Étiquette : économique

Êtes-vous satisfait par la politique économique et sociale du gouvernement ?

Ma réponse est sans pitié pour Monsieur le Président : « Non, je ne suis pas satisfait par la politique économique et sociale du gouvernement ».

A vrai dire, j’ai du mal à me faire une idée de ce que fait réellement notre gouvernement. J’ai l’impression que François Hollande et son Premier Ministre ne savent pas très bien ce qu’ils font et passent leur temps à éteindre les incendies au fur et à mesure que les événements leur tombent dessus. Pourtant, me direz-vous, la politique est intimement liée à l’actualité, mais elle devrait normalement la créer plutôt que la subir…

Exemple : « l’affaire Cahuzac », tombée sur le dos des socialistes, comme par malchance, réagissant après coup et obligeant chaque ministre à dévoiler publiquement son patrimoine, du jamais vu sous la 5 ème République, quelle mascarade !

De plus, notre Président de la République n’a pas réussi à redresser l’opinion en se retrouvant au plus bas dans les sondages après ce « petit accroc » politique.

Économiquement, par quoi pourrais-je commencer ?

 

Pourquoi pas par l’annonce choc (ou choquante selon votre opinion) de notre « Flamby » national : la taxation des plus hauts revenus à 75 %. Effet d’annonce comme un énorme coup d’épée dans l’eau. Le Conseil Constitutionnel a renvoyé le projet de loi aux oubliettes, et la publicité fiscale de la France n’a jamais été aussi mauvaise.

Effectivement, imaginez-vous dans la peau d’un riche investisseur étrangers. Voici ce qu’il pourrait se dire :

«  La France ? Jamais je n’irai, ils veulent taxer les riches à 75 % ces grands malades ! »

 

Merci donc pour cet effet d’annonce, qui, en plus d’être notre pire publicité pour les quatre années à venir, a également du faire fuir des tas de riches Français vers ces cieux plus accueillants (rappelez-vous ce bon film, heu pardon, cette télé réalité dans laquelle notre Gérard Depardieu national s’est retiré dans le froid glacial Sibérien pour s’y installer… et est devenu Ministre de la Culture Russe… le monde à l’envers).

 







Mais ce n’est pas tout, une augmentation des impôts est prévue, et je pense que nous allons tous changer de teint lorsque nous la découvrirons en cadeau (un peu en avance) de Noël…

 

Et je pense que nous auront d’autres belles surprises « économiques » au cours des prochaines années.

 

Pour la politique sociale, le gouvernement remonte quelque peu dans mon estime. Effectivement, socialement, l’une des promesses de campagne de François Hollande a été tenue, malgré un pression dingue de l’opposition.

 

Le mariage pour tous a été voté après des heures et des heures de débat au Parlement.

 

Là, d’accord ou pas avec cette loi, je dois reconnaître que le Gouvernement a tenu bon malgré les réticences sur le sujet d’à peu près 50 % des Français.

Même si je me dis que ces Français n’ont pas été entendus par notre Président, cette nouvelle loi se trouvait bel et bien dans les promesses de François Hollande à son élection… Et nous l’avons élu à 52 % Président de la République pour cinq ans. Alors, assumons non ?

 

Seul reproche que j’aurais à faire au gouvernement : un mauvais moment pour passer la loi sur le « mariage gay ». Peut-être qu’une gestion prioritaire des problèmes économiques tels que le chômage, l’emploi en berne, la Crise… aurait pu être d’un meilleur soutien à la France que « le mariage pour tous ».

 

Je terminerai en donnant une note positive au Ministre de l’Intérieur, Manuel Valls. Avec un travail acharné, une détermination à toute épreuve, je pense que cet homme est  « étonnement » ressemblant à Nicolas Sarkozy dans son tempérament et son parcours.

M’est avis que cet homme risque de faire encore parler de lui à l’avenir, et pas qu’en tant que Ministre de l’Intérieur…

 

 

 

 

Malgré tout, je reste insatisfait par la politique gouvernementale, surtout et à cause des lacunes économiques rencontrées.

 






 

En guise de conclusion, voici ce qu’ un sondage « OpinionWay » venant d’être publié le 03 juin 2013 a donné comme résultats :

 

78 % des sondés se disent  « mécontents de la politique économique et sociale du gouvernement ».

Loin derrière, 22 % des Français sont « satisfaits de la politique économique et sociale du gouvernement ».

 

Cela nous enseigne au moins une chose : Une bonne partie de l’électorat de François Hollande à la Présidentielle 2012 est mécontent de la politique de son gouvernement.   

 

 

Et vous, êtes-vous satisfait de la politique du gouvernement ?  

Le pain d’épices, un délice apprécié par tous.

 

Chacun se souvient des bons morceaux de pain d’épices que nos mères nous donnaient pour aller à l’école, il était parfois dur d’y résister et d’attendre 4 heures pour pouvoir les manger.

Cette gourmandise d’hiver qui se décline sous différentes recettes, possède de nombreuses vertus fortifiantes et antiseptiques.

 
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Le retour à la terre de nombreux Grecs.

