SuperMeat : la viande artificielle bientôt dans nos assiettes ?

Nourrir les futures générations de Terriens comme je le disais dans un de mes articles précédents, pose un véritable problème.
En effet, les ressources alimentaires dans un avenir que les spécialistes disent proche, ne suffiront hélas plus à assurer les repas quotidiens des milliards d’habitants de demain.
C’est pour cette raison, que des chercheurs emploient des trésors d’ingéniosité, pour trouver des alternatives, aux denrées que nous connaissons aujourd’hui…
Certains peuples ont déjà mis à leur menu des aliments qui nous rebutent, mais dont eux se délectent depuis la nuit des temps, tels que les insectes par exemple…
Par contre, il est difficile de se convaincre que l’ensemble des membres de la communauté scientifique, n’est constitué que de laborantins altruistes uniquement désireux d’assurer l’avenir de leurs congénères, tant certaines de leurs méthodes, de leurs découvertes, les font ressembler à des Docteurs Mabuse se moquant totalement de l’éthique médicale…
Dans cet article, je tenterai de vous expliquer au mieux, où en sont certaines des dernières recherches en matière de nutrition…

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Les troubles alimentaires, une conséquence des régimes amaigrissants chez les jeunes

 

 

 

 Les régimes amaigrissants causeraient de sérieux dommages physiques et psychologiques pour les jeunes adolescents. Véritables risques, les régimes amaigrissants se révèlent être les principales conséquences des troubles alimentaires chez les jeunes.  


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Le triple zéro, la nouvelle mode suicidaire…

 

Je ne pense pas être de ces hommes qui sont contre les effets de mode, tout au plus suis-je de ceux qui dénoncent les dérives.

Je m’inquiète simplement de certains phénomènes qui se développent et mettent en péril l’avenir de certains de nos ados.

Ainsi voit-on sur les réseaux sociaux se développer de plus en plus des défis, baptisés "nominations" qui incitent les jeunes (en grande majorité) à dépasser les bornes du bon sens, et à se mettre en danger quand ils ne périssent pas sous le feu des enregistrements vidéos de leurs téléphones portables.

Alors imaginez ma réaction, quand je lis au hasard d’un article sur le net, qu’un phénomène récent nous venant directement des States, vient de franchir nos frontières. Il s’agit de la mode dite du "triple zéro", qui ferait déjà fureur chez des adeptes inconscientes.

Le magazine Grazia aurait en effet récemment révélé une nouvelle tendance à Hollywood, qui ne prônerait plus la minceur, mais ce qu’il conviendrait d’appeler une extrême maigreur.

Plusieurs célébrités américaines seraient, d’ores et déjà, adeptes de cette discipline suicidaire.

En effet, il ne suffit plus pour une adolescente d’arborer une taille zéro en Jean (34/36), ni même une taille zéro qui équivaut à une taille 32 en France, mais carrément de passer au "triple zéro" qui descendrait donc bien en dessous de la taille 32 et obligerait à avoir un tour de taille n’excédant pas 58 centimètres, soit celui d’une enfant de 6 à 8 ans !

Seul but de la manœuvre, attirer l’attention de la presse People, friande de ce genre de dérives quoi qu’on en dise.

Chez les stars, la fille adoptive de Lionel Richie (Nicole Richie), serait l’instigatrice de ce phénomène de mode et ferait logiquement des adeptes parmi ses nombreuses fans.

James Guizan, célèbre coach de stars, interrogé par Grazia aurait déclaré, je cite : "ces célébrités se prennent en photo pour que le public admire leurs corps amincis. Mais ce que l’on ne voit pas, c’est la faim, la douleur et les blessures qu’elles s’infligent."

Et il rajoute : "que Nicole Richie serait capable de passer une journée entière avec juste un bol de céréales et un morceau de fruit dans l’estomac"

 

La tendance du "Selfie" consistant à se prendre soi-même en photographie et à poster son "œuvre" sur les réseaux sociaux, n’arrange pas vraiment les choses et va pousser bon nombre d’adolescentes, à imiter leurs nouvelles idoles.

