Soutien-gorge pour tenues d’été

 Pour dénuder les décolletés, les épaules… Un bon soutien-gorge s’impose… Mon choix sera-t-il le vôtre?

 

 La pub choisie en commentaire de mon dernier article me fait penser à un article de la marque de lingerie Wonderbra:

 

mesdemoiselles, mesdames, pour l’été, le "perfect strapless" de chez Wonderbra, pour moi c’est indiscutablement le meilleur dans sa catégorie… c’est à dire, parmi les SANS bretelles (je n’ai pas dit "bretelles amovibles").

Il vous soutient superbement et vous pouvez porter les hauts dégagés qui vous dénudent les épaules, qui sont à bretelles fines , à forme dos-nu, sans aucune bretelle (bustier)…

Il est confortable…

Il existe dans de très grandes tailles, dans de petites. 

Je ne peux pas vous dire s’il assure en bonnet 100… je n’ai pas la.. générosité de décolleté… pour vous renseigner! Mais qui le peut et veut, est la bienvenue.

 

Serait-il parfait?

Ah… non… il faut quand même écrire 39 à 45 articles environ pour l’acheter à son prix de vente conseillé, voire, à ce prix + frais de livraison… 

 

Mais, l’investissement peut valoir la peine! A vous de voir!

 

Messieurs, certains d’entre vous auraient-ils peut-être un avis sur la question? 

(Ce qui nous serait très instructif. Je ne vais évidemment pas vous dévoiler les réactions masculines auxquelles j’aurais pu avoir le droit.

 

Puisque je ne vais quand même pas vous parler d’un amant le regardant avec perplexité, se demandant ce que c’est que ces coques ridiges, et ce truc qui tient tout seul… Ben non. 

Merci au cours de littérature de première et, plus récemment, à wikipedia: "prétérition" = figure de style consistant à parler de quelque chose après avoir annoncé que l’on ne va pas en parler. )

 

A vos commentaires M’sieurs ‘Dame!

 

Et à ceux qui savent me dire comment on tape ici le A majuscule avec accent grave, je suis preneuse! Merci 🙂

26 réflexions sur « Soutien-gorge pour tenues d’été »

  1. A majuscule avec accent grave ? En tapant « alt 0192 » tout simplement…
    😉
    Quant aux soutiens, mesdames, si je puis me permettre de coiffer ma casquette de naturopathe pour en parler, laissez-moi vous conseiller de ne pas en porter du tout.
    – Il est inutile de « soutenir » quelque chose qui se « soutient » très bien tout seul…
    – … mais si vous en portez, cela va accélérer la « tombée » de vos seins (qui, de toute façon, sont « programmés » pour « tomber » un jour ou l’autre).
    – Si vous faites du sport, inutile de porter un soutien avec armature qui ne ferait que vous blesser : portez plutôt un body afin d’éviter que la peau de vos seins ne « tire » un peu (cela pourrait être un peu douloureux), mais ne craignez surtout pas que vos seins ne soient « blessés » parce que vous auriez sauté ou couru avec les seins libres !
    – Vous avez plus de « chances » (si on peut appeler ça de la « chance ») de choper un cancer du sein si vous portez un soutien-gorge que si vous avez l’habitude de vivre avec les seins libres.
    – Idem pour les kystes : le fait de maintenir comprimés (même si ce n’est qu’un peu) vos seins empêche les « crasses » de s’évacuer comme elles le feraient si vos seins étaient « auto-massés » parce que libres de bouger…
    Et je vais en rester là… Inutile de vous rendre malade avant d’aller vous coucher rien qu’en me lisant… 😉
    Bref, le soutif ?
    À éviter !
    Et si vous craignez de vous « sentir mal » si vous ne portez subitement plus votre soutien, mesdames, dites-vous que des études ont démontré que le premier jour, 42% des femmes disent se sentir « mal à l’aise », mais que dans les trois mois qui suivent, ces 42% sont ramenés à … zéro ! Et qu’une fois qu’elles s’y étaient habituées, les femmes qui ont participé à l’expérience ont toutes refusé de remettre jamais leur soutien !
    Pourquoi pensez-vous donc que la plupart des actrices ou des mannequins vivent avec les seins libres ?
    Pourquoi pensez-vous qu’au Japon, il est de plus en plus recommandé aux femmes de porter les habits traditionnels (qui laissent les seins libres) ? Je sais, vous allez me dire que le Japon tient à son passé… Mais alors, pourquoi la même recommandation n’est-elle pas adressée aux hommes ?

