BHL à la tête d’une délégation de Kurdes à l’Elysée

L’infatigable philosophe au regard de lynx, à la blanche chemise large ouverte laissant presque entrevoir son nombril, (vidéo ci-dessous), refuse toujours de ménager sa peine tant semblent lui tenir à coeur ces combats qu’il mène tous azimuts au profit de certaines populations en mal de laïcité et de démocratie. On se souvient de son film, serment de Tobrouk autour de son implication forcenée dans le démantèlement de la Libye de Kadhafi ; c’était pour lui l’occasion de rouler des mécaniques en se faisant passer pour celui qui aime à pacifier le monde  !

"Ami de la Syrie", il a remué ciel et terre pour apporter sa contribution à la précipitation de cette dernière dans le chaos. Malgré le désamour cinglant que lui vouent ces populations atteintes de plein fouet par sa politique, le philosophe ne se dégonfle pas. Il garde intacte son énergie et inocule à tout va son venin difficilement dégradable, taxant d’antisémitisme ses détracteurs hostiles à des ingérences de si mauvaise augure ! 

Les Peshmergas, son actuel cheval de bataille. Le revoilà donc en représentation à l’Elysée à la tête d’une délégation de Kurdes venus de Mossoul suite à son indéclinable invitation. Recueillement au préalable devant les locaux de Charlie Hebdo, de l’Hyper casher de Vincennes. Reboosté ainsi par ce mécène des temps modernes, le commandant Barzani compte désormais sur la France pour subvenir à son besoin urgent en armements destinés soi-disant à éradiquer Daech. 

D’après un entretien accordé au Figaro, BHL ne se fait aucun souci par rapport aux Peshmergas épris de l’esprit des Lumières. Il leur donnerait le Bon Dieu sans confession du fait de ce socle de valeurs qu’ils ont en commun les unissant à jamais pour le meilleur et pour le pire : "amour de la laïcité, de la démocratie" doublée d’une haine pour "l’islam fondamentaliste"! 

A croire que le "Puceau" de St Germain des Près n’en finit pas d’entendre des voix qui lui dictent les modalités à suivre pour libérer la région des obscurantiste : les Kurdes, fer de lance de son combat,vont libérer des griffes de Daech des populations entières dont celles chrétiennes dites d’Orient, foi de philosophe…La fragmentation sociale étant sa spécialité comme en témoigne l’état de la Libye post-Kadhafi, on comprend mieux son recours à la division ethnique d’autant que la propension des Kurdes à la rébellion n’est pas à prouver.

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FDJ, Quête populaire, et abdication en règle..ou presque!

 

 

 

                      

 

Appels aux dons sous forme de énième quête populaire, démission ratée du conseil des sages, et maladresses en tous genres, aujourd’hui, l’UMP c’est un peu comme le Loto, à qui le tour? Allez, un peu d’humour, cela ne coûte rien…

 

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L’Elysée, Secret Story et espionnage illégal des français par… la France! La preuve…

 

                      

 

Scandale, les USA espionnent la France! Oui mais la France espionne…les français! La preuve aujourd’hui dans un célèbre quotidien français. A qui le gain de cette partie de poker menteur sur fond d’espionnage illégal? Réponse ici même, on vous dit tout sur la façon qu’utilise votre nation pour vous espionner…

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Etat des lieux d’une France malade d’elle même

Sur bien des points un « mal français » (l’ancien homme d’Etat et de Culture, Alain Peyrefitte, était un visionnaire) spécifique se confirme au fil des années. L’actualité marquée par l’emprise croissante de la téléréalité jusqu’aux frontières du politique, traduit assurément une fuite dans l’anecdotique et le divertissement, un repli dans un imaginaire collectif toujours plus insignifiant. A force de déconstruire ses fondations Historiques, le pays erre dans un entre deux eaux, entre larmes de nostalgie fataliste et regain adolescent pour de vieilles lunes idéologiques. Notre pays traverserait-il ce que bon nombre de psychanalystes définiraient comme une phase de régression infantile ? Contournant la mutation de maturité attendue, divers signaux d’alarme parlent à contrario dans le sens d’une dépression anachronique.  Il y a vraiment une « crise » spécifiquement, française.

