De l’écologie : billet d’humeur

Des gourous du développement durable

Lorsque j’ai écrit cette chronique écologique, il y a 4 ans, je l’avais intitulée : « des ayatollahs du développement durable » mais comme je n’ai pas envie de me faire buter par un de ces barbares barbus et de connaître le même destin que les artistes de Charlie Hebdo, j’ai choisi le mot « gourous » tout aussi dangereux idéologiquement mais un peu moins meurtriers !

Qu’a-t-il bien pu se passer en si peu de temps pour que notre monde fût autant affecté par le CO2 ? Ce gaz inoffensif aux faibles concentrations, présent dans notre atmosphère, est devenu, en quelques années, le guide suprême de nos existences, le dictateur absolu, le Duce, le Führer, bref, le nouveau Néron.

En effet, sa nature gazeuse et donc insaisissable, l’apparenterait plutôt à une créature mystique plus proche du Dieu vengeur punissant les hommes de leurs péchés que du tyran ordinaire.
Bien entendu, comme toute créature divine, il n’est rien sans ses disciples ou ceux qui prétendent l’être : j’ai nommé les écologistes, pas les vrais, pas ceux qui étudient sérieusement les problèmes réels, non, je veux  parler de ceux qui passent à la télé.

Mon premier contact avec l’un de ces individus fût fortuit. Un de mes amis avait reçu en cadeau un bouquin aux photos assez jolies et appelé « La terre vue du ciel ».
Poussée par la curiosité, je m’informais sur cet ouvrage et découvris   le nom de l’auteur : Yann Arthus Bertrand.

Palsambleu ! Pour être affublé d’un nom pareil, la famille ne devait pas se prendre pour de la merde en sachet !
Trois clics de souris sur internet me confortèrent : la famille était dans la joaillerie, j’avais vu juste.

J’appris ainsi, qu’après une brève carrière d’acteur dont il n’est sorti aucun joyaux impérissable digne d’une palme d’or, il avait voué sa carrière à la photo après avoir géré une réserve naturelle. Fort bien.

Par la suite, j’oubliai le personnage jusqu’à sa réapparition écologique il y a quelques années.

Le ton avait changé.
L’heure était grave et la mise en accusation sérieuse.
Cet homme m’avait déclaré coupable de tous les maux simplement parce que je prenais une douche tous les jours, et même deux fois par jour parfois, que je générais trop d’emballages en carton, que j’avais une voiture que j’entendais utiliser (au prix qu’elle m’a coûtée !) et que de temps à autre, je jetais dans la poubelle le reste de pâtes que je n’avais pas fini.

Je replongeais dans la biographie de ce personnage afin de m’informer depuis quand il avait repris ses études pour posséder une aussi admirable analyse du problème et des solutions à apporter.

Que nenni ! Il avait passé son temps à survoler la planète en long et en large, ses mois de janvier à couvrir le rallye Paris Dakar, bullé à Roland Garros au mois de juin et arpenté les allées du salon de l’agriculture. Diantre ! Que d’empreinte carbone et le gars de me reprocher de me laver tous les jours !

J’espère qu’il n’avait pas fait de mauvaise rencontre au salon de l’agriculture car il m’a été rapporté qu’il y circulait un sinistre individu qui disait « casses toi pauv’con » à ceux qui refusaient de le saluer. Mais ce sont vraisemblablement des fables dans le genre de celles qu’on raconte aux enfants pour leur faire peur.

Pour revenir à notre YAB, nous avons maintenant une bonne vision de l’application qu’il peut faire à lui-même de ses préconisations pour les autres.

Bon, on peut au moins lui accorder le mérite de s’être farci durant dix ans de suite sur le Dakar, un crétin patenté du calibre de GH (je vous laisse deviner qui est GH) ce qui lui accorde toute ma compassion.

Mais la cerise sur le gâteau en ce qui concerne notre grand homme, arriva tout à fait par hasard sous la forme d’une conversation avec une copine qui avait participé à une conférence organisée par son entreprise. YAB devait intervenir en fin de journée pour un cachet que la confidentialité et surtout la décence m’interdisent de dévoiler mais très largement supérieur à mon salaire annuel.

