Les 10 recettes les plus prisées par les petits et les grands

Voilà une liste de 10 recettes prisées par les petits et les grands. Vous pourrez les présenter à l’occasion d’un goûter, d’un apéro, ou tout simplement quand vous avez de la visite. Et puisque c’est aussi pour les petits, à l’anniversaire de votre bambin, lequel sera l’occasion justement de faire apprécier ces recettes et par là même vos talents culinaires.

 

 

 

 

 

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UMP : la fin des haricots, sans Premier cercle pour compenser ?

Le Conseil constitutionnel va priver l’UMP de près de dix millions d’euros de remboursement des frais de la campagne présidentielle. Coup dur pour une formation grevée par un siège luxueux, et des frais d’organisations de primaires aux résultats, pour certaines et certains en son sein, suspects. Sans compter qu’avec Woerth et de Maistre renvoyés en correctionnelle, les donateurs des divers « cercles » et partis faisant office de filiales ne vont pas trop se bousculer. Mais puisque Sarkozy démissionne du Conseil constitutionnel pour sauver la démocratie menacée, tous les espoirs sont, c’est sûr, de nouveau permis.

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Mon assiette en photo

 Mon assiette se transforme en photo : une étrange mutation pour la nourriture qui a tendance à fleurir sur les réseaux sociaux ?

Les passionnés de plus en plus nombreux d’Instagram ne peuvent pas s’empêcher de publier des photos de tous les plats qu’ils mangent. La question reste posée :  seraient-il des obsédés compulsifs de la nourriture ? Et puis, ont-ils tendance à prendre plus de poids que les autres ? Pourquoi pas, après-tout ! La preuve, quelques médecins n’hésitent plus à donner l’alerte.  

Le succès populaire des réseaux sociaux a changé les habitudes des internautes. Depuis quelques années déjà, une tendance nouvelle débarque chez les amoureux de la nourriture : les clichés d’aliments, cette obsession de publier une photo de son assiette plusieurs fois par jour sur Facebook, Pinterest, twitter ou Instagram. Sur le site du Huffington Post américain, on parle de foodstagramming. Il faut dire que la situation semble avoir pris de l’ampleur sur le réseau de partage d’images.

Une passion qui vire parfois à l’obsession :

Néanmoins, cette amusante idée ne serait pas sans conséquences, si l’on en croit le Dr Valérie Taylor, chef de psychiatrie au sein de l’Hôpital Universitaire de Toronto, qui avance que le fait de communiquer en permanence sur ses repas pouvait être le signe de problèmes nutritionnels. Elle s’explique dans les colonnes du Huffington Post : « Je vois des patients pour lesquels le rapport à la nourriture est devenu problématique, et ils luttent pour s’en sortir et pour ne pas faire de la nourriture l’élément central de leur vie sociale : ce qu’ils mangent, quand ils mangent, quand ils vont manger la prochaine fois…» Ainsi le Dr Taylor estime que dans certains cas, partager des photos de nourriture sur les réseaux sociaux peut virer à l’obsession et à l’exclusion de tout le reste. « Le problème c’est lorsque ils finissent par ne faire que ça », dit-elle. « Nous prenons des photos des choses et des êtres qui sont importants pour nous, et pour certaines personnes, la nourriture elle-même devient centrale et le reste, comme le lieu, la compagnie et le reste, devient secondaire ».

 

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Le soleil donne… de la couleur à nos assiettes et à nos joues !

Ca y est les amis ! Nous avons fait un premier pas (certes timide mais tout de même) dans la belle saison. Si un vilain bruit selon lequel la pluie va revenir faire goutteler nos yeux rampe sournoisement du côté de nos tympans, écoutez vos estomacs, mesdames et messieurs !

 

Bannis, le fromage à raclette, et le Mont d’or, chauffé au four avec son puits de vin blanc, ses pommes de terre à l’eau et son jambon cru finement coupé… Balayée cette choucroute qui disgraciait les hanches !! Non pas que je chou soit le coupable dans l’histoire, c’est son accompagnement gargantuesque de saucisses, lard, lardons, saucissons, et autres parties savoureuses de cette bestiole rose à la queue en forme d’ouvre bouteille …de vin… ce qui ne rassure pas notre silhouette qui nous cause du tort !

 

La choucroute de poisson est excellente aussi, mais si l’on aime le goût, et la diversité, on doit y mettre le prix… Et le porte feuilles s’est mis au régime bien avant que nos neurones ne nous intiment de le faire pour notre esthétisme.