 

A n’en point douter et de l’avis des experts, un retour vers l’apologie de la maigreur est à craindre.

 

(Sources Medisite Santé)

Serez-vous un jour prêts à tester l’alimentation du futur ?


Si vous pensiez avoir tout entendu en matière de nourriture, vous allez très certainement tomber de haut en lisant cet article.

Bien entendu, avec la surpopulation de la planète prévue dans quelques décennies, on ne peut raisonnablement plus penser à s’alimenter de la façon dont nous le faisons aujourd’hui.

D’ailleurs cette manière de se nourrir a déjà subie de nombreuses évolutions.

Au tout début, l’homme était "chasseur-cueilleur" avant de revêtir sa panoplie de paysan et de cultiver lui-même ses fruits et légumes ou encore d’élever des animaux, pour sa consommation.

Ensuite il en a fait une activité, un commerce afin de permettre aussi à ses congénères de manger à leur faim.

 

Avouez que les "chasseurs-cueilleurs" seraient complètement perdus s’il revenaient à notre époque, pour ne pas dire qu’ils crieraient au scandale face à nos méthodes.

 

J’ai connu comme beaucoup d’entre vous, certaines phases de ces évolutions, telles que l’intensification des cultures, l’arrivée des premiers supermarchés dans les années 1970, les nouvelles tendances de la restauration rapide et enfin les organismes génétiquement modifiés.

 

Par contre là où j’ai du mal, c’est quand on me dit qu’il n’est plus utopique, que dès demain, on puisse placer dans mon assiette, une pièce de viande issue de cellules souches cultivées in vitro, qui après manipulations deviendraient en quelque sorte du "muscle animal artificiel"!

Sachez que les chercheurs ont quasiment réussi ce tour de force. En tout cas contribuent-ils à développer ce que l’on appelle désormais les "novel foods".

 

Qu’est-ce donc ?

 

Eh bien obtiendront ce "label" tous les aliments que l’homme n’a pas eu pour habitude de consommer autrement que de manière traditionnelle sur le vieux continent depuis le 15 mai 1997. Les ingrédients ou aliments "novel foods" devront en effet avoir été modifiés dans leur structure moléculaire.

Ils seront en exclusivité issus de micro-organismes tels que champignons (unicellulaires), algues, ou encore extraits de plantes et animaux.

Le but selon les chercheurs serait en priorité d’augmenter les valeurs nutritives et également la production d’aliments.

 

Quelques exemples précis ?

 

Le remplacement progressif des huiles d’olive ou tournesol par d’autres issues de la Schizochytrium, algue unicellulaire réputée bien plus riche en oméga 3.

Plus fort encore une entreprise aurait élaboré une huile alimentaire à base du krill superba (une sorte de crevette), qui trouverait son utilisation dans les produits boulangers ou les boissons !

 

La liste est si longue, que l’agence européenne de sûreté alimentaire (l’Efsa) aurait dors et déjà publié un catalogue des molécules et organismes susceptibles de venir grossir la liste des "novel foods".

L’Efsa, seul organisme officiel habilité à les valider ou non, aurait par ailleurs déclaré que tout OGM serait exclus de la liste des "novel foods".

 

 

Reste encore à peser le pour et le contre, quant à la réelle utilité et la non dangerosité de ces aliments, même si l’Efsa assure qu’ils soient totalement inoffensifs.

 

Pour ma part, je préfère rester prudent.

 

Oserais-je vous souhaiter bon appétit ?

 

 

 

Pour la malbouffe, suivez-moi !

 Il y a quelques semaines, j’avais choisi de lire un livre que je n’aurais jamais dû acheter ! J’aurais mieux fait de ne jamais ouvrir une seule page de:

"Vive la Malbouffe!". 