Il prit la parole cinq minutes environ avant de prétexter un rendez-vous important (un truc mieux payé ailleurs) et de laisser la parole à l’un de ses sous-fifres qui enfonça des portes ouvertes pendant l’heure que dura son intervention. Le type le mieux payé au monde n’est pas Bill Gates. Au tarif horaire, il est enfoncé par YAB !

Mon enquête aurait été bien incomplète si je ne m’étais point intéressée au second donneur de leçon qui squatte abondamment nos écrans, plats si vous avez les moyens, je veux bien sûr parler de Nicolas Hulot.

Le nom est plus sympathique, plus peuple, et on se dit que ce personnage devrait moins nous prendre de haut.
Je connaissais évidemment la partie émergée de l’iceberg sous la forme de ses reportages au nom totalement imprononçable d’une contrée reculée d’Amérique du Sud où je ne poserai jamais mon 36 fillette et diffusés par une chaîne nationale.
Une rapide lecture de sa biographie m’informa qu’il avait pour point commun avec le précédent d’avoir, lui aussi, fait un Paris Dakar.

Décidément cette course poussiéreuse suscite les vocations, à moins qu’il n’y ait un micro climat.

J’appris également qu’il animait une chronique motocycliste sur France Inter dont le titre évocateur était : « la poignée dans le coin ». Fichtre, un titre pareil aujourd’hui lui vaudrait à minima 48 heures de garde à vue.

Cet ex « rejeteur de CO2 »  converti à l’écologie me valut deux grandioses crises de rire.

La première lorsqu’il se mit en tête de faire un petit tour dans un avion de chasse et où il devait assurer le commentaire.
Au bout d’une minute de vol environ, notre athlète avait gerbé dans son casque avant de préférer s’évanouir pour ne pas voir la suite.

De là doit lui venir son aversion pour les transports peu économes en énergie et son amour du pousse-pousse.

La seconde fut l’inénarrable blague téléphonique de Lafesse qui réussit à faire croire à une brave dame que Nicolas Hulot remontait par les canalisations et allait bientôt apparaître dans sa cuvette de WC.
Ce que peut faire la notoriété ! Je ne sais pas si le droit de vote pour tous est une bonne chose, il devrait y avoir un permis de vote.

De  petits détails m’interpellaient sur la cohérence du personnage, la chaîne qui diffusait son émission fétiche vivant exclusivement des recettes publicitaires procurées par ses annonceurs.
Je m’interrogeais alors sur son degré d’indépendance au cas fort improbable je vous l’accorde, où son propos aurait pu être contraire aux intérêts de ces derniers.

L’émission devant coûter un peu cher du fait de voyages lointains et de l’utilisation de moyens de transport parfaitement écologiques du type avions, hélicoptères et volumineux 4×4, cette chaîne avait besoin de sponsors pour arrondir ses fins de mois.
C’est d’abord Rhône Poulenc qui s’y colla, ancêtre commun d’Aventis spécialisé dans la chimie pharmaceutique et de Rhodia œuvrant dans une chimie plus lourde avant que le flambeau ne soit repris par EDF et L’Oréal.
Rien que de grands philanthropes ! Ce mélange des genres me laissait perplexe.

L’écologie médiatique d’aujourd’hui a ceci d’étonnant qu’elle est portée presque exclusivement par de gros pollueurs repentis ou par des entreprises désireuses de repeindre, en vert, leurs activités, un peu comme si pour devenir flic il fallait absolument passer par la case malfrat.

Il est certain qu’après avoir fait fortune en exploitant la crédulité et le sentiment de culpabilité du citoyen moyen pendant vingt ans, certaines mises en application de leurs préceptes deviennent plus faciles. Il est, ainsi, plus aisé d’aller bosser à TF1 en vélo si on habite un hôtel particulier dans le 16ème plutôt qu’une tour HLM à Sarcelles.

J’allais oublier le dernier écolo médiatico-drôlatique, un des plus emblématiques qui voulait faire la révolution en 68, changer le monde et nous faire vivre à la cubaine.
Le voilà aujourd’hui qui vient nous donner de nouvelles leçons, quarante ans plus tard, après il est vrai, avoir subi une assez longue éclipse dans un pays voisin avec qui nous avons une relation du type : « je t’aime moi non plus ».

