentaire lit très souvent mes articles et sera appréciée les conseils que tu apportes dans tes commentaires.
    Merci à toi

    Aussi, les autres commentaires associés à cet article seront d’une aide fort utile pour ceux et celles qui ont pour projet de créer leurs entreprises.
    C’est cela que j’apprécie le plus sur C4N !
    Offrir aux lecteurs des commentaires de témoignages

    Alors…Merci
    Chrystèle

  13. « lit très souvent mes articles et sera appréciée »
    « lit très souvent mes articles et SAURA apprécier »

  14. Bonsoir Philippus,
    Pour vous répondre, j’ai passé un bac littéraire et oui je sais mauvais choix pour ensuite suivre une licence de sociologie avec des module d’étude comportementale, de la psychologie ainsi que de la RH, seconde erreur… Lorsque j’ai appris qu’il fallait dorénavant un master pour devenir professeur des école (un rêve qui ne se réalisera plus maintenant) et bien j’ai commencé à chercher du travail… Et là et bien forcé malgré moi d’être confronté au fait que les employeurs ne sont pas réceptifs du tout à ce type de parcours, donc j’ai commencé a accepter des petits boulots… 6ans que cela dure!
    Entre temps, sur conseil du pôle emploi, j’ai même suivie une formation pour devenir chaudronnière, métier qui recrute partout et sans main d’oeuvre qualifiée… Certes mais ce qu’ils ont oubliés de spécifier c’est que le fait d’être une femme dans ce corps de métier est un vrai handicape! Et je ne pèse pas mes mots! Certaines entreprises on le cran de le dire directement sans pour autant porter les dires par écrits…
    Et à l’heure d’aujourd’hui, je continue les cdd, l’intérim…Je n’ai pas le choix il faut bien que nous vivions… Mon mari intérimaire lui aussi et un petit poussin de trois ans… cela ne laisse pas la possibilité d’exiger quoi que ce soit ni d’être difficile en terme de d’emploi … malheureusement…

  15. Le vrai problème c’est qu’il n’y a pas assez d’entreprises pour embaucher ! Le chômage en est la conséquence !
    Malheureusement, le nouveau gouvernement n’a pas compris que ce n’est pas de s’attaquer au chômage qui résoudra le problème, mais c’est de créer des entreprises !!! Et qui créer des entreprises ? Ben, des gens fortunés, ou des « riches », selon l’expression du président normal. Seulement voilà, les riches s’en vont petit à petit [i](Bernard Arnault, l’homme le plus riche de France demande la nationalité Belge)[/i] et nous récoltons les pauvres venus d’ailleurs qui, eux, créent d’autres problèmes.
    Au bout du compte, nous resterons entre nous, les pauvres, à quémander un peu de travail pour faire bouillir la marmite !

  16. Chrystèle,
    Je ne cautionne pas les chiffres publiés. Le pole emploi est un organisme qui dépend de l’Etat. Certains sont au pole emploi pour licenciement abusif et certains demandeurs d’emploi sont licenciés abusivement de pole emploi.
    De plus, même en s’inscrivant avec des droits ouverts à une formation (crédit d’heure acquis au cours de son dernier emploi) ces personnes s’autorisent à vous diriger dans un secteur autre que celui auquel vous prétendez (quota de personnes à respecter pour une formation qu’ils ont mis en place).
    Quand aux informations télévisées, les filtres sont tels que si on devait se servir de ces filtres pour une eau radioactive elle deviendrait claire comme de l’eau de source…
    Avant de s’adresser à cet organisme, faire un bon bilan de ses connaissances, son parcours et rester centrée au maximum sur ce que l’on veut obtenir d’eux et non pas le contraire.
    Le jour ou ils voudront vous radier, eux trouveront toujours le bon motif pour faire baisser le taux de chomage(ex : elections proches ; . )
    poétesse : la tête dans les étoiles mais les pieds bien sur terre.

  17. Qui pense encore que le plein emploi serait possible dans les circonstences économiques que la frace et l’Europe connait depuis 1972 ? (Date à laquelle plus aucun gouvernement Français n’a pus équilibré un budget et qui auhourd’hui mathématiquement parlant il est impossible de redresser par notre économie donc par le travail actuel et futur des français)

    PH

  18. Je dirais juste que qui ne tentes rien n’a rien, ce n’est pas en restant les 2 pieds dans le même sabot en attendant que la société change qu’une personne peut s’en sortir. Chacun établi son projet selon ses envies ses désirs, ses convictions et ses possibilités, et nul de ceux qui s’engage sur la voies de la création n’est assez fou pour se lancer sans un tant soi peu « d’éttayage » de son projet… et justement, là le pôle emploi peu assurer quelques aides favorables à termes ou défavorables d’ailleurs. C’est à mon avis un interlocuteur imposé certes dont il faut se servir comme outil et non comme Messie et y allié tout les autres structures existantes et connues dans sa démarche de retour à l’emploi.

    Alors oui certes le « plein emploi » n’existera plus car il n’est pas voulu et effectivement le « vivier » de personnes « dispônibles » est considéré comme nécessaire et même indispensable à l’économie actuel, mais il n’en faut pas pour autant arréter de croire qu’il y a des choses possibles.

    Je ne parles que de mon expériences passée, j’ai été comme beaucoup confronté au chômage, CDD et autres petits boulots jusqu’à ce que l’ANPE » à l’époque m’oriente après un bilan de compétences a passé le BaC grâce auquel j’ai pu enfin accédé au métier que je désirais… Tout n’est pas noir donc. =)

  19. Le petit français qui crée son emploi afin de subsister actuellement, se doit d’être trés analytique et objectif, mais un ancien ouvrier ou employé n’est pas pour autant un diplômé ou un économiste. Ce que je lui conseillerai serait d’aborder des projets avec le minimum de risques (pas d’investissement coûteux comme un fond de commerce par exemple ou il travaillera pour le loyer et les charges et encore…ce poste est le vecteur de l’échec souvent des TPE) et d’envisager une activité en lien avec les besoins économiques à la baisse qui arrivent de plus en plus vite.

    Nous sommes désormais dans une ére de low-cost qui se confirme même chez les plus gros industriels ou dans le service, j’irai même à dire que demain, ouvrir une soupe populaire ( à 1 euros la soupe) devrait être un projet que même des banques financeraient les yeux fermés, une franchise aussi à créer… malheureusement.

    PH

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