La France se situe ainsi en tête des pays européens pour les frais pharmaceutiques. Le français se pense volontiers souffrant jusqu’à accorder des vertus quasi magiques et une véritable « croyance » aux médicaments. Le dieu laïc serait donc pharmaceutique ? Cela est désormais de renommée internationale, le pays le plus visité du monde renferme aussi les plus gros consommateurs de psychotropes. Plus d’un quart des Français consomme des anxiolytiques et des antidépresseurs, des somnifères. Le pays préfère rester couché, sur ses rêves d’antan ? Sans racines ni repères (la famille, etc), la France perd logiquement la tête. Le rapport à sa réalité caractérise un profond malaise. Oser s’exclamer « Vive la France ! », sur les réseaux sociaux ou ailleurs se heurte à des réactions réfractaires induisant la qualification de « réac » ou « fasciste », voire, cela n’éveille qu’une profonde indifférence.


Chaque année plus de 150 millions de boites de divers normothymiques sont prescrites dans notre pays. Ces « régulateurs de l’humeur » définis comme tranquillisants sont hélas susceptibles de provoquer des dépendances en prescription prolongée. Y compris en temps de grave crise, le peuple exige la prescription du moindre de ses acquis sociaux autant que médicamenteux ? Qu’il ait voté pour les vendeurs de promesses chimériques serait donc logique. Comme la mariée trop belle, il semble bien que le « rêve français » ne pouvait longtemps garder sa plus jolie robe. Le corps social reste ce qu’il est. La France est de mauvaise humeur. L’élu du moment devient le catalyseur du désamour propre national.


Il y a quelques mois à peine elle portait donc un nouvel homme à sa tête, « normal », l’avenir allait être plus tendre et idéal. Le « diable » supposé qui précéda était affirmé comme responsable de tout, jusque la pluie certains jours d’investiture ? La Politique gagnerait à ne plus succomber à la pensée magique. Quoi qu’il en soit, les enquêtes annonceraient l’ancien président quasi réélu dans l’hypothèse d’un retour. La France ne reconnaît plus aucune crédibilité à son nouvel homme « fort » peinant quelque peu sur le chemin cruel de la présidentialisation. Un soir récent, son intervention en direct marquait par le taux d’audience le plus bas comparativement à la rediffusion d’un énième feuilleton ou autres programmes recyclés sur d’autres chaînes. La France ne s’aime plus jusque dans son miroir télévisuel, jusque dans ses présidents ? Un climat de fin de 4ème République réapparaît, renvoyant aussi à l’épilogue Mitterrandien qui précéda la débâcle totale de 1993. Le 18 Juin l’appel du Général de Gaulle raisonnait particulièrement, à moins qu’il ne s’agisse du retour annoncé d’une « néo » Cinquième République ?

Alors que chaque mois 30000 citoyens rejoignent le fleuve boueux du chômage, que 80000 se trouvent pareillement chaque mois en fin de droit, les JT se concentrent néanmoins sur le « ping pong » indigne de la corruption supposée des deux partis de gouvernement. Chacun sort ainsi de son chapeau des « affaires » anciennes ou récentes, nourrissant de façon suicidaire les extrêmes avides du « tous pourris ». Quitte à couler, autant que le bateau coule totalement ?   


Notre pays reste en tête sur la scène mondiale en terme de traitements psychiatriques. Le nombre d’internements aura ainsi presque doublé en 16 ans. On y compte plus de 73 000 internements chaque année, chiffre trois à quatre fois supérieur à ceux du Royaume-Uni ou de l’Espagne, comme de l’Italie. La douce folie et l’inconscience françaises (au niveau de la dette publique « à volonté » depuis 30 ans) atteindraient les sommets. La France cherche sa boussole plus encore depuis qu’elle s’est donnée une présidence pépère ou paternelle, celle qui était en vigueur du début des années 80 jusque la fin des années 90. Nous vivions les années dépensières. Les déficits augmentaient proportionnellement à la démagogie déployée pour les faire oublier. La fêtocratie régnait. Les enfants sauraient payer demain l’irresponsabilité de leurs parents. Toute personnalité publique invitant à la rigueur se voyait interdit de bal médiatique. La fête est vraiment terminée, et la culture fait toujours plus de fautes d’orthographe. Le diplôme du Bac rejoint lui aussi le bac à sable de la régression.

La logique de l’économie réelle ayant cédée devant l’abstraction boursière, le peuple erre dans les méandres de la relativité, déclassant l’Homme de la place première qui devrait être la sienne. Stop ou encore ?