 

Le contexte actuel de crise économique et financière, qui perdure en Grèce depuis de nombreux mois, amène de nombreux grecs à quitter les grandes villes, pour revenir dans leur village d’origine, se recentrer sur le travail de la terre, de façon à pouvoir survivre en investissant dans de nouvelle activités agricoles.

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Et pourquoi pas une baguette anti crise !

 

Alors que le prix de la baguette de pain risque de connaître d’ici quelques mois une nouvelle augmentation en raison de la flambée des produits de base, un boulanger de Saint Amé dans les Vosges a eu l’idée ingénieuse d’alléger la baguette aussi bien au niveau du poids qu’au niveau du prix.

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C’est quoi le problème avec La Poste ?

Encore un coup de gueule contre La Poste.

Depuis plusieurs années, l’entreprise historiquement connue pour aider les plus faibles revenus, n’arrive pas à remplir correctement sa mission première : acheminer le courrier. Après de nombreuses restructurations pour améliorer sa rentabilité (depuis que l’entreprise a été privatisée), les problèmes s’accumulent. Avant, les colis étaient fortement touchés. Même les colissimo n’arrivaient pas dans les délais prévus, ou étaient régulièrement détériorés, quand ils n’étaient pas perdus ! On ne parlera pas de l’indemnisation (forfaitaire) ridiculement basse prévue en cas de gros souci : cette dernière couvre à peine l’envoi ! Bien entendu, si on veut être mieux remboursé, il faut payer encore plus cher. Déjà qu’un colissimo simple n’est pas donné, on y réfléchit à deux fois.

Pour mieux satisfaire sa clientèle, La Poste a alors eu la bonne idée de créer un service consommateur accessible par internet. On s’est alors rendu compte que les plaintes concernant les colissimo étaient anormalement élevées, de trop nombreux envois étant concernés. Ce site ne fait que mettre le doigt sur un vieux problème, mais là encore attention aux arnaques. En effet, il est assez pénible de faire une réclamation par internet : il faut recopier le numéro de la preuve d’envoi, vérifier où en est l’acheminement du colis, compter les jours écoulés depuis son envoi en tenant compte des restrictions de La Poste (pas de circulation des camions le samedi et les jours fériés, et souvent le lundi ne compte pas non plus) puis quand on pense pouvoir porter réclamation il y a un long formulaire à remplir. On valide puis la réclamation est censée être traitée. Mais voila, ceux qui ont eu le courage de faire tout cela peuvent avoir la désagréable surprise de ne pas voir la réclamation traitée, voire refusée alors que La Poste est en tord. Il faut alors insister, voire passer par le centre d’appel (qui conseille fortement de porter réclamation par internet) : on a l’impression de tourner en rond et il faut vraiment s’accrocher pour obtenir le remboursement des frais de port quand le colis est arrivé en retard ! Ce n’est pas normal d’essayer de décourager autant les consommateurs : si La Poste ne veut plus rembourser énormément d’envois, alors il faut changer les conditions. Actuellement, si le colis arrive en plus de 24h, le groupe s’engage à rembourser l’expéditeur, il n’y a donc pas à chercher la petite bête !

Jusque là, encore, le système ne fonctionnait pas trop mal à part pour les colis, si ce n’est l’entêtement des employés qui refusent de passer les petits objets de moins de 2kg et de 2 cm d’épaisseur au tarif lettre, alors que ce service fait partie du service postal européen ! Passons la polémique pour remarquer qu’en ce moment, ce sont les lettres qui posent problèmes ! Même de simples courriers de moins de 20g n’arrivent plus à destination : quand ils ne sont pas perdus, ils sont retournés à l’expéditeur dans des délais pouvant atteindre 5 mois ! Pourtant, l’adresse est bien la bonne, même après vérification auprès du destinataire !

On ne parlera même pas des envois vers l’étranger, eux aussi toucher par une vague de dysfonctionnements presque systématiques ! La position de La Poste est claire à ce sujet : si on ne veut pas de problème, il faut faire des envois suivis. Mais pour l’étranger, cela coûte souvent bien plus cher que ce qu’on veut envoyer ! Pourquoi mettre 10 € et plus dans des frais de port alors que ce qu’on veut faire parvenir n’a aucune valeur marchande ou presque ? A part forcer les gens à se ruiner inutilement, je ne vois pas l’intérêt de ces modes d’expédition.

On constate aussi que La Poste tente d’imposer ses timbres verts, totalement inutiles mais plus chers que l’écopli : très récemment, les timbres au tarif économique n’étaient plus mis en vente afin de forcer le consommateur à acheter des timbres verts. Contrairement à ce qu’affirme le groupe, les délais sont les mêmes que pour le tarif économiques, mais on paye un peu plus !

La Poste va pouvoir n’en faire qu’à sa tête pendant encore longtemps car aucune mesure n’est prise pour permettre à une véritable concurrence de s’installer. Il ne reste plus qu’au consommateur à rêver à un service postal le respectant !

