J’ai encore lu récemment quelque part que, à la prochaine rentrée, des postes de professeur·e·s d’anglais ne seront pas pourvus, faute de reçu·e·s aux concours, y compris sur la très demandée académie de Paris… Mais, mais, par hasard, ne serait-ce pas dû à la très surprenante sévérité des examinateurs des Capes et « pilipilideux » (CAPLP2) d’anglais ? La question est posée.