Monsanto, lors de ses "études" sur le mais trangénique baptisé "Mon 863" a certainement "omit" d’en libérer la véritable conteneur. Cette affirmation provient d’un groupe de biologiste français qui a réalisé une contre-expertise pour en arriver à des conclusions inquiétantes. La Commission européenne a donné son aval pour la commercialisation de ce maïs en 2005 sans avoir pris la précaution d’écouter l’avis de nombreux experts qui déja à l’époque avaient soulevé une vaste polémique …
" Nous avons découvert des signes évidents de toxicité hépatique et rénale chez les rongeurs ainsi que d’aures troubles physiologiques".
C’est en ces mots que le professeur Gilles-Eric Séralini, généticien à l’université de Caen et membre du Comité de recherche et d’information indépendant sur le genre génétique (CRIIGEN), co-auteur de la contre-expertise en compagnie des docteurs Dominique Cellier et Joel Spiroux de Vendemois, a commenté ces résultats …
Les résultats de ces trois chercheurs sont inquiétant. Reprenant toutes les données de "l’étude" pratiquée par Monsanto, et donnant des résultats bien différents, ce qui devrait susciter un réaction de Monsanto essayant de contredire les analyses des trois biologistes …
Cette confirmation prouve bien que l’industrie agro-alimentaire dissimule, manipule, pour tirer profit de ce marché en expansion, au mépris de la santé et de la bio-diversité. Heureusement des chercheurs intégres démontrent la supercherie , Monsanto est un fléau …