L’Espagne et la crise

 L’Espagne est actuellement la cinquième puissance économique de l’Union européenne et la douzième puissance économique mondiale. Depuis 2008, l’Espagne connaît la crise économique la plus grave de son histoire. En effet, en 2008, l’Espagne connaît une hausse importante de la dette publique. Cette année, le déficit public atteint 11,2% de son PIB. Par ailleurs, au-delà du déficit public, l’Espagne connaît un fort taux de chômage. En 2010, le taux de chômage atteint 20,05% de la population active. Ce pays connaît donc à la fois une importante crise économique et sociale. 

Pour lutter contre la crise, le gouvernement espagnol a mis en place un plan d’austérité budgétaire. Ce plan visait notamment à réduire les dépenses publiques de 50 milliards d’euros entre 2010 et 2013. Selon la ministre de l’Economie et des Finances, Elena Salgado, l’objectif de ce plan était de maintenant le déficit public à 3% du PIB. En outre, elle a précisé que ce plan de rigueur concernerait toutes les administrations de l’Etat excepté les budgets consacrés à l’éducation et à la recherche.

 

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Nos chères voitures électriques

 

                                             

 

Nous l’avons entendu, le Gouvernement veut encourager l’achat de voitures électriques ou hybrides pour remplacer nos voitures diesel ou essence trop gourmandes en carburant et surtout trop polluantes.

Dans le cadre de ce plan, il nous est donc fortement conseiller d’investir (si on peut employer ce mot quand il s’agit d’une voiture) dans un véhicule non polluant.

Depuis plusieurs années, les constructeurs ont investi eux dans les batteries de plus longue durée.

Les batteries se dégradent au fil des ans comme toute batterie quelle soit dans un ordinateur portable ou un téléphone. Elles ont un coût élevé entre 5000 et 10 000 euros. C’est finalement la pièce du véhicule qui coûte le plus cher.

Les batteries n’ont pas non plus une grande autonomie même si des efforts ont été réalisés dans ce domaine. Actuellement, elles n’ont une durée que d’une centaine de kilomètres. Encore faut-il trouver un plot pour la recharger. Sachant qu’il faut une dizaine d’heures.

On le comprend bien, ces voitures sont réservées aux petits trajets et aux trajets en ville, là où il est normalement plus facile de recharger sa batterie sans tomber en panne d’électricité.

Parlons maintenant de son coût !

Le Gouvernement nous promet un bonus écologique pour l’achat d’un véhicule électrique ou hybride d’un montant situé entre 2 000 et 4 000 euros pour l’achat d’un véhicule neuf hybride et situé entre 5 000 et 7 000 euros pour un véhicule neuf électrique. Ce montant est calculé suivant le montant du prix du véhicule soit 20% de son montant TTC.

Le prix d’un véhicule neuf électrique varie un peu suivant les constructeurs. Actuellement sur le marché trois grands noms ont construit ce type de véhicule : Renault, Toyota et Peugeot. Le premier a construit un Kangoo qui coûte 20 000 euros, un Fluense 25 900 euros et Un Zoé qui sortira en 2013 au prix de 15 500 euros. Ils sont électriques.

Toyota quant à lui propose un Yaris hybride à 18 500 euros, un Prius hybride à 28 000 euros et un Prius rechargeable hybride à 37000 euros.

Peugeot est de loin le plus cher, il ne propose lui aussi que des véhicules hybrides : un 3 008 à 37 800 euros, un 508 à 39 200 euros et un autre 508 à 45 800 euros.

Certes, l’entretien de ces véhicules est moins onéreux que pour un véhicule « normal » le carburant électrique est moins cher aussi, mais il reste le prix à payer !

Alors, quand allons-nous acheter un véhicule hybride ou électrique ? Et pour qui ce type de véhicule ?

En tout cas, pas pour moi qui habite en pleine campagne, qui travaille à plus de 60 kms de mon domicile et qui ne suis pas certaine de trouver une borne pour recharger mon véhicule pour rentrer chez moi !

Ah ! J’oubliais un détail : elles sont très silencieuses. Mais avantage ou inconvénient ?

On ne les entend pas arriver… j’ai fait l’expérience un jour avec un véhicule de La Poste…

 

Les vacances deviennent un luxe pour beaucoup de Français.

 

Selon les statistiques, près de 42 % des Français ne partent pas en vacances d’été et plus de la moitié qui ont la chance de le faire partent dans la famille ou chez les amis. Cette fracture touristique entre les classes sociales fait l’objet de différentes études par le gouvernement actuel pour essayer d’améliorer  la situation.

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Louer de l’outillage peut être une solution économique.

 

 

On peut avoir une âme de bricoleur et s’adonner régulièrement à des petits travaux d’entretien ou de restauration dans son habitation. Mais dans ce domaine, à moins d’être un pro, il est parfois difficile d’avoir tout le matériel nécessaire pour bricoler dans les meilleures conditions. Alors pourquoi ne pas opter pour le système de location, qui permet d’avoir des outils adaptés à des prix raisonnables !

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Les européens adaptent leurs vacances d’été.

 

C’est le moment de penser aux vacances d’été, mais cette année le contexte économique difficile fait que les intentions de départ en vacances ne sont plus les mêmes pour la plupart des européens.

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