Pourquoi, allez-vous me demander ? Parce que maintenant mes incertitudes n’en finissent plus de me poser des questions. Pire encore, mon inquiétude est devenue bien légitime avec les dernières actualités concernant notre alimentation.

Juste après avoir refermé ce livre au titre provocateur et cynique, j’ai tout de suite regretté de l’avoir lu jusqu’au bout. Le constat est édifiant, pour ne pas dire alarmant.

C’est le livre des horreurs culinaires dans nos assiettes. Un inventaire non pas à la Prévert, mais des substances toxiques, des fraudes et des escroqueries concernant la sécurité alimentaire à toute les pages. Même la la filière bio est concerné, c’est dire l’importance des dégâts ! Après ça, le cheval dans les lasagnes serait presque gentillet.

 

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Avaaz contre Mosanto : la guerre du concombre au melon

C’est comme je l’ai reçue : une proposition d’Avaaz (.org) de signer une pétition contre Mosanto. Selon l’organisation, Mosanto, déjà connue pour les semences OGM de céréales, s’en prendrait à présent aux fruits et légumes (concombres, brocolis, melons…) et tenterait d’obtenir des licences et brevets exclusifs pour des variétés de primeurs, notamment européennes.

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Finalement on mange quoi demain ??? (2)

 


Décidément, les fidèles lecteurs de mes articles, sont loin d’être à la fête !!! Après leur avoir parlé des dangers des hamburgers, des viandes en tout genre, ou encore des légumes contaminés et autres laits végétaux nuisibles pour la santé, la majorité avaient dû se rabattre vers le pain, les pâtes et biscuits fourrés…

Désolé, mais une fois encore il va vous falloir changer d’alimentation, si toutefois vous trouvez à vous mettre sous la dent, une éventuelle denrée, qui ne soit pas encore contaminée par la main de l’homme.

En effet, une récente étude menée par "Association Générations Futures", dénoncerait la présence de résidus de pesticides, dans une grande majorité de produits à base de blé.

Principaux aliments concernés : Les céréales pour petit déjeuner, les brioches, biscuits fourrés, croissants et même les pâtes au blé dur !

 

Toujours selon cette association, 75% des produits testés dans leur panel, contiendraient des résidus de pesticides (organophosphorés et pyréthrinoïdes), dans des proportions susceptibles de perturber fortement le système endocrinien humain. Ces pesticides sont connus à ce jour sous l’appellation PE, pour "perturbateurs endocriniens".

Comme d’habitude et sans doute pour éviter d’affoler la population des consommateurs que nous sommes, les autorités sanitaires minimisent les effets des PE, en attirant l’attention sur le fait, qu’on les retrouve selon elles, en très faibles quantités dans les aliments incriminés.

L’association générations futures aurait réagit en disant, que même une faible teneur en pesticide, pourrait agir de manière néfaste sur le système hormonal et que les PE, qui sont des substances totalement étrangères à l’organisme, pourraient même avoir une influence sur la descendance de ceux qui les consomment.

De plus les enfants et les fœtus, plus fragiles, seraient davantage menacés en cas d’ingestion.

 

Principales incriminées, les conditions de stockage dans de nombreux entrepôts, où la présence de pesticides ou insecticides dits de "conservation", aurait été décelée.

Il faut savoir que le stockage des céréales en entrepôts, ne fait l’objet que de rares contrôles et on peut donc en conclure, que nombre de céréales non-bio doivent-être contaminées, et ce depuis des décennies.

 

L’association générations futures campe sur ses positions et fait pression sur nos responsables politiques, quant à l’urgence qu’il y aurait à entamer des actions préventives dans le domaine du stockage céréalier.

 

Pour terminer, les PE se retrouveraient également sous d’autres conditionnements, eux aussi en contact avec les consommateurs, tels que des colliers anti-tiques pour chiens, ou spray anti-poux entre autres.

