Si tu savais …

                                                                                   

 

Si tu savais, ô mon tendre amour,

De quel amour puissant, mon cœur t’adore,

De quels sentiments inavoués, mon âme est en proie,

 

Si tu savais, comme mon cœur amoureux se consume de douleur,

Quand tu es loin de moi,

Comme ce cœur amoureux, exulte de bonheur,

Quand je suis dans tes bras.

 

Si tu savais, mon Amour, de quels étranges tourments,

De quel indescriptible étourdissement, mon esprit est transi,

Par quel émoi, tout mon sang se déchaine et s’envenime,

Jusqu’à en perdre la raison, jusqu’à en perdre la vie.

 

Si tu savais les tremblements intérieurs de mon être,

Qui me bouleversent et me perturbent…

Je ne sais plus, si je dois mourir ou pleurer,

Tant je n’arrive plus à surpasser ce torrent d’amour pour toi.

 

Ô mon Amour, si tu savais, à quel point, à quel point,

Mon cœur fou de toi, péri et jubile tout à la fois,

D’extase et d’absolu, de fièvre et de tourments,

 

Peut-être saurais-tu alors, à quel point je t’aime,

C’est un amour, par-delà la raison,

C’est un amour par-delà les normes,

C’est un très grand amour,

 

C’est mon grand amour pour toi,

Marinko, mon Amour.

 

 

 

A Lui,

A Marinko

 

P.S.

Suite du poème : «  Pleurer d’amour »

Quand nous étions de nouveau réunis