Il est venu nous expliquer, sans rire, qu’il était favorable à un péage urbain à Paris au prétexte que la circulation y était catastrophique.
Puis-je émettre l’opinion que si les élus à la mairie de Paris ainsi que ceux d’autres villes ne s’étaient pas évertués depuis près de dix ans à empêcher toute circulation par des aménagements saugrenus, le problème ne serait peut-être pas aussi crucial ?

Cependant, force est de constater que ça marche et bien pire encore, les décisions les plus abracadabrantes, que dis-je, abracadabrantesques, deviennent pour le grand public force de loi.

Ainsi :

–    Il faut acheter des voitures, soutenir nos constructeurs en difficulté pour sauver nos emplois, mais il est très mal vu de les utiliser. Trop polluantes, trop encombrantes dans nos villes et trop dangereuses car comme chacun sait, nous sommes tous des irresponsables qui ne savent pas conduire et leur destin est nécessairement de finir enroulées autour d’un arbre. Elles sont donc à bannir. Ainsi, voyez uniquement dans l’achat de votre prochaine voiture, un acte de soutien aux actionnaires de Renault ou de PSA

–    Il faut se chauffer au bois, c’est plus sain. Je ne sais pas si la maire de Paris apprécierait de me voir scier les quelques platanes maigroulets situés devant mon immeuble mais cela pourrait être amusant et puis ça éviterait de voir quelques voitures s’enrouler autour. Je rappelle que la combustion du bois est toute aussi voire plus polluante que celle du charbon. Je connais l’argument massue de l’écolo de base qui m’expliquera que, durant sa vie, l’arbre a absorbé plus de CO2 que durant sa combustion, ce à quoi je rétorquerais : « Et si on le laissait sur pied ? »

–    Il faut prendre les transports en commun. A l’heure de l’individualisme forcené, c’est le seul lieu de collectivisme non seulement toléré mais fermement recommandé. Qu’importe qu’ils soient saturés, puants, sales, peu pratiques et peu fiables, il s’agit d’un acte citoyen incontournable. Allez hop ! Tous dans la bétaillère !

–    Il faut de la croissance, c’est à-dire produire plus, plus d’objets inutiles, plus de placebos pour lutter contre la vieillesse et les chairs flasques (certains sponsors précités ne vivent presque exclusivement que de ce mirage) et de pseudo solutions du genre éoliennes, panneaux photovoltaïques ou bouses de vache à la production poussive et inversement proportionnelle au taux d’aide qui leur sont accordées

Tout cela, bien sûr, financé par un contribuable apathique et des clients d’EDF captifs.
Ceux qui payent des impôts et ne s’éclairent pas à la bougie paieront deux fois.

Ce ne sont que quelques exemples mais ils démontrent à quel point une immense schizophrénie s’est emparée de ce monde qui veut tout et son contraire.

Remarquez, cela nous vaut de très grands moments télévisuels.

Ainsi cette illuminée ayant subitement décidé de vivre dans une yourte sur des sommets enneigés et se lavant à la neige fondue ou ces étudiants bobos stockant leur compost dans la commode du séjour de leur studette de 18m² en attendant que les vers accomplissent leur œuvre. L’idée que la vermine grouillante qui peuple ce tiroir se développe dans mon appartement me fait frémir.

A bon entendeur salut !

Le réchauffement climatique ne serait que pure fiction ???



Je ne veux pas avec cet article me faire le détracteur de scientifiques qui affirment avoir raison sur le sujet que je vais traiter ci-dessous, ni me mettre à dos les écologistes, mais je me dois tout de même d’informer mes lecteurs d’un doute qui s’est installé sur un sujet brûlant, à savoir le réchauffement climatique.
En effet, au contraire des scientifiques que je citais plus haut, d’autres tout aussi sérieux soutiennent que la thèse du réchauffement climatique est totalement fausse.