L’association générations futures se féliciterait toutefois, de l’adoption en date du 14 mars 2013 par le parlement européen, du rapport Westlund, visant à réduire l’exposition des consommateurs aux "perturbateurs endocriniens" par tout moyen efficace.

 

 

Finalement… On mange quoi demain ???

  

Bien que tout le monde se doute, que les consommateurs que nous sommes, sont odieusement trompés depuis des lustres, par l’industrie agro-alimentaire en ce qui concerne une grande majorité de plats cuisinés, on espère tout de même que ce que l’on appelle l’affaire du "Horse Gate" relatif aux lasagnes Findus, fasse preuve d’exception…

Bien que les preuves ne soient pas encore formelles, rien n’est moins sûr.

Avant de nous mentir sur l’origine des viandes utilisées, en nous faisant manger du cheval pour du bœuf, les professionnels de l’industrie alimentaire, dans le seul but bien entendu d’augmenter leurs profits, ont fait preuve d’une extraordinaire ingéniosité.

La complexité des étiquetages, la taille minuscule de la police utilisée, ou encore les termes savants pour nommer des composants, connus pourtant sous des noms moins barbares, font que lors de nos courses en supermarché, nous faisons confiance à l’étiquette au détriment du contenu et que par manque de temps, nous jetons la barquette au fond du caddie.  

Ainsi sous couverts d’appellations alléchantes, voire mensongères du style : "Produit traiteur" "Produit maison" ou encore "Cuisiné comme à la maison "etc, il n’est pas rare de trouver plus de déchets que de produits dits "nobles".

Sur certains produits, on peut lire dans la liste des ingrédients, le mot somme toute banal "D’extrait". Eh bien sachez que "L’extrait" est issu de déchets de viandes, restant lors de découpes diverses de pièces, (à l’exception des abats) et qui ne peuvent pas être vendus car peu présentables.

"L’extrait" conditionné en blocs de 10 à 20 kilos, est composé en grande majorité de tissus graisseux, qui se retrouvent allègrement dans vos plats cuisinés.

Sachez également que sous ces appellations anodines, on peut aussi trouver dans les "Extraits" des particules de carcasses grattées, de la gélatine, ou des muscles trop durs pour être consommés normalement.

 

Bien entendu il n’y a rien d’impropre à la consommation dans cette pratique, mais il me semble tout de même qu’il y a tromperie et qu’il serait judicieux, de noter sur les barquettes, au lieu de "viande de bœuf" "Bas morceaux de bœuf à forte concentration graisseuse", ou quelque chose  du style.

Enfin il n’est pas rare, que le tout soit pour d’hypothétiques raisons d’hygiène, nettoyé à la javel, ou avec des acides lactiques, avant emballage.

 

Si l’on rajoute à ça, les légumes et fruits, dont on omet de nous dire avec quels pesticides, (jugés parfois dangereux pour ne pas dire mortels) ils sont traités, le retour en force des farines animales pour nourrir certaines espèces, pourtant formellement interdites quelques années plus tôt, je me demande sincèrement de quoi va être composée mon assiette de demain !

 

Agroalimentaire : les fraudes, c’est toujours les autres

Spanghero ? Dupée, tout s’est fait à l’insu du plein gré de Barthélémy Aguerre, de Lur Berri et Arcadie Sud-Ouest, déjà impliquée en 2007 dans l’affaire des viandes avariées de Covi, qui refait surface à présent à la « faveur » du scandale de la viande de cheval. Et de mettre en avant le sort des salariés, qui ont bon dos. Castel Viandes ? Dupée et bien sûr victime d’une « dénonciation calomnieuse » d’un ancien cadre licencié et depuis marqué à la culotte pour avoir trop parlé. Et Véronique Viol-Lévesques de faire défiler dans les rues de Châteaubriant « ses » salariés qui réclament que tout pour elle recommence comme avant…

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