De façon emblématique, plus de 240 millions de boîtes de psychotropes ont ainsi été vendues en 2012. Le chiffre d’affaire serait de plus d’un milliard d’euros (Source AFSSAPS) pour les laboratoires oeuvrant sur le marché  juteux de la misère sociale ou personnelle. Tout peut être rentable, la douleur et la mort aussi. La dépression boursière sera t’elle compensée par celle des citoyens ? Une minorité parvient à survivre.


Les médecins généralistes restent manifestement en première ligne chargés de toutes les pathologies sociales ou psychiques. D’après l’Atlas de la démographie médicale, la densité de médecins spécialistes en psychiatrie varie profondément selon les départements, de 6 à 79 pour 100 000 habitants. Avec 1 714 psychiatres, Paris en compte davantage que la Picardie (216), le Nord-Pas-de-Calais (461), la Normandie (395), la Lorraine (266) et Champagne-Ardenne (132) réunis. Le constat est saisissant. La France est un mauvais docteur pour elle-même. Mais elle persiste à prétendre sauver le monde entier. Egalité…stop ou encore ?


La parité tant évoquée marque un pareil échec. La mère patrie n’est plus ce qu’elle était. Les épisodes dépressifs majeurs touchent en effet davantage les femmes. Elles restent soumises à des traumas plus spécifiques de leur identité (maltraitance dans l’enfance et le couple, veuvage, divorce, chômage, invalidité). Cela reste plus fréquent dans les quartiers défavorisés. Peu de psychiatres y sont installés. La France ne prend plus soin d’elle-même. Le "protectionnisme" a trop mauvaise presse. Le monde médical lui-même reflète toutes les « névroses » sociales et économiques de la société, sans insister sur le désert médical rural. La Santé a elle aussi perdue ses racines ? Seul le marché des psychotropes ne connaît pas la crise. La France est malade d’avoir oubliée les fameux droits de l’Homme dont elle abreuve le monde. Elle n’est même plus fidèle à l’exigence minimale « les femmes et les enfants d’abord » ou « la veuve et l’orphelin ». La malnutrition frappe deux millions d’enfants, ne disposant pas chaque jour de l’apport alimentaire requis. Oui, la France est très malade. Elle confesse « officiellement » ses 10 millions de citoyens jetés sous le seuil de pauvreté. Les « intellectuels » peinent à s’intéresser à cette réalité. Chaque talk show convoque rituellement les mêmes « experts » ou « géo-politologues » bien poudrés pour satisfaire les caméras. Un récit conceptuel vaudra souvent pour « débat ». Le divertissement n’est jamais exclu du plateau.

La souffrance au travail traduit pareillement le « mal » ou le malaise général de la société française. Le débat est devenu important depuis l’automne 2009, suite à la vague de suicides chez France Télécom. On ne communique plus ; « le chacun pour soi m’a tuer » ?

 

Selon un sondage (BVA), seulement 31% des salariés se disaient "parfois heureux" au travail en 2012, contre 37% en 2011. C’est le niveau le plus bas enregistré depuis 2007. Plus de 40% des salariés affirment même que leur motivation régresse. Si la démotivation des ouvriers (42%) ou des employés (38%) stagnait entre 2007 et 2010, la démotivation s’accroît nettement ces derniers temps chez les cadres. Si en 2007 ils étaient 19% à dire leur motivation en baisse, ils sont à présent presque le double (37%). Enfin, la question du pouvoir d’achat porte toutes les angoisses. La France ne permet même plus à son peuple d’acheter et consommer. Ainsi, 68% des actifs ne s’estiment pas satisfaits en matière de salaire. La crise fait mal au portefeuille, bien sûr. La redistribution reste aussi défaillante que l’ascenseur social, les charges pèsent excessivement sur les salaires, les riches deviennent forcément indignes, la fonction publique aurait à rester deux fois plus massive que celle de l’Allemagne pour une efficacité pas plus élevée…tout cela structure en partie le « mal français ». Alors ?