Ainsi, les grands-prêtres du changement météorologique, soutiennent que :

1 La terre se réchauffe et l’augmentation de la température du globe sur un siècle, devrait-être de 6°
2 – Ce sont les émissions humaines de CO2 les seules à l’origine de ce réchauffement
3 Il faut s’attendre très rapidement à une montée du niveau des océans
4 La fonte des glaciers est inéluctable
5 Nous devons nous attendre à une augmentation des phénomènes de type tornades.

Pourtant, selon l’éminent Directeur de l’université anglaise d’East Anglia, Phil Jones, qui dirige le "Climate Research Unit" tout ce qui a été dit précédemment par ses confrères… Serait totalement faux !
Il affirme que sur l’ensemble du globe terrestre, la température n’a pas bougé du moindre degré depuis 1997, et ce, malgré les rejets de CO2, liés à l’ère industrielle depuis cette période.
Il est permis de s’interroger, quand on sait que Phil Jones et l’un des principaux acteurs du GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).
De plus il est suivi dans ses théories par des scientifiques de renom, tel Richard Lindzen (titulaire de la chair Alfred Sloan du MIT) et des instituts indépendants on ne peut plus sérieux (GISS, NOAA,HadCRUT,UAH ou encore RSS). Tous s’entendent à dire que la température de la terre stagne bel et bien depuis 1997.

On sait en outre aujourd’hui que la fameuse courbe en "Hockey Stick" qui démontrait que la température du globe était en ascension brutale, est une imposture.
Il serait selon des spécialistes du soleil plus judicieux et sérieux, de parler de cycles de 60 ans, durant lesquels la température du globe fluctue, à savoir qu’elle baisse, monte, stagne, etc.
D’ailleurs, il est incontestable que notre planète bleue a subi une phase de refroidissement entre 1945 et 1960, suivie d’une autre de réchauffement de 1975 à 1997. C’est durant cette dernière période, vous l’aurez compris, que la théorie du réchauffement climatique est née.
Sachez enfin que la réelle montée de température n’était que de 0,6° entre 1975 et 1997, tout comme entre 1915 et 1940, époque où les rejets de CO2 dans l’atmosphère étaient pourtant moindres.

Pour terminer son propos Phil Jones a déclaré, je cite : "nous sommes actuellement dans le cycle haut et il est probable que très prochainement la température va baisser"

Pour finir, S.K Solanski chercheur de l’institut Max Planck avait déclaré que le soleil sortait d’une période de 60 ans d’activité très intense, jamais vue depuis 6 000 ans, qui s’inversait en ce moment pour laisser entrevoir l’arrivée d’une période plus froide.

A chacun de se faire une idée à présent, en comparant l’une et l’autre des théories sur le réchauffement climatique.

(Sources : resistance2017.net)

Le bioéthanol d’algues plus performant

Les écologistes pestent contre le bioéthanol qui gèle des terres arables pour l’alimentation et renchérit le coût des carburants mais aussi contre les algues, envahissantes et nauséabondes parfois. La découverte d’une nouvelle bactérie de type E. coli, capable de transformer les algues en biocarburant, pourrait les faire réviser leurs positions.

Continuer la lecture de « Le bioéthanol d’algues plus performant »

VOITURES : Prenez-en une à pédale, vous serez moins taxé.

Voilà après les nombreuses taxes dont nous faisons l’objet depuis un certain temps.

Une nouvelle mesure, risque d’apparaître très prochainement.

 

 

Elle concerne un malus annuel pour les véhicules polluants. Ce sont donc tous les détenteurs de voiture, émettant plus de 250 grammes de C02 par kilomètre, qui vont désormais et encore une fois ouvrir leur porte-monnaie chaque année. Pour payer la somme non négligeable, de 160 euros.

 

Cette loi vient d’être présentée ce mercredi et elle sera appliquée à partir du 1er janvier 2009.

 

Pour l’instant, elle ne concernerait que les véhicules neufs, mais on connaît le système. Aller en douceur pour pouvoir appliquer à tous plus tard.

Elle s’ajoutera à celle déjà acquittée, lors de l’achat d’une voiture neuve. Le bonus/malus étant maintenu.

 

Mais tous les conducteurs dont le véhicule dépassera cette norme, n’y échapperons pas, un jour où l’autre.

Et sous couvert de protéger l’environnement, on rempli les caisses de l’Etat.

