Quand on parle d’anthrax, de gaz sarin, on est tout de suite parcouru par un frisson dans le dos.

On pense immédiatement aux dégâts que peuvent provoquer ces substances et la facilité apparente qu’ont certains terroristes à se les procurer, puis à les utiliser à des fins meurtrières.

Sachez qu’une découverte récente faite par des scientifiques, pourrait bien faire trembler l’humanité.

Ils viennent de mettre à jour l’existence d’une nouvelle toxine, qui serait la plus mortelle jamais rencontrée sur notre planète.

Elle est produite par la "Clostridium botulinum", une bactérie responsable du Botulisme.

(la cause la plus connue bien que rare du Botulisme étant alimentaire)

 

En fait, les savants connaissaient déjà bien la toxine botulique et s’étaient immédiatement employés à produire des anti-toxines, afin de parer à toute éventualité.

Mais ils n’avaient répertorié que 7 types différents de cette toxine, alors qu’une huitième existe et résisterait pour l’instant à tout contrepoison.

Toutefois, ce qu’ils affirment, c’est que cette dernière est par exemple 40 millions de fois plus toxique que le cyanure et qu’il suffirait à un homme d’en inhaler 13 milliardièmes, ou encore de subir une injection de deux milliardièmes, pour mourir dans les minutes qui suivraient.

 

Vous comprendrez alors aisément que les noms des scientifiques, du laboratoire, ainsi que les particularités entourant la découverte de cette substance tueuse, soient tenus secrets, dans un souci évident de santé publique.

La seule chose qui a été divulguée, est le processus mortel de la bactérie (baptisée type H), qui une fois présente dans le corps humain bloquerait les réactions chimiques activant les terminaisons nerveuses, provoquant le "botulisme" et la paralysie totale de la personne infectée.

 

Les scientifiques ont donc à juste titre décidé de censurer ce que l’on appelle le "patrimoine génétique" de la bactérie, jusqu’à ce que la "séquence génétique" soit isolée et une contre-toxine mise au point et opérationnelle.

 

Quand on pense qu’il suffirait d’une indiscrétion, d’une fuite, pour que quelques terroristes parviennent à synthétiser la bactérie et s’en servent contre les populations, on ne peut qu’être effrayé et espérer que le secret soit bien gardé jusqu’à nouvel ordre.