BELTRAN et DUENAS, deux cyclistes espagnols…
L'affaire Puerto, secouant l'Espagne, torturant une bonne partie du peloton. Du cyclisme au football, en passant par le tennis, le paysage sportif espagnol semble plomber et continue d'alimenter la chronique. Le refus d'instruire cette affaire, faute de législation à l'époque (..).
ESPANA.ESPANA !!Après MANUEL BELTRAN (LIQUIGAS), contrôlé positif lors de la première étape, un second coureur cycliste s’est fait attraper par la patrouille. Encore un espagnol à l’honneur. MOISES DUENAS (BARLOWORLD), contrôlé positif lors de la quatrième étape, le contre la montre de Cholet. Les deux cyclistes ont utilisé le même produit, à savoir de l’EPO exogène. Pour mieux comprendre les subtilités de l’EPO, voici un lien qui vous expliquera l’essentiel :http://pagesperso.orange.fr/dopage.tpe/epo2.htm
L’efficacité des contrôles antidopage ne laisse guère de marge aux tricheurs. Mais une constante s’instaure, l’ESPAGNE n’a retiré aucune leçon de l’affaire Puerto. Il est vrai que le magistrat SERRANO, en classant sans suite cette affaire, le dopage n’étant pas considéré comme un délit à l’époque des faits en Espagne (..). Pour mieux comprendre les dérives du cyclisme, un lien fort complet et édifiant sur toutes les dernières affaires secouant le peloton ;http://www.cyclisme-dopage.com/Un véritable dopage organisé, dont les ramifications touchaient d’autres sports, en particulier le football et le tennis. A ce titre le quotidien « LE MONDE » avait dénoncé plusieurs clubs espagnols : LE REAL DE MADRID, LE FC BARCELONE, LE FC SEVILLE et le FC VALENCE. Des déclarations soulevant une colère indignée chez nos voisin ibères, se retrouvant sur le banc des accusés (..).
Le tennis espagnol étant secoué également dans ce sulfureux dossier, qui malheureusement terminera dans les oubliettes de l’Histoire sportive. Un petit lien instructif pour parfaire cet article :http://www.cahiersdufootball.net/article.php?id=2341L’argent a-t-il était un facteur déterminant dans cette volonté de classer cette affaire sans suite ?Bien évidemment que l’argent est le moteur de ces dérives. La puissance de ces clubs n’est plus à démontrer, de la a y voir cause à effet. A la fin des années 90, la JUVENTUS de TURIN tombe en plein cœur du scandale, la créatine à l’ordre du jour, autre article édifiant sur les dérives pharmaceutiques :http://www.cahiersdufootball.net/article.php?id=1270On pourrait continuer à épiloguer longtemps sur le dopage.
Les athlètes risquent leurs vies pour un instant de gloire, une médaille. A ce titre le quotidien LE MONDE a publié un article révélateur sur les conséquences du dopage. Les nombreux décès que l’on peut imputer à des prises de produits dopants, et les années à venir risquent bien de délivrer bien des chroniques nécrologiques, un petit lien édifiant sur ces conséquences ;http://www.lemonde.fr/sports/article/2006/09/29/dopage-le-danger-de-mort_818227_3242.html
Les sports
Bien vue Michel une fois de plus vous avez mis l’accent sur un problème de notre société
Moi j’en es fait des kilomètres pour voir les coureurs dans le temps mais ses dernière
années je ne les regardes même plus a la télé ,le « Sport chimique » ne m’intéresse pas du
tout. Les règlementations ne sont même pas Européenne et l’argent tue tout les sports. >:(
le tour du renouveau!
Tour de France: l’Italien Riccardo Ricco positif à l’EPO
Reuters
Le grimpeur italien Riccardo Ricco a été contrôlé positif à l’EPO lors de la quatrième étape du Tour de France, annonce l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).
Les gendarmes sont venus chercher le coureur de la Saunier Duval dans le bus de son équipe. Ricco a quitté le Tour dans une voiture de son équipe espagnole, escortée par des gendarmes à pied, sous les huées du public présent au départ de la 12e étape à Lavelanet.
« Il a été contrôlé positif pour le même produit que les deux coureurs précédents », a déclaré Pierre Bordry, président de l’AFLD, à Reuters.
Avant Ricco, les Espagnols Manuel Beltran et Moises Dueñas Nevado ont été contrôlés positifs à l’EPO depuis le départ du Tour à Brest.
Ricco a subi son contrôle lors de la quatrième étape mardi 8 juillet, un contre-la-montre autour de Cholet.
Deux jours plus tard, le grimpeur italien a remporté l’étape arrivée à Super-Besse. Il s’est encore imposé dimanche à Bagnères-de-Bigorre après un départ fulgurant dans le col d’Aspin.
Il occupait la neuvième place du classement général, à 2’29 du maillot jaune Cadel Evans.
Le coureur de 24 ans, admirateur de Marco Pantani, a pris la deuxième place du dernier Giro.
« Cela prouve encore une fois que le système marche. Il n’y pas de grands ou de petits coureurs », a réagi le directeur de course du Tour de France, Jean-François Pescheux.
Avec Julien Prétot, Gilles Le Roc’h et Clément Guillou
Libertus
et au Tricastin , rien de nouveau …on attend toujours les gendarmes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
les gendarmes et les 40 voleurs !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Les organisateurs du tour ont sans doute commis quelques erreurs, mais on ne peut reprocher tout les errances actuelles..
au giro pas de cyclistes dopés !! Je doute que les contrôles soient de même nature qu’en France, tout comme la Vuelta.
Michel