En insistant prioritairement sur la performance individuelle, les méthodes de management et de gestion ont aussi déstructurées le sens du collectif. Le lien social se délite. L’élite vit dans son monde clos, et le peuple dans un ailleurs de plus en plus indéfini. La société française devient une des plus inégalitaires. Le discours ambiant dissocié de toute réalité vient augmenter le sentiment d’injustice, de solitude (fléau national). L’augmentation des pathologies de surcharge comme le « burn-out, karôsh » (mort par excès de travail), celle des troubles musculo-squelettiques, le recours accru au dopage, tout atteste d’une réelle dégradation de la qualité de vie, aussi professionnelle. Le chômage entraîne une souffrance de plus en plus tue sauf à voir des chômeurs se suicider ? La France a mal à son Pôle Emploi parce qu’elle a mal à ses entreprises, autant qu’elle gère bien mal son « service » Public. La justice sociale serait à la diète. Certains auraient droit à un emploi garanti à vie. D’autres auraient droit à la mort sociale afin de garantir de tels privilèges ? En plein chaos les enfants gâtés de la République trouvent scandaleux que leur grille salariale soit gelée une année de plus. Qu’importe si pour les Sdf toujours plus nombreux, le cœur se glace, définitivement. Toujours la faute des riches ? Faudrait-il toujours plus de pauvres pour exceller en modèle social ? Le diktat de « l’égalité » poursuit ses ravages. Mai 68 brûle ses derniers joints communautaires, mais en vivant à bonne distance des pauvres. Stop ou encore ? Que faire ?


Outre l’évaluation qualitative, l’idée de « coopération » gagnerait à être promue dans le cadre professionnel et général. La coopération s’analyse selon une règle désormais bien connue, reposant sur trois niveaux. Celui de la coopération horizontale entre membres d’une équipe, la coopération verticale entre chefs et subordonnés, enfin la coopération transversale avec les clients ou les usagers. Cette approche est bien structurée. Elle reste trop ignorée. Le quantitatif prime dans la société de surconsommation. L’Homme ne compte pas. Les ressources humaines s’épuisent dans l’approche minimale et stérile que le système actuel impose. Le facteur humain reste au-delà même d’une marge variable. Le pays des Droits de l’Homme ? La « modernité » ?


La qualité et la compétitivité « gagneraient » à retrouver leur lien logique, qu’il s’agisse de cadre et conditions de travail ou de relation interpersonnelle sur le terrain professionnel. Avec un peu de bonne volonté le travail pourrait s’adapter à divers modes d’organisation, dans la gestion intelligente du temps et le management des différents acteurs. La dégradation des rapports entre activité professionnelle et santé n’est pas insoluble, pas plus que la crise des motivations constatée. La réhabilitation du travail et de sa valeur ne recouvre qu’une incantation électoraliste. Surconsommation médicamenteuse, souffrance croissante au Travail, démotivation, chômage, tout interroge notre modèle, le monde du travail en premier lieu. La compétitivité individualiste devient-elle porteuse d’une mort lente de toute la communauté ?


Notre « modèle » ne pourra survivre que par la promotion de nouvelles relations citoyennes, l’émergence de formes d’entreprises plus innovantes et humaines (sociétés coopératives , portage en réseau, soutien prioritaire aux PME-PMI), par la primauté structurée du Vivre Ensemble et la prise en compte plus globale de « l’environnement » (écologique, social..). Tous les dirigeants  devraient axer leurs propositions autour de ces préalables d’éthique et d’humanité. La France tombe malade de ne plus être elle-même.


Alors que des membres d’un club de réflexion (Roosevelt 2012) entraient en grève de la faim le 17 Juin dernier pour appeler le Gouvernement et la représentation nationale à s’occuper enfin des vrais problèmes du pays, il ne semble plus exclu que les mois prochains voient se lever la Manif contre Tous…pourris. Une petite confrérie ultra minoritaire est manifestement corrompue. Elle porte atteinte à toute une classe politique pas plus malhonnête ou incompétente qu’autrefois. Une clarification (le cas échéant par les urnes) sera difficilement évitable. Un arbre initialement mal planté ne saurait croître idéalement par la suite. Stop ou encore ?

Puisse la « moralisation » arriver malgré « tout » à bon port, et rapidement. 

Dans un cas contraire, la France pourrait à terme choisir la nouvelle « troisième voie » toute vêtue de bleu marine…


Guillaume Boucard

 

 

Jamel Debouzze serait-il moqueur ou flatteur ???

Le mercredi est décidément le jour des enfants et le palais de l’Elysée s’est fait mercredi dernier cours d’école maternelle, avec un Président hilare, riant de bon cœur de blagues qui à mon avis n’auraient dû faire rire que son auteur.

