Une toubab à Dakar : un petit bout de femme plus qu’intéressant.

  Aujourd’hui, c’est d’une chronique que j’ai découvert par hasard dont je viens vous parler. " une toubab à Dakar " voici l’intitulé de son blog. Allons voir un peu de plus près…

  Alors que je m’ennuyais ( je suis actuellement en période de révision de mes partiels mais la motivation s’avère difficile à trouver ), c’est en naviguant par hasard ça et là que je suis tombée sur une chronique particulièrement intéressante.

 Attirée par tout ce qui a trait au continent Africain, j’y ai trouvé une approche féminine et franche qui m’a beaucoup plu.

Laissez moi d’abord vous parler de son histoire… 

 

Âgée d’une trentaine d’année, Aleyna est maman de deux enfants métis issus de son mariage avec son prince charmant, comme elle le désigne, sénégalais.

Profondément africaine dans l’âme, elle a alors décidé de franchir le pas et d’aller s’installer avec toute sa petite famille sur la terre natale de son mari. 

Lucide et franche, elle décrit au long de ses articles son aventure mais également ses craintes, ses constatations, son point de vue.

De manière humoristique mais toutefois juste, elle nous fait part de son ressenti en tant que femme "blanche" dans un pays de "noirs" (N’y voyez ici aucune espèce de racisme), c’est d’ailleurs ce qu’indique l’intitulé de son site. Toubab signifiant personne de race blanche, européenne, occidentale. 

 

Un récit plein de vie et très agréable à lire qui mérite donc un grand intérêt !

 

En attendant, je vous ai concocté une petite mise en bouche, quelques extraits :

 

 "Au fin fond de ma Lorraine ou dans la banlieue de Dakar, notre couple n’est donc pas crédible malgré un mariage et bientôt trois enfants."


"Cette fois ci c’est différent, j’ai trouvé mon ton, ma façon d’écrire, je m’éclate, oscillant entre humour et sarcasme, parfois çà plait et je vois les stats de mon blog exploser et là je suis fière comme un paon, j’écris trois article à la suite, d’autre fois c’est le flop total et là je t’avoue que j’ai envie de tout abandonner."


" Nous sommes arrivés au Sénégal avec notre petit Surimi qui venait tout juste de fêter sa première demi-année ."