 

A force de nous taxer de toutes parts, nous allons bientôt ne plus pouvoir payer nos factures, avec les salaires qui n’augmentent pas. Comment ferons-nous à ce moment là ?

 

Car il ne faudrait pas oublier que nombre de travailleur n’habite pas en ville et ne peuvent donc pas prendre les transports en commun, pour se rendre sur leur lieu de travail.

Que nombre de travailleur, avec l’emploi qui se raréfie, ont été obligés de prendre un emploi à 30, 50, 60 kms de chez eux.

 

On nous prend vraiment pour des vaches à lait. Mais lorsque celles-ci n’auront plus de lait. Il faudra bien revoir les choses, car cela ne peut durer indéfiniment de cette manière.

 

Les radars, sont de plus en plus nombreux et on parle d’en installer encore un nombre très important.

Les points sautent pour de petites infractions.

Et si vous voulez récupérer ceux-ci, il faut encore payer, pour un stage qui est loin d’être ce qu’il devrait être.

 

Le permis de conduire " blanc" a été supprimé, ce qui fait que si vous travaillez loin de chez vous, pour ne pas perdre votre emploi, vous êtes obligé de conduire sans permis.

Car vous n’avez pas le choix, ou vous respectez la loi et vous perdez votre emploi, et  à ce moment là, vous ne pourrez plus assumer, ni vos dettes, ni vos factures et ne pourrez plus protéger votre famille. Ou vous ne la respectez pas et gardez votre emploi.

On vous oblige à être un délinquant, malgré vous.

 

On sait qu’avec la crise les français vont souffrir. Qu’ils auront encore moins de pouvoir d’achat.

Mais cela n’empêche pas le gouvernement de créer encore de nouvelles taxes et d’appauvrir un peu plus les citoyens que nous sommes.

On doit le reconnaître avec ce gouvernement, nous n’avons jamais été autant gâtés, nous n’avons jamais vu autant de taxes voir le jour.

UNE SOLUTION POUR FAIRE DISPARAITRE LE CO2 DE LA SURFACE DE LA TERRE

Là où de  nombreuses sociétés essayent de trouver la solution pour diminuer la production de CO2 , on a trouvé une solution pour faire disparaitre ce gaz à effet de serre de la surface de notre globe en….l'enfouissant , tout simplement! dans le sahara algérien , dans des réservoirs naturels souterrains  des milliers de metres cubes de CO2 sont injectés chaque année .

Retrouvez le reportage sur le site de Krechba ":Algérie : du CO2 enfoui sous terre pour éviter qu’il ne pollue" que nous propose depuis le 3 juin , en libre accès sur leur page web , medi1sat ,chaine d'info de grand maghreb

http://www.medi1sat.ma/fr/info.aspx?idact=2151#

Le stockage du CO2 , encouragé par Bruxelle ,se développe en France,

Dans un précedent article je vous rappelais que le méthane lui aussi, gaz à effet de serre etait produit notamment par les dechets . Veolia va enfouir chaque année 200.000 tonnes de CO2, émis par la combustion du méthane provenant  des déchets stockés à Claye-Souilly, sa plus grande décharge en France.

Le CO2 sera ensuite "injecté, sous contrôle, dans un aquifère salin, situé à plus de 1.500 mètres de profondeur pendant plusieurs années

D'autres sociétés grandes ou petites se sont lancées dans ce projet , ainsi un petit producteur de vin espagnol , a déjà mis en place ce procédé pour stocker le carbone récupéré lors de la fermentation des raisins

POURRIONS NOUS SAUVER LA PLANETE EN REMPLAçANT LES VACHES PAR DES KANGOUROUS?

La plus grande partie du rayonnement solaire traverse directement l'atmosphère pour réchauffer la surface du globe. La terre, à son tour, "renvoie" cette énergie dans l'espace sous forme de rayonnement infrarouge de grande longueur d'onde. La vapeur d'eau, le gaz carbonique, et d'autres gaz absorbent ce rayonnement renvoyé par la terre, empêchent l'énergie de passer directement de la surface du globe vers l'espace, et réchauffent ainsi l'atmosphère. L'augmentation de la teneur atmosphérique en gaz à effet de serre peut se comparer à la pose d'un double vitrage : si les apports de rayonnements solaires à l'intérieur de la serre restent constants, la température s'élèvera.