L’auteur en question n’était autre que Jamel Debouzze, acteur qui avouez-le n’a jamais fait d’éclats et dont les blagues font rire jaune une audience, qui semble à chaque fois se dire "Mais qui donc a eu la mauvaise de le convier à la soirée ? "

 

Ce petit bonhomme perpétuellement fâché avec la plupart des fabricants de rasoirs, sur lequel je n’ai pas particulièrement entendu de moqueries, alors qu’il y aurait peut-être matière à le faire allez savoir, s’est permis très irrespectueusement de critiquer Nicolas Sarkozy, le comparant à "Jo Dalton le petit énervé" et de rajouter que la France était mieux à vivre sous la nouvelle présidence de François Hollande.

Je tiens à préciser que je ne suis pas pour l’un, plus que pour l’autre, mais la décence veut qu’il y ait des façons de s’adresser aux élus ou anciens élus. L’humour n’excuse pas tout !

 

Sans doute Monsieur Debouzze, trouve t-il son compte dans la flatterie aux nouveaux venus… Sait-on jamais si un jour ça devait tourner mal pour sa carrière, il se doit de chercher des appuis !

Bref, mon coup de gueule grinçant, s’adresse en fait à ces jeunes de la nouvelle vague de comédiens, qui se croient tout permis, sous prétexte que le feu de quelques projecteurs, est venu un jour brûler leur front de prétentieux.

 

J’en ai un peu soupé également des acteurs propulsés sur le devant de la scène, un peu trop rapidement à mon goût et souvent nullissimes, des chanteurs aux voix inexistantes qui n’auraient pas franchi le seuil des 2 minutes, aux radios-crochets d’antan, où de vrais talents venaient tenter leur chance, des candidats au QI inexistants participant aux show télévisés de téléréalité, qui, j’en suis toujours étonné parviennent à faire de l’audience, alors qu’ils finissent quasiment tous sur les trottoirs de l’oubli, mais se permettent toutefois durant leur courte notoriété, des écarts de langage que je n’apprécie guère.

 

Je suis tout de même heureux que Monsieur Jamel Debouzze se rendant compte de sa boulette, se soit excusé au petit journal de Canal+, d’avoir comparé l’ancien Président de la république à Jo Dalton et par la même à un truand notoire.

Il y a des cours de justice pour le déterminer et aux dernières nouvelles Jamel Debouzze n’est ni juge ni avocat…

 

Je pense enfin, que des hommes publics tels que Monsieur Jamel Debouzze devraient se garder d’afficher leurs opinions politiques, car jusqu’à preuve du contraire le public qui les nourrit doit indifféremment être constitué de gens de droite comme de gauche aux guichets de cinémas !

 

J’ignore si cet article passera le cap de la modération, mais en tout cas il fut écrit d’un trait et pour lui garder toute la spontanéité de mon exaspération, je l’ai relu rapidement mais ne l’ai en rien corrigé.

 

François Hollande : Un président respectueux envers les journalistes !

 

Bien que tous les secteurs d’activités aient chacun un rôle incontournable dans la vie d’une Nation, il convient pour chacun de nous de relever et surtout  de reconnaître que celui des enseignants, des médecins, et des journalistes semble non seulement indispensable à la vie, mais aussi extrêmement délicat. 

Ceci, compte-tenue du fait que leurs activités touchent l’être humain dans tous ses états  (physique, sociale, spirituelle, culturelle…). C’est ainsi que dans tous les pays sérieux, une attention toute singulière leur est accordée, afin qu’ils accomplissent en toute sérénité leurs délicates et nobles missions.

 

 

Malheureusement, cette réalité universelle tarde à être intériorisée dans de nombreux pays du monde, et en Afrique particulièrement. Ici, les enseignants grèvent  presque tous les jours pour réclamer de nombreux mois de salaires impayés ; les médecins sont abandonnés à leur triste sort après leur formation. Pire encore, les journalistes sont des vulgaires mendiants qu’on tabasse tous les jours dans les commissariats de police et, pour des motifs purement fantaisistes…

En Afrique, être journaliste c’est renoncer à une longue vie sur terre, c’est accepter pour deuxième domicile les cellules de commissariats et prisons ; c’est aussi accepter le bénévolat ; car pour nos gouvernants, être journaliste n’est pas un métier ; mais plutôt un loisir !

