« Night Bus »: le nom d’une nouvelle émissionTV en Algérie

 Une nouvelle émission va bientôt voir le jour en Algérie.

Night Bus est le nom d’un programme télévisé.

Donc comme nous venons de l’apprendre, Night Bus est un tout nouveau concept que le producteur Abdelkrim Sekkar à décidé de produire.

Abdelkrim Sekkar est un producteur algérien qui réside en Angleterre. Et, il y produit des programmes télé pour des chaînes anglaises.

Et donc, inspiré de la fameuse ligne "N" londonienne ( bus de nuit 22h-4h), voilà qu’il lance ce nouveau concept en Algérie.

Alors, cette émission commencera sa diffusion à partir du mois d’octobre sur les chaînes de l’Etablissement public de télévisions (EPTV).

Ce sera une émission d’un tout nouveau genre, vu que cette émission sera entièrement tournée dans un bus de l’établissement public de transport urbain d’Alger. Et ce bus sera tout ordinaire, comme n’importe quel autre bus.

Cependant, à l’intérieur de celui-ci tout a été ré aménagé et re décoré. Le tout dans une ambiance à la fois chaleureuse et cosy.

Alors il y aura des tentures aux vitres, un revêtement sur les sièges en tissus avec des couleurs vives et le sol en moquette. Afin que tout ce nouveau concept soit très chaleureux.

Abdelkrim Sekkar présentera l’émission dans ce bus chaque nuit. Et le bus sillonnera les rues et les quartiers mythiques de la ville.

Ce sera des émissions de 30 minutes, et le bus arpentera les rues de trois grandes villes d’Algérie tel que Constantine, Oran et Alger.

Ensuite à bord seront invités des personnes de différents horizons, tels que des musiciens, des comédiens et ainsi ceux- ci pourront y partager leurs expériences…

Ce sera une émission hebdomadaire et celle-ci sera bien diffusé sur les chaînes de l’EPTv:A3 la terrestre et Canal Algérie dès fin octobre 2013.

 

Un pénis à l’antenne pour évoquer le trafic routier!

 

                        

Information sans nul doute qui fera prochainement le tour de la toile et de tous les bêtisiers télévisés de fin d’année. Animer une rubrique météo ou info trafic n’est pas toujours très drôle, mais parfois, et bien malgré nos présentateurs, il arrive que la situation dérape, comme ce fut le cas ces derniers jours pour Siobhan Riley. La preuve en images..

 

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Jeux TV : Qui veut gagner… un bébé? Et la morale dans tout cela?

                    

 

Après « Qui veut gagner mon rein? », ou « Qui veut gagner une expulsion vers son pays d’origine? », une nouvelle forme de dotation télévisée à fait son apparition ces derniers jours, à savoir, « Qui veut gagner…un bébé? ». Explications d’une surenchère médiatique et télévisée ayant largement dépassée le cadre du jeu, de l’éthique, et surtout de la morale.

 

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L’urine en passe de remplacer l’électricité?

 

                         

 

Si l’on vous disait qu’un jour prochain, votre urine serait capable d’alimenter à elle seule votre foyer, et ainsi de faire fonctionner vos appareils ménagers, seriez-vous sceptique? Si l’on vous disait, que très prochainement, vous pourriez recharger votre mobile et le faire fonctionner grâce à votre urine, faire fonctionner votre ordinateur, votre frigo, etc, qu’en penseriez-vous? Aujourd’hui, bien que cela prête à sourire, cette nouvelle source énergétique est en cours de développement, et serait même plus efficace encore que l’électricité que vous utilisez chaque jour. Toujours hésitant? Attendez de lire la suite…

 

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Jean-Pierre Pernaut est-il journaliste ?

 On peut se poser la question quand on voit sa façon très personnelle de traiter, j’allais dire malmener, l’information. Il s’est encore illustré dernièrement, en toute impunité d’ailleurs. Dame, il a ses inconditionnels : ma mère dont la conscience politique est proche de zéro le regarde tous les jours. On peut facilement placer sur l’échiquier politique les admirateurs et les détracteurs de JPP. L’UMP s’empresse d’ailleurs souvent de relayer ses propos et c’est encore le cas cette fois-ci.

« Il ne fait pas bon être hostile au mariage homosexuel" s’exclame-t-il en commentaire de la condamnation à de la prison ferme pour un manifestant prénommé Nicolas, présenté comme un prisonnier politique, rien de moins. Monsieur Pernaut se permet de critiquer une décision de justice. Est-ce bien le rôle d’un présentateur du 13 heures ? On est en plein poujadisme et ce n’est pas fini puisqu’il fait la liaison de cette affaire avec les ennuis actuels de Frigide Barjot qui selon lui va être « expulsée du logement qu’elle louait depuis une trentaine d’années ». Eh oui, présenté comme ça, on trouve que c’est bien injuste et que l’on fait subir à cette pauvre dame une répression inique à cause de son engagement contre la loi Taubira. Résumons la pensée de Jean-Pierre Pernaut : l’état s’acharne sur les opposants au mariage pour tous et monsieur Hollande est un dictateur !