Mais le gaz carbonique (CO2) n'est pas le seul gaz à effet de serre la vapeur d'eau (H2O), le méthane (CH4) ,l'ozone (O3), molécule formée de trois atomes d'oxygène et le protoxyde d'azote(ou N20)nom savant du gaz hilarant ,sont eux aussi facteurs important de ce réchauffement de la planete dont on nous parlait déjà dans les années 90,

d'après une page web que j'ai consultée  (http://www.manicore.com/documentation/serre/gaz.html ) un kg de méthane "fait" 25 fois l'effet de serre cumulé sur un siècle d'un kg de gaz carbonique, ou encore que le méthane est un gaz 25 fois plus puissant que le gaz carbonique pour l'effet de serre. (30 fois d'après certaines autres recherches)

 

trop compliqué pour que je vous l'explique en quelques mots ,je vous propose donc si vous souhaitez de plus amples calculs de vous rendre sur la page mentionnée. ou sur : http://www.lefigaro.fr/sciences/2008/03/01/01008-20080301ARTFIG00105-le-methane-un-gaz-aussinuisible-queleco-.php

Mais revenons donc au méthane qui est le composant principal du gaz naturel . Pour faire court , les méthane est produit par la  fementation et se dégage naturellement de certaines zones humides comme les marais  et les terres inondées. Il se forme aussi dans l'estomac des mammifères. Ce gaz est d'ailleurs présent en faible quantité dans les flatulences humaines (cf wikipedia)il est également libéré par  les décharges d'ordures ménagères

cf l'article  Quand le méthane des marécages réchauffait la planète : http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/climatologie-1/d/quand-le-methane-des-marecages-rechauffait-la-planete_15359

 

Un mouton rejette environ 7kilos de metane par an , une vache laitiere 90.

20 millions de moutons et boeufs au mali , 100 millions de moutons en australie, les gouttes d'eau ressemblent plutot à des mares !

Les australiens ont donc étudié le probleme , et ont constaté que les kangourous ont dans l'estomac une bactérie qui permet à leurs flatulences de ne pas contenir de méthane

L'équipe du Dr Athol Klieve étudie donc la possibilité de transplanter cette bactérie dans l'estomac des moutons d'autant que leurs recherches ont permis de constater que cette bactérie permettait une digestion des aliments plus efficace « et pourrait potentiellement entraîner une économie de fourrage pour les éleveurs » on pourrait également ,comme le proposent certains augmenter la consommation de kangourou dans le monde : Pas d'antibiotiques, pas de vaccins, pas d'élevage industriel : la chair du kangourou est “pauvre en graisses, riche en protéines et on ne peut plus saine”, rapporte le Pr Peter Ampt, de l'université de Nouvelle-Galles du Sud.

sauver la planete mais aussi peut etre aider à combattre la crise alimentaire :idée à suivre !

Les microalgues, une solution d’avenir ?

Alors qu'elles sont déjà amplement utilisées dans l'industrie des cosmétiques et qu'elles sont reconnues pour leur valeur nutritive, on pense de plus en plus à utiliser des algues microscopiques dans l'élaboration des biocarburants.

Les agrocarburants qui avaient semblé de prime abord la panacée pour faire face aux problèmes de pollution et de raréfaction des ressources en pétrole, se sont vite révélé des échecs tant d'un point de vue économique qu'écologique. Les algues microscopiques, appelées aussi microalgues, qui, malgré leur abondance, ne représentent qu'une infime partie des ressources alimentaires pourraient, quant à elles, être utilisées pour fabriquer du pétrole vert sans faire exploser le prix des denrées alimentaires.

De plus, les microalgues sont réputées pour la quantité de dioxyde de carbone qu'elles absorbent en face de croissance, ce qui réduirait leur impact sur l'environnement lorsqu'on les utilise comme carburant. Un autre des avantages des microalgues est leur faciliter de culture, on peut en effet les cultiver sur pratiquement toutes les surfaces aqueuses, sans occuper donc de terrain agricole, et leur croissance est jusqu'à 15 fois supérieure à celle de la plupart des végétaux.

