Ma petite Valérie (je suis plus grande que vous) vous me gavez… non comme une oie – je ne suis pas une oie -, ni comme une dinde -je vous laisse le qualificatif, vous avez une belle chevelure qui planque vos rides à ravir… (Ne jamais se rater entre femmes, la rosserie est un délice quand on a affaire au genre "poupée").
Non mais… Première Dame de France ! Une fonction qui n’a jamais existé dans le protocole français, inventée par les bling – bling de droite. Et Madame a son bureau et son secrétariat et ses conseillers personnels à l’Elysée, auprès de son chéri. M. Hollande, je comprends pourquoi vous avez supprimé 30% de votre salaire et de celui de vos ministres : il fallait financer les nouvelles fonctions (???) de Valérie. Il y a un chef du Protocole à l’Elysée, si cela peut servir, j’ai le fascicule de TOUT le protocole de la République française (on doit le trouver sur internet), vous ne trouverez pas une ligne où on cite une "première dame". Chez les socialistes, cette dénommination est encore plus honteuse qu’avec la droite, dont on sait qu’elle méprise assez les femmes pour leur offrir quelques hochets qui les font rougir de plaisir…
Enfin ! Qu’attendre d’une journaliste à Paris Match (suis pas gentille, j’en connais au moins une qui est très bien) ?
"De quoi, François, MON Président à moi, l’homme que j’ai piqué à Ségolène, lui fait gentiment deux bises sur les joues ?" Que j’te l’attrape vite fait le François avec un comminatoire "embrasse-moi sur la bouche" et voilà notre premier président de notre République (ça ne s’est JAMAIS VU depuis que la République existe en France, de la dignité, Madame), qui se fait rouler un patin d’enfer par sa Val. Espérons que le photographe de Match était bien placé et qu’elle percevra sa prime… Et son commentaire, choisi sur Mme Roosevelt, le truc à peine appuyé…
Madame, avant d’aller jouer dans la cour des grands, il faut apprendre les codes. Ou on reste à la maison.
"50 ans et vivant enfin l’amour fou avec un Chef d’Etat" (collection Arlequin). Midinette, va !
Maintenant, la madame ne peut pas supporter Ségolène Royal. Evidemment, c’est une femme intelligente, qui n’a pas l’air de piquer des crises de nerfs, qui sait garder sa dignité, qui sait être une bonne politique.
Le mode : "j’te pique ton mec et je suis jalouse de toi, je veux t’enfoncer", il est connu. Il vient d’une femme peu sûre d’elle, pas vraiment à l’aise dans sa position et qui craint très fort de se faire virer amoureusement par "son François".
J’ai une proposition à faire pour qu’elle nous fiche la paix et qu’on la voie le moins souvent possible. M. le Pape en exercice la nomme "Chanoinesse en chef" du Latran (le petit fera une rage), avec mission de ce qu’on voudra – mais un titre bien ronflant – plutôt vers l’Afrique ou l’Amérique du Sud (mais là où ça chauffe ) accomplir ses devoirs de Première Chanoinesse du Monde. Voilà un titre moins mégoteur que "première dame de France". Laissons cela aux cambrousses américaines qui nous ont appris que, pour éviter les augmentations de salaire des employés, on les barde de titres divers. Ma femme de ménage est "technicien de surface", c’est, comme pour Valérie, quand même beaucoup plus chic.
Mais par pitié, que cette dame s’active à l’Elysée, avec un cabinet, s’il-vous-plaît (qui en est le premier bal. de ch.?), arrêtons cette mauvaise plaisanterie et renvoyons-la à ses activités habituelles.
Le bling-bling, Ma’ame Valérie, c’était sous l’ancien régime. Là où j’aurais tendance à la plaindre, c’est de s’imposer le coiffeur tous les matins. Mais ça doit lui permettre la bavasse à la Paris Match, espérons qu’elle n’ira pas jusqu’à jouer les agents de renseignement. A pas l’air très futée, la chérie de François. Sans doute le repose-t-elle de Ségolène, une tête bien faite, une éducation semble-t-il sans reproche. En tout cas, avec son tweet, la Valérie, non seulement elle l’a cassée à La Rochelle mais elle risque de se prendre de sacrés croche – pattes des petits du couple Hollande-Royal.
Etant enfant de "mal – divorcés" qui en a pris plein la poire, je peux donner de judicieux conseils aux enfants de divorcés, en la matière : cela me fait toujours plaisir…
Inutile de vous dire que je n’aime pas cette dame (pour plusieurs motifs), même si elle est le "repos du guerrier" de François car ce n’est pas Ségolène Royal qui aurait pu jouer ce rôle.
Par contre, politiquement, Ségolène est aussi une fine stratège (mais c’est fatiguant pour ces messieurs, les femmes qui pensent, une bonne gourde, c’est reposant).
Rompons là. Envoyons-la chez Benoît, qui la nommera chanoinesse en chef du Latran. N’en parlons plus .
D’ailleurs, il n’existe, depuis des décennies qu’une seule "première dame de France", vous vous en doutez. C’est moi, mais il ne faut pas le répéter… En protocole, je dois en savoir autant que la reine Elisabeth et mon omellette basquaise remporte un vif succès, sans parler de mon poulet "Vallée d’Auge"… (très économiques)
Exit Ma’ame Valérie, la Nation à besoin de faire des économies, pas d’entretenir des femmes qui se comportent en "cocottes jalouses"…
Ras le carafon. (J’vais le vider…)
Pour le reste, notre économie me flanque une peur bleue. Comment juguler cette horrible crise ?
