La réforme de l'université fait grincer bien des dents. L'accés aux études n'est nullement remis en question. Il est tout à fait logique d'imposer une sélection drastique …
L'université ne doit pas représenter l'obtention d'un certain statut. Les filières surchargées …
Les contribuables ne peuvent tolérer pareille situation. L'accés au savoir doit se mériter. Des étudiants compétents et motivés doivent prendre place dans les amphithéâtres. Le temps des glandeurs de passage à la simple obtention d'un certain statut est révolu.
La sélection doit être drastique. Un suivi de l'étudiant doit exister avec des évaluations, public ou professionnel, en cours de cursus. L'étudiant médiocre doit être placé en face de ses responsabilités. La fin de cycle s'annonçant improbable et mettant l'étudiant dans une situation de non sens.
Un partenariat entre l'université et l'entreprise doit s'imposer. Découlant sur un suivi professionnel des périodes de stage, des échanges … L'université doit aller de l'avant et remettre aux centres de ses préoccupations son objectif initial : transmettre le savoir.
Certains parlent d'élitisme …On ne peut continuer à glorifier l'incompétence. La poursuite des études doit être un aboutissement. Pas un passe droit à se croire nanti d'un certain statut alors qu'on fréquente plus assidument la "cafet", que les salles de cours.
L'orientation, l'égrenange, le suivi … Des partenariats efficaces donnant l'accés au monde professionnel ou l'on peut valider ses compétences … La privatisation est la solution en évitant de tomber dans le piége du sectarisme …