Ainsi, elles pourraient être cultivées à proximité des centrales de production de biocarburant et elles profiteraient même des émanations polluantes de CO2 des usines qui les transformeraient en pétrole vert puisqu'il est prouvé que les végétaux croissent plus vite en présence de dioxyde carbone.

Pour finir, il est à noter qu'à masse égale on peut extraire jusqu'à 30 % d'huile en plus des microalgues que des végétaux actuellement utilisés dans la production de biocarburants.

Des recherches sont actuellement effectuées à grande échelle près de Potsdam en Allemagne afin de déterminer quelle algue microscopique particulière est la plus rentable pour la production de carburant.

Un grand avenir semble s'ouvrir pour ces microalgues qui nous permettront peut-être de nous affranchir des hydrocarbures sans pour autant faire exploser le prix du maïs et du blé.

CO2 : Bonus/malus selon le véhicule

Depuis le 1er janvier 2008, les propriétaires d’un véhicule neuf peu polluant peuvent obtenir un bonus. A contrario, un malus de 2600 euros est prévu pour les véhicules très polluants. Seuls les véhicules émettant entre 130 et 160 grammes de CO2/km ne seraient pas touchés par le bonus ou le malus.

Le bonus sera versé lors de la 1ère immatriculation du véhicule, à condition que les émissions de gaz soient inférieures à 130 gr de CO2/km. Il sera compris entre 200 et 1000 euros.

Selon le Ministère, ces véhicules représenteraient actuellement 30% des ventes.

A noter qu’un "super-bonus" de 300 euros s’ajoutera au bonus initial si l’achat du véhicule neuf permet de remplacer un véhicule de plus de 15 ans.

Le malus, quant à lui, se monterait à 200 euros, voire jusqu’à 2600 euros selon le niveau de pollution.

Si tout va bien, les recettes du malus permettront de couvrir les bonus, et « super-bonus ». L’objectif étant d’inciter les constructeurs automobiles à faire de plus en plus d’efforts en matière d’écologie.

Environnement : l’UE ferme et ambitieuse

Mercredi 23 janvier, la Commission européenne, dans le cadre de son plan de lutte contre le réchauffement climatique, a annoncé ses propositions. Dans un secteur encore trop délaissé par les Etats-Unis et la Chine, l’UE veut se poser en exemple et espère être suivie dans sa volonté de protéger l’environnement.

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Air Canada neutralise ses émission de GES

Dernièrement, on apprenait que le gouvernement canadien ne remplirait pas ses engagements en rapport au protocole de Kyoto. Cependant, les gouvernements ontariens et québécois on clairement indiqués qu’ils étaient en faveur de ce même protocole. Mais nous, en tant que citoyens concernés et conscient des bêtises du gouvernement conservateur, que pouvons-nous faire pour contrer cela ?

Et bien, désormais, l’entreprise d’aviation Air Canada offre la possibilité aux voyageurs de compenser leurs émissions de gaz à effets de serre en achetant des crédits permettant la plantation d’arbre. En effet, par le biais de l’organisme sans but lucratif Zerofootprint, les clients ont la possibilité de compenser les effets de leur voyage en avion.

En date du 10 décembre, les résultats sont plutôt encourageants. 658 arbres ont été plantés, 3090.2 tonnes de CO2 ont été compensés, ce qui équivaut à 1075 voitures retirées de la circulation pendant toute une année ! De plus, ce n’est pas très dispendieux. Par exemple, pour un aller-retour entre l’aéroport Jean Lesage à Québec et l’aéroport Charles de Gaulle à Paris, les émissions de CO2 pour une personne s’élèvent à 1.1 tonnes, ce qui coûterait à un passager seulement 17.60 $ canadien, où 11.88 euro.

Pour de plus amples informations, ainsi que des statistiques à jour, le site Internet de Air Canada pour ce programme est :

http://www.aircanada.com/fr/travelinfo/traveller/zfp.html

Celui de l’organisme Zerofootprint, pour calculer votre émission de CO2 est :

http://flightoffsets.zerofootprint.net/(S(o5mmfivdw5zz4qrrtoqv2r55))/fr/calc.aspx