 

Chez E. L., (ma deuxième maison), sans faire de pub aucune, les promos qui sortent en ce moment concernent essentiellement les produits de beauté, les pantys minceur, les phyto-bronzants et autres crèmes sensées nous prévenir des effets néfastes du soleil.

 

Le retour du soleil ce n’est pas seulement le come back de nos illusions, de ces refrains que nous martèlent les marques en nous promettant des effets miraculeux en peu de temps. D’ailleurs… Pourquoi vendre des pilules facilitant le bronzage au mois d’Avril ? Pourquoi commencer un régime au mois d’Avril si l’on a pris quatre semaines en Aout ?

 

Le secret, c’est…Le plaisir !!! Ecouter ses envies , après tout, nous vivons avec le soleil, il nous faut de la couleur dans les assiettes pour avoir envie de manger des choses saines.

 

Faites un tour sur les marchés et sur des sites comme 750 g par exemple… Du rouge, du orange, du vert, du jaune, du violacé, on veut de la fraicheur à travers les couleurs chaudes !!!

Une salade toute simple, à base de tomates (attention à ne pas les prendre n’importe où), de persil, une pointe d’ail, un peu de menthe et de fenouil haché, c’est uniquement merveilleux. Un zeste de citron vert ou de vinaigre balsa (blanc ou classique) et c’est une douce symphonie qui éclate en bouche. Un mélange de carrotes, toujours râpées,de chou rave , et de céleri vert vous rétablira le transit!!!

 

Ouvrez une boite de lentilles, ajoutez-y des lardons sués sans matière grasse , une échalotte et une belle tomate ou des tomates séchées…. Un beau tableau, et des papilles bienheureuses…

 

Du thon, des maquereaux, du crabe (le mieux c’est de les faire cuire soi même au grill, comme une bonne côte de boeuf ou encore du porc ou du poulet, marinés dans du citron, des herbes de provence, sauce soja et toute herbe que vous aimez), du surimi, des caviars de légumes , toastés, des planchas… Ca donne envie…

 

Le doux chant de la sardine qui grille est un ramage assimilé  à ceux des sirènes!!!

 

Quant aux desserts!!! Melons, pastèques (ok, faut être patients!), fraises, myrtilles, mures, cassis,  menthe citron, mangue, ananas victoria, …Le même délice visuel que celui ressenti à la vue d’un bouquet de lys!!!

 

Ca y est , les artistes, nous y sommes!!!! Aux lames citoyens!!! les brocolis, choux verrts cuisinés en pintade, les soupes faites avec de la tomate qui a enfin un arrière goût de vacances, les framboises et groseilles sentant l’enfance, la senteur infernale de la mara des bois qui vous projette à cette époque où, pas plus haut que trois tomates, vous vous baissiez pour ramasser les fraises sauvages (qui n’ont jamais mordu personne!)

Osez, artistes en herbe, les pissenlis en salade, allez glanner les petites pommes de terre si gouteuses, les pêches , abricots, nectarines vont désoiffer nos corps et essorer nos coeurs , barriques de pluie et de tourments!!!

 

¨Mon "pêcher" mignon… Hihi… pincer les tiges des tomates cerises, les regarder rougir de plaisir en me voyant (un peu de mégalomanie ça ne fait de mal à personne), et les laisser éclater en bouche avec du basilic et de l’huile d’olive made in Portugal ou Grèce… Mozza, poivrons, aubergines et courgettes grillées… A 17H02, j’ai faim !!!!

Donnez moi vos recettes, pitié, le printemps, c’est le renouveau, non ?

 

 

 

 

Cuisiner chez soi : A la recherche de recettes facile et rapide à concevoir

 Il n’est un secret pour personne que nos vies actuelles ne laissent guère de place au temps libre et aux moments de complète « zénitude ». Toujours à courir, à enchaîner les activités, à jongler entre responsabilités professionnelles et vie privée et familiale. Comment, dans ce contexte, réussir à prendre le temps nécessaire pour concocter de bons petits plats, surtout dans le cas où, comme c’est le cas pour moi, l’art culinaire n’est pas une qualité innée ?

Au sein de mon foyer, j’ai la lourde tâche de réaliser les repas du soir et croyez-moi, après une dure journée de travail, il n’est pas toujours évident d’avoir une idée de génie pour réussir à surprendre l’autre et à lui offrir des plats dignes de ce nom.

Les émissions de cuisine à la télévision me renvoient quotidiennement en pleine figure à quel point le fait de cuisiner peut être une activité attractive et agréable, aussi bien pour le cuisinier que pour celui ou celle qui déguste ses plats, du moment qu’il s’agisse d’une bonne idée de menus.