    Bon, j’enlève ma casquette de naturopathe. Et vous, mesdames, vous enlevez votre soutien-gorge ?
    Et surtout, surtout, évitez d’offrir un premier soutien-gorge à votre fillette dès que son chemisier se tend légèrement parce que « ça pousse ». Inutile, pour des raisons « sociales » (et économiques : il faut bien faire vivre les fabricants de lingerie, allez-vous me dire), de mettre en l’air santé dès son second ou troisième lustre de vie !

    Belle soirée à vous (toutes et tous) !

  2. « Vous avez plus de « chances » (si on peut appeler ça de la « chance ») de choper un cancer du sein si vous portez un soutien-gorge que si vous avez l’habitude de vivre avec les seins libres.  »

    « probabilités » plutôt que « chances »

    Pourriez-vous svp argumenter cette assertion en indiquant des études qui plaident en sa faveur et en donner les sources?

    Merci.

  3. @EricPomme

    Votre suggestion de ne pas porter de soutien-gorge, pour des raisons médicales que je ne trouve pas argumentées au mieux, est un angle de vue qui exclut l’aspect esthétique qu’on peut éprouver dans l’appréciation, qu’on la porte ou non, de la lingerie. Cela met de côté aussi l’aspect expression de sa féminité.

    Vous évoquez des soutiens-gorge qui compriment, certains ne le font pas du tout.

    Pour le sport, il y a des soutiens-gorge adaptés et ceux-ci n’ont jamais d’armatures mais sont conçus selon une certaine technologie, avec des indices permettant de juger selon activité de leur adéquation. Les agrafes, inopportunes dans le dos pour des exercices au sol, sont remplacées par d’autres système de réglage et de fermeture.

    Vous utilisez le terme de « crasse », alors que, sauf manque d’hygiène, il y aurait bien plutôt à parler d’une transpiration que de saleté.

    Vous dites que les soutiens-gorge ne vont pas empêcher de tomber les seins destinés à tomber tôt ou tard.
    Dans des cultures où la corseterie n’existe pas et où les femmes sont seins nus, leurs seins tombent quand même visiblement beaucoup plus tôt et beaucoup plus, d’après des photos que j’ai vues de tribus africaines.

    Avez-vous vu l’excellent documentaire paru sur france 4, La face cachée des petites culottes?

    http://documentaires.france5.fr/documentaires/la-face-cachee-des-petites-culottes?path=node/21525#comments

    Je modifie certains articles de lingerie. J’adore le travail de couture. J’aurais pu aimer être une des « petites mains » qui travaillent chez Lise Charmel ou chez d’autres.

    Et je pense à un argument en faveur du port de soutien-gorge.
    J’ai connu une jeune femme qui a subi une opération de réduction mammaire.
    Même la nuit elle portait des soutiens-gorge (à ce qu’elle m’a dit et avant opération, pour ce qui est d’ensuite, je ne sais pas), sans quoi son dos la faisait souffrir.

    Je pense enfin à l’aspect de ce qu’on veut bien laisser entrevoir.
    Si on est une femme qui ne porte pas de soutiens-gorge et selon les vêtements que l’on porte et la saison, il y a fort à parier que les tétons se feront visibles.