Heureusement qu’il y’a des président comme François Hollande pour nous faire rêver. Lui, qui ce mardi 23 novembre a reçu près 350 journalistes et a répondu très courtoisement à leurs différentes préoccupations. Un exercice presque inadmissible pour un président africain. Au Cameroun par exemple, aucun journaliste d’un média privé n’a jamais eu la chance d’arracher la moindre interview au président Paul Biya en trente années de pouvoir ! Une situation presque identique dans tous les autres pays de la sous-région Afrique Centrale.

Dans nos pays, à l’exception de ces « griots » qui se font parfois appeler « Ministre de la communication porte-parole du gouvernement » qui organisent  régulièrement  des pseudos conférences de presse pour apporter des éternels démentis et vanter les mérites de leurs mentors, aucun autre haut responsable n’a l’autorisation de répondre à une question de journaliste.

L’acte qu’a posé cette semaine le président français devrait donc être un signal fort à l’endroit des leaders africains ; eux, qui devraient comprendre que quand on gère la fortune publique, on a ce devoir de communiquer régulièrement, afin que les citoyens soit édifiés sur  la gestion de leur argent.  

 

Valérie Trierweiler : une seule solution rester discrète !

Pendant quelques temps, et même pendant la campagne présidentielle, Valérie Trierweiler était discrète et un peu mystérieuse… La victoire de son compagnon François Hollande, le 6 mai, l’a amenée à tenter de définir son nouveau rôle et à s’exprimer davantage. Il s’en est suivi quelques « couacs » dans sa com, dont le tweet en soutien à l’adversaire de Ségolène Royal à la Rochelle qui a eu un effet désastreux sur l’image du Président qui avait bien dit « qu’avec lui on ne mélangerait pas vie privée et vie publique ». On n’en était pas là, mais l’opposition a vite raillé cette affaire et les journaux s’en sont emparés pour  bâtir un scénario avec l’ex du Président, son amie et le Président. On a beau se dire que c’est toute la com de l’Elysée qui serait à revoir, on ne voit pas comment la compagne du Président pourrait échapper à une attitude de discrétion maximum, au moins un certain temps !

 

(Capture d’écran sur leparisien.fr)

 

Quelques problèmes dans la com de la Première dame…

      Valérie Trierweiler avait pourtant la réputation d ‘être « assez discrète », mais, elle qui est journaliste politique  s’est retrouvée propulsée sur le devant de la scène ! Jusqu’à il y a peu de temps, elle restait dans l’ombre de son ami et lorsqu’il a gagné la Présidentielle, elle s’est contentée d’un petit tweet pour  le féliciter : « Tout simplement fière d’accompagner le nouveau président de la République et toujours aussi heureuse de partager la vie de François » (D’après marie.claire.fr)          

Décidemment, c’est un moyen qu’elle affectionne tout particulièrement, comme beaucoup e ses confrères aujourd’hui ! Elle a dit aussi qu’elle voulait simplement jouer « un rôle d’accompagnatrice » de son conjoint (et non de conseillère). On lui avait cherché quelques poux sur la tête, lorsque la rumeur avait couru pendant la campagne électorale que la Préfecture de Paris avait diligentée une enquête à son sujet… Elle était restée silencieuse et avait prévenu « qu’elle ne parlerait d’elle et de François Hollande que le jour où elle ne pourrait plus faire autrement ».

       Et puis, lorsque François Hollande a été élu, les journalistes se sont mis à l’interroger sur son rôle de Première dame et sur ce qu’elle allait faire ? Dans un premier temps, elle a tenté de dire que le terme de « Première dame » ne lui convenait pas et qu’elle souhaitait de continuer son métier de journaliste. Donc elle communiquait un peu mais en montrant l’image d’une femme soucieuse de respecter les rôles de chacun et attentive à ne jamais peser sur les décisions politiques du chef de l’Etat, jusqu’à son incursion dans la législative avec ce tweet, qui apportait un soutien franc et massif à l’adversaire de Ségolène Royale. Ce faisant, elle prenait le contre-pied de son compagnon de Président qui soutenait – indirectement – son ex et elle détruisait  l’image qu’elle s’était appliquée à dessiner jusque là… Elle opérait ainsi une transgression, comme on dit, en faisant passer ses sentiments personnels avant le respect du choix du Président ! Problème de communication, mais aussi révélation au grand jour de sa jalousie et des problèmes de vie privée, au point que certains médias parlent de « tweetgate » !

