Franck Esser, PDG de SFR, vient d’annoncer que son groupe venait d’obtenir un quatrième membre au conseil d’administration de Neuf Cegetel, après qu’il soit monté au capital à 40,67% des parts.
Néanmoins il a précisé que SFR n’avait pas besoin de racheter Neuf. On peut en douter, car quel intérêt pour les deux groupes de se livrer une guerre commerciale féroce dans tous les segments du marché (fixe, mobile, ADSL, entreprises) alors que leur fusion permettrait de dégager des synergies considérables et de fonder le numéro 2 incontestable du marché des télécoms en France.
Mon sentiment est que cette fusion se réalisera à moyen terme…