    J’imagine d’ici les désagréments liés aux remarques lourdaudes d’hommes (et peut-être de femmes mais les remarques seraient d’une autre nature).

    Quand je vois déjà la difficulté à rembarrer les avances d’hommes quand ils ne croient même pas qu’on leur donne des motifs de nous aborder, là j’en imagine plus d’uns qui croiraient que parce qu’on a le téton visible, on peut souhaiter le leur montrer dans l’intimité. Pouah.

    Lectrices, vos avis? Merci!

  4. Bien le bonjour, Fieia…
    Juste une petite remarque (ne le prenez surtout pas mal)…
    Je ne suis pas ici pour « argumenter », mais juste pour donner mon avis.
    Cet avis, je l’ai livré en précisant que je le donnais en tant que professionnel, simplement afin que vous sachiez que mon conseil de ne pas porter de soutien était un conseil basé sur des données médicales et non sur une éventuelle envie personnelle que j’aurais de voir des poitrines sans soutien…
    Cependant, ça ne change rien au fait que je viens ici, non pas en tant que conseiller en naturopathie, mais en tant que simple particulier.
    Et en tant que tel, je viens ici simplement parce que j’ai envie de me distraire en lisant des articles qui m’intéressent, et en les commentant selon mon inspiration du moment…
    Rien de plus…
    Si je dois argumenter chaque fois que je commente un article, ce n’est plus du loisir, ça devient du travail parce que je ne connais évidemment pas par cœur les références médicales et/ou sociales des études faites à ce sujet et qu’il me faudrait des heures de travail pour réunir un dossier qui ne serait même pas complet. Or, ici, il s’agit de rédiger un commentaire en quelques minutes, pas d’écrire un article sur le sujet, ni un bouquin !
    Donc, oui, je pourrais vous donner des tas de références mais je m’abstiendrai pour les raisons ci-avant.

    Bon, alors, pour répondre en vitesse à l’une ou l’autre remarque…

    Concernant les « crasses », je vous signale qu’il ne s’agit évidemment pas de « crasses » externes, mais bien de « crasses » internes.
    Il ne s’agit pas d’un problème d’hygiène, mais plutôt d’un problème d’hygiène de vie : nous vivons dans un monde pollué, et nous absorbons automatiquement cette pollution, même si nous vivons à la campagne ou si nous mangeons « bio »…
    C’est cette pollution plus ou moins grande qui encrasse nos tissus, et si nous comprimons les seins (enfin plutôt « vous », pas moi…), cela empêche une sorte d’automassage interne, lequel automassage aide à empêcher cette pollution de stagner.

  5. (suite) …

    Concernant votre amie… Elle se plaignait d’avoir des douleurs parce que ses seins étaient trop gros, et je suis d’accord avec vous (et avec elle) : des seins qui n’ont pas l’habitude d’être « libres », c’est (ça peut être) douloureux…
    Mais … justement … peut-être aurait-elle eu moins mal au dos (voire pas du tout) si, depuis son adolescence, elle n’avait jamais porté de soutien.
    Si je puis me permettre une comparaison : si vous ne faites jamais de sport et que, subitement, vous décidiez de courir un marathon (ou même un bête jogging de 5km), vous allez vous rendre compte que des muscles dont vous ne soupçonniez même pas l’existence (façon de parler) vont vous faire souffrir. Alors que si ces muscles avaient l’habitude de travailler quotidiennement depuis des votre enfance, ils auraient eu tout l’entraînement nécessaire…
    Les muscles du dos chez quelqu’un à forte poitrine, c’est la même chose… S’ils doivent subitement « porter » une lourde charges, ils vont protester à leur manière…