Et c’est précisément là où le bat blesse. Je me confronte à deux difficultés majeures : je ne fais pas preuve d’une imagination débordante en terme de repas et je manque cruellement de temps pour pouvoir prétendre à passer dans ma cuisine tous les soirs plus de temps qu’il n’en est nécessaire.

Après avoir usé jusqu’à la corde certains types de menus « classique », tels que les pates au jambon et autres soupes de carottes, j’aimerai bien pouvoir continuer à surprendre ma conjointe en lui proposant chaque soir des diners qui, outre le fait d’être bons à manger, seraient tout aussi rapides à réaliser dans un temps contraint.

C’est pour cela que je me tourne vers vous, une fois de plus, chers lecteurs de ce modeste article.  Auriez-vous des idées de recettes faciles et rapides à réaliser pour que je conserve mon statut de petit-ami idéal pendant encore de longues années ? Et puis, je me dis que vos précieux conseils pourraient également servir à d’autres lecteurs. Je ne doute pas une seule seconde que parmi vous figurent de véritables cordons bleus qui présentent des aptitudes significatives en matière de cuisine.

A la rédaction de cet article, le stress s’empare de moi. Le temps presse. Dans quelques heures, la journée sera déjà terminée et je ne dispose pas de la moindre idée lumineuse pour cuisiner ce soir. Il faut dire que mes œufs brouillés et pâtes d’hier soir n’ont eu qu’un succès plus que mitigé.

J’attends vos commentaires avec une impatience certaine. N’est-ce pas là aussi tout l’intérêt de C4N que de pouvoir échanger entre internautes sur divers sujets qui nous touchent de près ou de loin ?

La cuisine, même si on lui accorde de moins en moins de temps dans notre société actuelle, mérite qu’on s’y attarde. Les repas sont un moment privilégié d’échanges et de dialogues qu’il convient de soigner, notamment en proposant, lorsqu’on a la charge d’organiser les menus, de délicieux plans, alliant originalité et goût agréable.

J’attends vos contributions et je ne doute pas un seul instant que je ne serai pas déçu. Qui sait, je vais peut-être mettre en œuvre vos conseils pas plus tard que ce soir…

Réveillon(s) : pourquoi pas l’oie celtique ?

Pourquoi de la volaille pour plat de résistance lors des réveillon ? D’une part, dit-on, parce que des volatiles, tout comme l’hirondelle annonciatrice du printemps, étaient considérés susceptibles de ramener le Soleil après le solstice d’hiver. Ensuite, sans doute, parce qu’il convenait de se rassembler autour d’un plat unique, à peu près accessible. Ce fut donc, essentiellement en Europe, l’oie. Puis, parce que la dinde, importée « des Indes » (d’Amérique du Sud), plus chère, devint privilégiée par les tables bourgeoises, le peuple pouvant se le permettre imita la classe supérieure. Quoi qu’il en soit, de l’oie ou de la dinde, tentez de la rendre savoureuse : pistes culinaires pour ce faire.

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Pour gourmet maso : la sauce Pain 100 %

Qui ne s’est jamais livré, sans préparation, à une « lucha de pimientos » au Mexique, s’en souvient pour vraiment très, très longtemps. Les préparations de sauces aux piments Juan Pain, confectionnées au Kansas avec l’un des piments les plus puissants au monde (avec adjonction de citron et d’ail ou sans) arrivent en Europe dans les magasins Marks & Spencer. 210 g garantissent 100 % de peine, comme l’indique l’intitulé de la plus puissante d’entre les trois variantes commercialisées.

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Cuisine: je me suis lancé!

Il y avait longtemps que j’avais ça en tête. Mais je ne trouvais pas l’occasion de m’y mettre. Ce n’était même pas la peur de me louper qui m’en empêchait, ça n’aurait pas été si grave…Peut être me fallait-il une occasion. Et cette occasion s’est présentée, alors je me suis lancé: j’ai cuisiné. 

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cuisine japonaise

 Pour mon premier article j’ai décidé de parler de cuisine, un sujet que j’apprécie vraiment…

De plus, qui n’aime pas faire plaisir a sa famille en concoctant des petits plats chaleureux et épater ses amis par la même occasion.

Hier, j’ai acheté un livre de cuisine japonaise, je m’attendais à trouver touts les plats typiques du japon comme le ramen ou les sushis, mais il s’avère que le livre en question revisite les classiques de la cuisine traditionnelle japonaise pour une approche plus moderne du concept…. du japonais tout craché  : la tradition et la modernité en même temps.