 Dans les deux cas, monsieur Pernaut n’a pas regardé plus loin que le bout de son nez et asséné des contre vérités comme cela lui arrive souvent. Je ne m’étendrai pas sur les deux cas cités ci-dessus, ils sont abondamment commentés et expliqués dans la presse. Evidemment, le fameux Nicolas méritait d’être condamné et évidemment Frigide Barjot transgressait la loi dans son appartement qu’elle sous-louait à sa propre société. On peut lire une bonne explication dans arrêt sur images de l’excellent Daniel Schneidermann, un vrai journaliste, lui. 

 

 

Disparition de la télévision publique en Grèce

C’est une incroyable nouvelle qui fait grand bruit en Europe et plus précisément en Grèce où le gouvernement a pris la décision pure et simple de mettre un terme au service public de l’audiovisuel. Il faut comprendre dans cette information qu’il s’agit d’un drame pour la télévision grecque puisque c’était comme si, en France, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault décidait de supprimer tous les programmes de France Télévisions que ce soit France 2, France 3, France 4, France Ô ou encore France 5. En Grèce, par mesure d’économie, le gouvernement met donc fin au service public qui emploie pourtant près de 3000 salariés.

 

Le choix économique du gouvernement laisse donc de nombreux salariés sous le choc en arrêtant immédiatement tous les programmes des 3 chaînes de la télévision publique ERT ainsi que la radio publique du pays. Pour expliquer son choix, le gouvernement grec indique que les médias sont mal gérés et que les dépenses sont bien trop élevées. L’arrêt de l’audiovisuel public grec devrait ainsi permettre au gouvernement grec de récupérer un peu d’argent en cette grave période d’austérité.

 

Alors comment s’est produit cet arrêt ? Ce mardi soir, les téléspectateurs qui étaient branchés sur l’une des chaînes du service public ont pu assisté à la clôture des programmes qui s’est d’ailleurs faite en plein talk-show. Juste avant cette interruption, une présentatrice anticipe la coupure en indiquant que c’est du direct puis à la place du talk-show est alors apparu un écran noir indiquant que le signal était interrompu. Une interruption qui arrive après que la police ait neutralisé le principal émetteur situé près d’Athènes.

 

Face à cette décision qui vient toucher leurs emplois, de nombreux salariés ont manifesté leur mécontentement dans la soirée de mardi allant jusqu’à brûler un drapeau européen. De leur côté, les chaînes privées en Grèce ont décidé de soutenir le service public grec qui ne s’attendait pas à une nouvelle aussi soudaine et brusque.

 

L’Union Européenne de radio et de télévision a demandé au gouvernement grec de renoncer à cette mesure mais pour l’instant cette demande reste sans réponse. Une toute nouvelle structure audiovisuelle devrait toutefois faire son arrivée avec cette fois-ci une meilleure gestion, les anciens salariés du service public ERT pourront postuler mais il semble évident que le nombre de places disponibles sera restreint.

Ecrans…

(à la manière de JM…)

Mal nommer les choses, c’est ajouter aux malheurs du monde.

L’actualité nous apporte son lot quasi quotidien d’actes déviants commis autrefois presqu’exclusivement aux Etats-Unis, mais dont l’épicentre se rapproche désormais de plus en plus ; violences aveugles, crimes « gratuits » perpétrés au hasard, parfois par des mineurs sur d’autres mineurs. Et la presse de s’interroger, en nous interrogeant sur les dessous révélés par ces folles « évolutions » des tendances.

 

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Koh Lanta : Chronique d’une tragédie

 Je n’ai jamais été un grand fan des émissions de téléréalité mais je dois bien reconnaître que Koh Landa demeurait un cas à part que j’affectionnais tout particulièrement. Loin des déclarations lamentables (la guerre mondiale de 1978 selon Nabila et le fameux allo !  Non mais allo quoi ?) et du quotient-intellectuel proche de zéro de certaines candidats d’émissions d’enfermement tel que les anges de la réalité ou Secret Story, force est de constater que je considérais Koh Lanta, non pas comme une énième variation de la téléréalité mais comme une véritable invitation au voyage et au dépaysement. Je ne reviendrai pas forcément sur les sombres détails qui ont, ces derniers jours, porté un coup d’arrêt sans doute définitif à cette émission que je considérais comme de grande qualité.

L’objet de mon article n’est pas tant de répertorier l’ensemble des questions que chacun se pose sur les raisons de la mort du jeune candidat et sa conséquence dramatique, à savoir le suicide du médecin de l’émission. Non, ce qui m’intéresse de savoir vraiment est la façon dont va être géré l’après Koh-Lanta. Avec The Voice et Danse avec les Stars, TF1 tenait incontestablement avec Koh Lanta l’un de ses programmes phare.