    Concernant le reste, ma foi, ce serait avec plaisir que j’en parlerais longuement avec vous (tant que vous ne me demandez pas de faire des recherches pour constituer un dossier sur le sujet), mais vu l’heure, je vais manger rapidement avant de travailler cet après-midi. Je vais donc vous abandonner à vos convictions qu’un soutien gorge est obligatoire et qu’il n’est socialement (voire moralement) pas correct de ne pas en porter…
    Un tout dernier mot avant de vous quitter : oui, il est dommage que « des hommes » (pas tous, bien loin de là, je vous rassure quand même à ce sujet… disons « certains hommes », ce serait plus exact) se permettent bien des choses sous le fallacieux prétexte d’un téton « visible » à travers un vêtement (notez que certains soutiens sont tellement fins que le téton est tout aussi visible, mais, bon, admettons).
    Ha, j’oubliais : non, je n’ai pas vu le documentaire dont vous parlez… J’avoue ne pas regarder souvent la télévision…

    Belle après-midi à vous…

  6. Et si nous laissions chaque femme choisir tout simplement pour elle-même ?
    Que celles qui se sentent à l’aise sans…n’en mettent pas, et que celles qui ont besoin de ce soutien , ou qui veulent les porter pour n’importe quelle raison esthétique ou autre…en portent !

  7. Voici un mail reçu il y a quelques temps sur les dangers du soutien-gorge. Je vous le partage :

    Et vive les seins en liberté !
    Chez nous, une des parties les plus érotiques du corps féminin sont les seins, et par association, les soutiens-gorge. C’est ainsi que le soutien-gorge est devenu un pilier de la mode et un véritable comportement social.
    Pourtant, c’est aux environs de 1930 qu’a été publiée une première étude qui faisait déjà une relation entre les soutiens-gorge et l’augmentation du nombre de femmes ayant un cancer du sein. Depuis, les études des chercheurs et médecins, pourtant publiées, se succèdent mais ne trouvent pas leur écho dans la population féminine, souvent conditionnée par les médias et la publicité.
    Voici un résultat d’enquête stupéfiant :
    Une étude sur le cancer a révélé que 3 femmes sur 4 qui ont un cancer du sein, portent régulièrement un soutien-gorge contre 1 femme sur 168 chez celles qui n’en portent pas du tout. Le risque d’avoir un cancer du sein est donc 125 fois supérieur si l’on porte un soutien-gorge. Porter un soutien-gorge donnerait donc 12 fois plus de risques de cancer que de fumer (et la plupart des fumeuses portent un soutien-gorge).

  8. Soutien-gorge et circulation lymphatique
    Une très récente étude menée par deux médecins anthropologues, met à nouveau en évidence le lien entre le port du soutien-gorge et le cancer du sein. Le soutien-gorge compressant les divers ganglions et canaux lymphatiques, les toxines ne sont plus éliminées naturellement par le drainage lymphatique, et s’accumulent dans le sein faisant apparaître au fil du temps, kystes, fibrokystes et tumeurs cancéreuses.
    Les capillaires lymphatiques sont sous cutanés et microscopiques. Leur compression se fait par simple pression et empêche la lymphe chargée de déchets d’aller se déverser dans les vaisseaux ou même dans les ganglions. Cette lymphe devient alors stagnante, les toxines qu’elle n’a pas pu évacuer feront des dégâts sur place. Les soutiens-gorge plus ou moins serrés par leurs élastiques, leurs armatures ou par leurs bonnets qui remontent les seins compriment ces capillaires et vaisseaux lymphatiques, bloquant toute circulation.
    En outre, les soutiens-gorge par leur tissu enveloppant les seins et par la compression exercée sur eux augmentent sensiblement leur température. Ceci a été prouvé par des études thermographiques. On sait qu’un sein précancéreux ou cancéreux est plus chaud qu’un sein non cancéreux.