La cuisine japonaise est un modèle d’équilibre et de justesse avec le poisson comme ingrédient principal dans presque chacune des recettes présentées. Évidement le japon est un pays ou la pèche représente une des ressources les plus importantes dans l’alimentation et ou le proverbe :’’un esprit saint dans un Corps Saint’’ est vigoureusement mis en oeuvre par tout japonais qui se respecte. Un des aspects incontournables de la cuisine japonaise sont les bentos : des plateaux repas emmenés par les étudiants en cours ou par les fonctionnaires sur leur lieux de travail pour déjeuner aux heures de pauses faciles a confectionner : des sushis des omelettes roulées et quelques légumes et le tour est joué. Cela ne signifie pas que la cuisine japonaise est facile elle est assez compliquée a mon gout avec un nombre infini d’ingrédients mystérieux : (miso, wasabi, sashimis tempura et autres) il faut donc se rendre dans des magasins spécialisé pour trouver ce dont on a besoin. La cuisine japonaise est de plus en plus connue et appréciée à travers le monde et de plus en plus de personnes font des voyages culinaires pour apprendre à préparer des mets plus alléchants les uns que les autres. Enfin, le Japon vole sa première place à la France et devient le pays où l’on mange le mieux : une autre preuve de l’alimentation saine au pays du soleil levant.

Quelques recettes de cuisine kabyle

 

Voilà déjà presque 6 ans que je pars en Algérie et plus précisément en Kabylie. Là-bas,j’ai découvert des plats délicieux tels que le couscous kabyle, les boulettes kabyles appelées tarsbanes, les crêpes kabyles et enfin la galette.

 

Je souhaite aujourd’hui vous faire connaître ces différentes recettes pour qu’un jour vous  les goûtiez, que vous essayez de les faire et pourquoi pas les faire connaître à votre tour.

 

 

Les tarsbanes ou boulettes kabyles sont faites à base de semoule moyenne, d’huile, d’ail, de menthe, d’eau et de sauce. Après avoir travaillés tous ces ingrédients on obtient une pâte qui se décolle du plat qu’on découpe en plusieurs boules, qu’on travaille avec les mains. Ces boules sont soit cuites directement dans la sauce (qui est un peu près la même que celle d’un couscous) soit un petit moment dans le couscoussier au dessus de la sauce puis on les mélangera après, à la mi-cuisson. Il faut compter un minimum d’une heure pour cuire les tarsbanes.

 

Les crêpes kabyles ou tighrifines sont quant à elles appelées crêpes à milles trous car lors de la cuisson la crêpe fait plein de trous. Celle-ci est faite avec de la semoule fine ou extra-fine (600g), de la farine (500g), de la levure de boulanger (20g), de la levure chimique (1/2 paquet), du sel (1 cuillère à café) et de l’eau (1/2 l ou un peu plus) puis avec des œufs pour les personnes qui le souhaitent mais ce n’est pas obligatoire. Moi-même, je n’en mets pas car sans je trouve qu’elles sont plus moelleuses. Il faut travailler la pâte avec la main de façon circulaire. Elle doit être semi-liquide. La pâte a besoin de lever avant de la faire cuire. Si vous voyez qu’elle est trop épaisse vous pouvez rajouter un peu d’eau. La cuisson se fera dans une poêle à fond épais. Sachez que la crêpe kabyle n’est à faire cuire que d’un côté. il ne faut pas la retourner.

En Kabylie, ils dégustent ces crêpes nappées d’huile d’olive et de sucre glace. Mais on peut aussi bien les manger avec de la confiture, de la pâte à tartiner mais aussi de façon salé.

 

 

La galette appelé arhulm est faite à base de semoule fine ou extra fine, de sel, d’huile et d’eau. On ajoute de l’eau jusqu’à former une boule moelleuse mais pas trop. Ensuite on l’aplatit avec nos mains ou bien avec un rouleau jusqu’à former une galette. Celle-ci,sera cuite sur un plat à galette en fonte ou aluminium. On mange cette galette en la trempant dans de l’huile d’olive ou bien avec des poivrons appelés aussi « ifelfel ».

 

 

Je ne peux pas vous donner les mesures de la galette et des tarsbanes car moi je les fais au hasard mais vous pouvez trouver des recettes sur différents types internet comme : chttp://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=Z6lKtJ91t24 pour la galette

 

J’espère que ce petit tour culinaire en Kabylie vous aura plus et vous aura ouvert l’appétit. Bonne dégustation.