Depuis plus de dix ans, chaque année voyait arriver une nouvelle saison avec des destinations toujours plus exotiques et avec des défis toujours plus fous. Le succès ne s’est jamais démenti et pas à un seul moment l’émission n’a connu de baisse de régime.

Ce qui me fait le plus peur dans cette affaire est la décision que prendront certaines autorités médiatiques suite à cette affaire. Le principe de précaution est, selon moi, une véritable plaie en France, car, si je le comprend tout à fait et le juge même indispensable, je trouve que son emploi excessif et démesuré en France est un formidable casseur de créativité, de prise de risque, d’innovation, d’initiatives.

J’apprécie de voir, chaque vendredi, une émission montrant des candidats qui en bavent, qui allaient au-delà de leurs limites. Etait-il plus enthousiasmant de voir des personnes sans cervelle se prélasser autour d’une piscine à ne rien faire autrement que de nous exposer leur inculture et leur bêtise ? (vous voyez à quelle émission je fais référence) Je ne pense pas.

Outre le fait d’être une émission de télé réalité d’un genre nouveau, j’apprécie et fédérais totalement aux valeurs véhiculées par l’émission, à savoir le don de soi, le dépassement de ses limites, la résistance dans l’adversité, la stratégie,… autant de qualités dont les jeunes gens actuels devraient s’imprégner pour traverser le remous politique, économique et sociale que nous vivons depuis maintenant plusieurs années. Koh Lanta ne reviendra pas, plus jamais.

Adieu les conseils, adieu les épreuves fatidiques, adieu les pleurs, adieu les cris de victoire,…

Après C’est pas sorcier sur France 3, il s’agit là d’un deuxième programme que j’affectionne qui disparaît tragiquement des grilles de télévision. Il ne reste plus grand-chose maintenant. Je vais sans doute me remettre à lire….

Les programmes courts de la télé : une tendance à la réussite inégale

 C’est une habitude télévisuelle établie depuis maintenant de nombreuses années, les fameux programmes courts précédents les journaux télévisés ou les programmes de première partie de soirée. Il faut dire que désormais, chaque chaîne dispose de son propre programme court. Parmi ceux qui marchent le mieux actuellement, nous pouvons notamment citer nos chers voisins sur TF1, plus belle la vie sur France 3 ou encore Scène de ménage sur M6.

Que penser de ces programmes ? Au risque de choquer certains de ceux qui liront cet article, je les trouve d’une qualité très inégale.

Certes, on ne demande pas à ce type de programmes de nous faire réfléchir mais je trouve qu’ils mériteraient à prendre plus de risque, à frôler le politiquement incorrect. Je trouve tout cela tellement lisse, tellement sans saveur.

Je retrouve quelque fois cette petite folie qui me plait tant et des petites tentatives à verser dans le trash quelque fois dans scène de ménage, notamment avec le couple que forment Raymond et Uguette. Mais hélas, cela est trop rare.

La série qui a clairement fait explosée les programmes courts est sans conteste Un gars et une fille où Jean Dujardin et Alexandra Lamy nous faisaient rire chaque jour de part leurs mésaventures. J’appréciais beaucoup cette série qui me renvoyait à la vie de couple que nous vivons tous plus ou moins.

Il faut croire que les scénaristes et les producteurs des séries actuelles sont assez fainéants. D’un épisode à l’autre, quand je tombe dessus par hasard, je retrouve souvent les mêmes mécanismes humoristiques, pas toujours très inspirés.

En écrivant cet article, il me revient également une autre mini-série des plus réussies, à savoir Kameloot, sur M6 qui a, durant quelques années égayé mes débuts de soirée. Tout juste puis-je reprocher à cette série, vers les dernières saisons de s’être un peu égaré et d’avoir perdu son côté humoristique pour plus privilégier le coté dramatique. Pas le meilleur choix pour ma part mais cela reste néanmoins une très bonne série.

Vous l’aurez compris, je n’aime pas les programmes tièdes et sans saveur. J’aime les prises de risque et les programmes n’ayant pas peur de choquer ou d’offusquer la ménagère de 50 ans.

Aussi, je dois bien reconnaître que CANAL + conserve son esprit si particulier en maintenant une impertinence jusque dans ses programmes courts. Qu’il s’agisse de ceux présents dans le grand journal ou dans le cadre de l’émission le supplément le week-end, j’aime l’aspect acide et volontairement incorrect de ces programmes.

Certes, pour les français n’appréciant pas de sortir des conventions établies, mes chers voisins, avec son quotas de blagues dignes de Carambar et son ambiance très parisienne, il n’est pas étonnant que la série cartonne et qu’une nouvelle saison est d’ores et déjà programmée.

J’aurai peut être du devenir scénariste. Pas sûr que j’aurai réussi à faire pire que ces gens grassement payés pour nous devenir du surgelé télévisuel sans goût.