  9. Le massage naturel du sein libre
    Le mouvement naturel du sein libre, pendant la marche, crée normalement un massage qui fait circuler la lymphe. Lorsque ce mouvement naturel est entravé, la lymphe ne circule plus, les toxines s’accumulent et les kystes et tumeurs apparaissent.
    Certains pays (Japon, Provinces de l’Inde, Fidji, Maoris…) n’hésitent pas à faire des campagnes pour un retour aux vêtements traditionnels seins libres, depuis l’apparition du cancer du sein avec l’adoption de la mode occidentale. En effet, les femmes vivant à la mode occidentale dans ces pays développent des cancers pendant que les autres qui vivent seins libres, de façon traditionnelle, n’en développent pas.
    Un faux besoin
    Depuis 1978, plusieurs études médicales en France, aux USA, au Japon et en Grande Bretagne ont mis en avant que, contrairement aux idées reçues, le soutien-gorge peut augmenter la chute des seins. Pourtant, les lobbies de l’industrie textile n’ont de cesse de clamer ce qu’aucune étude médicale ne confirme. De plus, le port de cet article de lingerie et le manque d’exposition au soleil réduit le taux de mélatonine reconnu comme une molécule anti cancéreuse.
    Certaines études parallèles au Japon, et aussi en France avec le Professeur Jean Denis Rouillon, médecin du sport au CHU de Besançon, ont démontré que le port du soutien-gorge, favorisait l’affaissement de la poitrine. « L’arrêt du port du soutien-gorge est bien supporté par les femmes, en termes de confort et d’esthétique. Contrairement aux idées reçues, le sein ne tombe pas mais il se raffermit, remonte, et la qualité de la peau s’améliore. »
    En effet, les ligaments Cooper et les muscles peaussiers qui sont les soutiens naturels de la poitrine ne travaillant plus, ceux-ci s’atrophient et la poitrine, perdant sa fermeté, s’affaissent encore plus rapidement avec le temps.
    Le sein est donc enveloppé dans une membrane mince et très solide, d’autant plus costaud qu’elle travaille. Il est également suspendu comme un filet à provisions par ses ligaments reliés à la peau. D’où parfois, lors de l’arrêt du port du sous-vêtement, une désagréable sensation de tiraillement pouvant durer quelques semaines avant qu’ils ne reprennent de la vigueur.

  10. La croissance chez la jeune fille
    Chaque mère, conditionnée par notre société affuble sa fille de cet accessoire dès que sa poitrine devient naissante. Ceci contribue déjà à la chute de la poitrine parce que les éléments anatomiques de suspension du sein, à la fois musculaire (platysma) et conjonctif (fascias) se renforcent lors de la croissance car la pesanteur ou les contraintes mécaniques appliquées aux seins libres s’exercent.Un
    Un maintien mécanique naturel
    En posant des capteurs sur des athlètes, des chercheurs sportifs ont pu découvrir que la poitrine parcourt 6 cm de haut en bas et 9 cm de gauche à droite au cours des diverses pratiques sportives. Ce sont ces mouvements (réduits de 70 % avec un soutien-gorge) qui permettent au sein de s’adapter et de multiplier naturellement les formes de maintien. Constatation à la fois déconcertante et ahurissante, malgré toutes nos idées reçues, leur poitrine après 3 ans d’études n’a pas mollie, s’est encore moins affaissée et s’est même carrément rehaussée !

