Valérie Pecresse invite une certaine mesquinerie politicienne !!

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Le mouvement estudiantin, malgré les affirmations de Bruno Julliard, Président du syndicat étudiant (UNEF), est fort divisé. La réforme des universités n'interpelle pas une majorité, comme le CPE avait pu levé, en son temps.

Valérie Pecresse, Ministre de l'Enseignement Supérieur, lache du lest et tente de désamorcer la crise, avec une enveloppe d'onze millions d'euros…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La division pour mieux régner, en interpellant les étudiants désireux de suivre leurs cours, une démarche sarkozienne teintée d'une mesquinerie politicienne, s'exclame une presse socialisante de bien mauvais aloi. Les dirigeants estudiantins ne peuvent prétendre ne pas politiser le mouvement  contestataire, cela serait faire injure à tout bon sens.

Le débat ne va pas dans la bonne direction. En voulant insinuer que l'Etat veut se désengager financièrement dans l'enseignement supérieur, alors qu'au fianl le problème majeur est tout autre. Le coté le plus pernicieux de cette loi, n'est-il pas tout simplement d'accroitre le …

… fossé, entre "facs cotées"…et les autres. L'autonomie budgétaire voulue par le gouvernement dessine l'université de demain, le mécenat ne se destinera pas qu'aux facs les plus prestigieuses mais représentra, une obole pour la connaissance, à condition de ne pas dévaloriser les facs les plus modestes, ce qui pourrait devenir tendancieux…

La presse ne fait qu'accentuer la tension, en dirigeant le débat à sa guise. Le savoir  devient l'otage des classes politiques, ressuscitant au passage le fantôme de mai 68…au grand dam de Nicolas Sarkozy. Le problème est bien plus profond, entre cette manière de gérer les crises, en tentant de diviser, est à la limite de provoquer des affrontements. Une ingérance pour mettre le feu aux campus, noyautés par des agitateurs, qui n'en demandaient pas tant. Valérie Pecresse suit le chemin du Président, qui dicte la conduite à suivre …

Un bordel ambiant, le syndrome de la France, se levant pour un oui, pour un non, devient pesant. Bruno Julliard se disant satisfait des premières mesures prises par Pecresse, et insistant déja sur une nouvelle mobilisation pour tenter d'obtenir d'autres aménagements, voir tout simplement de voir la loi Pecresse abrogée…291359846.jpg