 

Maintenant, elle réagit indirectement…

Cette affaire passée, Valérie Trierwiler a compris qu’il vaut mieux qu’elle ne s’adresse pas directement aux journalistes… On retrouve quand même dans les journaux : qu’elle a confié à une amie « J’ai commis une erreur ». Un autre ami précise : « elle n’a pas bien calculé les conséquences que son tweet aurait sur l’autorité du chef de l’Etat, sur le PS, sur ses enfants et ceux de François Hollande »… « Elle s’en veut d’avoir donné une image négative », poursuit ce confident. L’explication avec François Hollande a été orageuse. Il était furieux. Il est clair que cela ne pourra pas se reproduire ». (D’après Le Parisien)

   Pour le moment, elle va être plus prudente. Elle ne ferme pas son compte tweet et ne parlera qu’indirectement qu’après avoir tout pesé et peut-être recueilli l’avis préalable de son compagnon bien qu’elle se veuille libre et indépendante !

 

Quelle com pour l’Elysée ?

Toute cette affaire va obliger le couple Hollande-Trierwiller à repenser la communication de l’Elysée. Il ne reste plus qu’à inventer « une nouvelle communication » pour le Président et pour sa compagne. Il va peut-être falloir fixer un statut de la Première dame… Si elle continue à envoyer des messages depuis son bureau à l’Elysée, il faudra peut-être qu’un texte officiel fixe quelles sont ses prérogatives.

Il faudrait savoir aussi si l’épouse d’un homme de pouvoir (femme de caractère et brillante) peut faire autre chose que de la représentation et recueillir des pièces jaunes ! Peut-être aussi qu’il ne faudra plus mettre « la normalité » à toutes les sauces, maintenant que le nouveau Président exerce son pouvoir !

 

Et si la seule solution était que la Première dame « reste discrète » ?

Pour le moment, malgré les pistes suggérées au paragraphe précédent, la meilleure solution est une grande discrétion. L’affaire du tweet mettra du temps à se dissiper et tous les mots écrits par Valérie Trierwieler seront disséqués par l’opposition et retournés contre le Président chaque fois que possible. Il faut reconnaître que ce fut la même chose pour l’ex Président. Donc, cette femme est peut-être condamnée à rester discrète. Un comble, elle qui voulait rester journaliste ! Mais ce n’est peut-être pas si impossible que çà ! Rappelez-vous, avant la campagne, ceux qui regardait ses émissions politiques sur la 8, lui reconnaissait des qualités certaines et en plus on n’entendait jamais parler d’elle ! Espérons qu’elle résistera aussi à la tentation de « tacler » sa rivale dans les médias. Va-t-elle réussir à redevenir une femme simple, disons « normale » ? Pas facile pour elle de s’échapper du schéma de la Première dame qui est complètement dans l’ombre de son mari de Président, comme par exemple tante Yvonne où la dame aux pièces jaunes ! Les Français ne veulent surtout pas que les affaires privées d’un Président viennent troubler son image de quasi « saint » ! Mais, faisons-lui confiance, pour qu’elle parvienne avec son compagnon à créer ce fameux « statut de Première dame « dont on parle tant, qui sans doute n’aurais pas évité le problème du tweet, mais qui permettrait tout de même de savoir ce qu’elle peut dire ou  non… En attendant Valérie Trierwiler est condamnée à  rester discrète, très discrète, comme dans une prison, à laquelle elle ne s’attendait sans doute pas….

 

Sine Mensuel 10 : allègre, sans Claude restrictif

Siné ne boude pas, si ce n’est son bonheur, du moins son serein contentement. Loin de jouer les gauchos grincheux, il se félicite que nous soyons débarrassés de « l’autre » et ne voit même pas un avatar d’un nouveau Claude Allègre se profiler dans le tableau gouvernemental. Pas de clause restrictive donc… en tout cas pour le moment : furtive félicité. Voilà pour la couverture de ce Siné Mensuel nº 10. Laquelle ne reflète que peu le contenu, privilégiant deux thèmes : l’immigration et l’écologie.

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La passation de pouvoir : Voilà enfin l’explication !

Durant la traditionnelle passation de pouvoir à l’Elysée, l’opposition a blâmé François Hollande d’être rentré un peu vite dans le palais présidentiel avant même que la voiture de Nicolas Sarkozy ait franchi les grilles ! En fait, il est parti se changer pour rendre un dernier hommage au président sortant !

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