  11. Etude médicale sur l’évolution du confort sans soutien-gorge (2009)
    Au début de l’étude, 42 % des sujets ressentaient un inconfort sans soutien-gorge. 3 mois après, plus aucune gêne. 3 ans après, aucun sujet ne ressentait de douleur, aucun n’était gêné par l’absence du soutien-gorge dans les activités courantes, y compris les activités sportives. L’angle de l’axe du mamelon par rapport à l’horizontale augmente en moyenne de 180 % !
    Il s’agit d’une évolution esthétiquement favorable puisque inverse de la ptose. Le sein libre se fortifie. Ne jamais porter de soutien-gorge donne donc une poitrine naturellement plus ferme et plus haute, contrairement aux idées reçues.
    Disparition de douleurs par la suppression du soutien-gorge
    Deux chirurgiens des seins britanniques ont conduit des essais dans 2 cliniques en Angleterre et Pays de Galles. Ils ont étudié des femmes pour voir si le fait de ne pas utiliser de soutien-gorge pouvait diminuer les douleurs de poitrine. Leur étude a conclu que pour la majorité des femmes, il y avait diminution de la douleur pendant une période de 3 mois sans soutien-gorge. Pour l’étude, ils ont demandé aux femmes de remplacer le soutien-gorge par une sorte de teeshirt souple ou un débardeur, ou encore rien du tout. A la suite de l’étude, aucune femme n’a souhaité retrouver l’usage du soutien-gorge car elles avaient gagné aisance et confort.
    Un docteur en médecine a publié ces résultats dans le traitement de la douleur des épaules chez les femmes à forte poitrine. Dans cette étude de 5 ans, il a été suggéré que les patientes soulagent le poids sur leurs épaules pour une durée de 2 semaines, en allant sans soutien-gorge. L’étude a indiqué que les résultats à longs termes étaient l’absence de douleur aux épaules si l’on n’utilisait plus de soutien-gorge. 79 % des patientes ont ensuite décidé de décharger le poids de leur poitrine de leurs épaules de façon permanente en éliminant définitivement l’utilisation de soutien-gorge parce qu’elles se sentaient libérées.
    •  Chaque année, 42.000 femmes sont victimes d’un cancer du sein en France.
    •  12.000 en sont décédées en 2000.
    •  La pression sociale est le plus grand ennemi de votre santé.
    •  Est-il mieux socialement d’avoir un cancer du sein que de vivre sans soutien-gorge ?
    Reproduit avec l’autorisation du Journal de Michel Dogna.
    **********************

  12. [b]Les arguments en faveur de la poitrine libre me semblent non seulement raisonnables mais qui plus est de nature à un maintien plus altier, avec moins de cancers et en prime des économies sensibles d’achats de soutien-gorge (vite redépensés par ailleurs?)[/b]

  13. Wouaaah ! Mozarine ! Qu’il est joli ! 🙂 Un joli soutien-gorge est quand même agréable à l’oeil…
    J’aurai voulu cliquer sur + pour mettre une note mais la partie droite de l’encadrement a disparu… >:( >:(

  14. Zélectron tu as raison et c’est tellement agréable de se sentir libre… Mais en même temps, les habitudes sont si bien ancrées qu’il me semble difficile de pouvoir s’en passer définitivement. Quoi qu’on en dise concernant la santé… cela donne un si joli galmbe…

  15. [b]Il parait qu’il faut regarder dans les yeux ?[/b]
    [img]http://3.bp.blogspot.com/_SnunBbQqDgA/TLsFMZB9NCI/AAAAAAAAADY/IB00mlC4O08/s1600/eva-herzigova-2962.jpg[/img]

  16. [b]Je laisse à Mozarine le soin d’enlever son « soutien-gorge » (image).

    Le texte et les commentaires sont tronqués, et c’est dommage.

    Mozarine si tu me lis…
    Au boulot ![/b]

  17. [b]@Zelectron :
    Là on sent le coquin qui se manifeste…

    Ah ces hommes, et les poitrines féminines.
    je me demande s’il n’y a pas un côté œdipien… chez eux.
    je n’en connais pas un seul qui ne s’intéresse aux seins féminins.

    Oui Mozarine, pour Zelectron, redimensionne la et remet la s’il te plait.[/b]

  18. [b]Chère SOPHY,
    Vous confondez l’amour de l’art et l’égrillard, une jolie poitrine montre une bonne santé ?[/b]

  19. Pulpeuse mais non siliconée: Anita Ekberg!
    [img]http://www.gala.fr/var/gal/storage/images/media/images/actu/photos_officiel/anita_ekberg/1203654-1-fre-FR/anita_ekberg_reference.jpg[/img]

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