Il faut, je pense, refonder l’économie sur le social, scinder les banques qui ont une double activité (banque de consommation privée et activités de finances pures), de façon à assainir ce marché : le consommateur n’a pas à payer les errances financières des banquiers, jusqu’ici remboursées, avec nos fafes, par les différents Etats).
Il sera peut-être plus sain, plus "normalisateur", que les Etats en grande difficulté (bientôt nous) se déclarent en faillite ou bien refusent, comme ce fut le cas dans certains pays d’Amérique Latine il y a bien longtemps, de continuer à payer leurs dettes, moult fois remboursées au fil du service de l’intéret de la dette nationale. Je pencherais pour la filouterie : "vous avez assez de fric comme cela, les gouvernements passent leur temps à injecter du fric chez vous pour éviter que vous vous cassiez la figure (combien va coûter Dexia aux nations partenaires ?), alors nous fermons les robinets, on ne "trade" plus".
Quelque chose m’indigne, aussi. L’Espagne étant considérée à "hauts risques" (j’t’en ficherais des agences de notation…), peut encore emprunter, mais à plus de 6%. Nous devons encore pouvoir le faire à 3, mais cela ne durera pas.
– "T’as pas de fric ? = taux élevé". Comme, de toute façon, les gouvernements – les autres si nécessaire – paieront nos factures, autant faire une grimpette, n’est-ce pas les banquiers ?. Cela me fait penser aux "crédits à la consommation" des particuliers. A un moment, ils sont aculés et doivent, soit disparaître, soit accepter le rachat de leurs dettes par des boîtes … de vrais usuriers.
J’ai toujours eu un assez grand mépris pour ces "gens-là". Au point que, si je pouvais vivre en autarcie, je le ferais. Je les ai bien connus, je les ai entendu discuter, me faisant petite souris, gourde de service pour en savoir un peu plus. Aujourd’hui, ils tiennent le haut du pavé, ayant eu affaire à des gouvernements très conciliants (avec nos sous…)
Une bonne petite nationalisation devrait pouvoir remettre un peu d’ordre.
Les entreprises "délocalisées" ? Allez, hop, un bon pourcentage de leur C.A. à payer au fisc français, puisqu’ils pratiquent les très bas salaires, évitent les charges sociales et l’impôt. Ce sont des méthodes de voyous, de voleurs. Madoff est vraiment un tout petit garçon.
Je vous incite (fortement) à surveiller votre banque. A demander, d’un ton mielleux, le remboursement (ou extourne) de vos frais et agios. Vous verrez, ils s’y font très bien : mais n’ayez pas de découvert, c’est plus difficile.
Pour un crédit très largement garanti, ils m’ont fait monter un giga dossier et il a fallu attendre trois mois (d’ailleurs, trois ans plus tard, on l’attend toujours, la réponse !)
Alors, je leur ai montré qu’on peut se passer d’eux. En contre partie, ils n’ont jamais vu un bilan. Après tout, s’ils en veulent une copie, il y a le greffe du Tribunal de commerce, non ? Ah, bah, oui, c’est payant…
[url]http://www.come4news.com/miroir-,-mon-beau-miroir-411486[/url]
[b]…lorsqu’une femme se regarde devant son miroir …[/b]
Zelectron,
« quand une femme se regarde dans son miroir », et ?
[b]J’évoquais valériane (cf Sacha Guitry)[/b]
[b]Excellent article chère Gribouille au demeurant.[/b]
Zelectron,
C’est faute de la culture générale : z’avais pas compris. Ze connais pas Valériane. Ze vais chercher dans la boutique de mon kindle (ma liseuse, c’est super ce truc) et vaizs voir s’ils l’ont en magasin. Merci Monsieur Z’electron !
bonsoir,c’est de vous cet article ou vous êtes inspirée?
Mozarine,
Il y a longtemps que je « ne pompe plus »… Je suis toujours ‘inspirée » mais c’est pas la « faute à un dieu » (pauvre type !), c’est seulement que je suis une acharnée de la lecture tous z’azimuts… je dévore la littérature, la philo, l’histoire, l’art, l’économie et la finance depuis qu’ils ont juré de nous rendre obèses de mal-bouffe pour faire leur « gras ». j’essaie de tenir mon rang de « révoltée » permanente, un peu « anar » sur les bords en assénant la compréhension de ce que j’ai lu, en la ressortant aux spécialistes qui, parfois, me demandent jusqu’où je suis allée dans mes études, ces butors, à qui je réponds souvent : « je n’ai pas passé mon certificat d’études, comme Maunoury. J’allais oublier que j’en remontre à certains avocats et compulse, toutes miirettes bien ouvertes, « legifrance.fr » et ses merveilleux codes, histoire de pouvoir aussi dire à un avocat ou un juge qu’on « peut regarder ça, aussi, comme cela ». J’ai un culot « de commissaire » et quand je ne sais pas, j’apprends… Ma chère Maman n’hésitait pas à nous rappeler que nous avions les meilleurs dictionnaires à disposition et se saignait « aux quatre veines » pour ne pas nous entendre dire : « je n’ai pas trouvé le livre ». Deux jours plus tard, il était sur le bureau du chougneur.
Non, Mozarine, ce fatras est de moi… Et ce n’est pas forcément une gloire, parce que c’est écrit d’un jet, sans construction. Mauvais, ça…
et bien bravo alors Gribouille!Bel article!
[b]SUPER, du pur Gribouille, et J’ADORE, quand les circonstances me le permettront, je reviendrai.
Bises Gribouille !![/b]