QUI SAUVERA CARLOS GHOSN !

 

Et maintenant ?! Qui sauvera Carlos Ghosn !

La machine infernale enclenchée le 19 novembre avait déjà signé son arrêt de mort, distillant cette exécution programmée de manière insidieuse et sournoise, par voie de gardes à vue successives, prolongées et répétées.
La situation est manifeste, l’évidence n’est invisible qu’aux envieux nourrissant une haine jalouse à l’endroit de cet homme hors du commun, compétent, capable et brillant à un degré exceptionnel et doté d’une combativité et d’une endurance rare.

Par cette troisième garde à vue, prolongée de surcroît, le Japon aura décidé d’exécuter définitivement l’Empereur Ghosn, dans le but de servir de sombres intérêts honteusement nationalistes et xénophobes à visée anti-occidentale.
Nissan, son donneur d’ordre, a assuré la victoire de son putsch par la personnalité douteuse de quelques procureurs corrompus.
La Japon a ainsi sacrifié Carlos Ghosn… et le Monde entier, dans cet insoutenable silence complice et collaborationniste, a abandonné la Grand Ghosn, aux mains de la mafia étatique nippone, dans ce mouroir concentrationnaire.

C’en est assez !
L’otage Ghosn, martyre politico-économique d’intérêts capitalistes à connotation nationaliste, ne sera pas laissé plus longtemps dans cet Auschwitz nippon.
Il doit être libéré avant le 31 décembre !
Ce n’est plus même une question de Justice, c’est devenu une question de Droit, c’est rentré à présent dans le cadre des Droits de L’Homme.

En son article 9, qui stipule que nul ne peut être arbitrairement arrêté ou détenu, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme du 10 décembre 1948, a déjà condamné le Japon pour violation des droits de Carlos Ghosn.
D’autres articles ont été violés en l’espèce, il en est ainsi de l’article 2 qui assure l’égalité en matière d’origine nationale, ce précisément pourquoi Carlos Ghosn a été arrêté, parce qu’il était français et non pas japonais.
L’article 3 également a été bafoué, celui assurant la liberté et la sûreté des personnes, de même que l’article 5, interdisant la torture, et les traitements cruels inhumains, des violation telles qu’ils les vit dans ce «bloc 11» , parallèle avec le «bloc de la mort» d’Auschwitz.
Les articles 6 et 11, ont eux aussi été violés, ceux relatif aux droits de la défense.

La réalité de la situation étant plus qu’évidente et outrageusement scandaleuse, cette détention abusive doit être levée de manière immédiate et sans caution.
Le caractère putschiste de cette arrestation injustifiée, étant avéré et plus qu’intolérable, toute charge retenue contre lui doit être abandonnée.
Et l’obligation de laisser Carlos Ghosn libre de quitter le Japon, sans restriction, doit être ordonnée.

Si le Premier Ministre japonais et son gouvernement, participants actifs de ce règlement de compte visant à évincer un Empereur devenu gênant et une France pour laquelle ils ne nourrissent que détestation, n’affirment pas la volonté d’y mettre un terme, nous leur demanderons des comptes sur les Criminels de Fukushima.

J’en appelle ainsi à tous les idéalistes, les grands défenseurs de la justice et des droits de l’homme, les protecteurs des grands esprits, et des grands hommes,
J’en appelle à tous les soutiens de Carlos Ghosn et aux trois États dont il a la nationalité, notamment le Liban sa patrie de sang, ainsi qu’au constructeur Renault et à l’État français actionnaire,
D’intervenir sans délai, pour sauver la martyre Ghosn des geôles nippones, et ce, avant le 31 décembre.

Puisse mon appel être entendu par vous tous !

Car à part vous, qui d’autre pourra sauver l’otage Ghosn.

Une pétition vient également d’être mise en ligne, pour enjoindre au Premier Ministre japonais de libérer Carlos Ghosn.

https://www.mesopinions.com/petition/droits-homme/liberez-otage-ghosn/56424

C’est la force de la mobilisation seule, qui réussira à conduire à sa libération.

Unissons-nous pour lui.

Liens :
Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948
http://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/

CARLOS GHOSN, J’AI UN MESSAGE POUR VOUS, LA OU VOUS ETES ….

Cher Monsieur Ghosn,

Je sais bien que vous ne lirez pas ce message, et peut-être même, ne le lirez-vous jamais.
Mais je l’écris quand même, car là où vous êtes, on n’a pas le droit de vous oublier.
Moi, moins encore que les autres, car je vous admirais.

Aujourd’hui, tout le monde vous a oublié, un peu comme si vous n’aviez jamais existé.
Et pourtant… et pourtant, vous avez tant fait… Et pour seule gratitude, vous n’avez reçu que trahison et mépris.

De Nissan, la victime inanimée, vous avez fait un athlète de haut niveau, de Renault, ce pantin désarticulé, vous avez fait une entreprise digne, et que dire de l’alliance…. Et en guise de remerciements, vous n’avez reçu que leur opprobre.
Que dire aussi du Japon et de la France, dont les dirigeants, vous ont lâchement abandonné au sort infamant qui vous est réservé, un traitement pénible, bien plus dur que celui administré aux prisonniers nazis lors du procès de Nuremberg, pire encore, il rappelle celui des camps de concentration nazis.

Pour les avoir sauvés, les japonais aujourd’hui veulent vous assassiner, cela me rappelle ce très beau poème de Victor Hugo «Après la Bataille», où le blessé réclame assistance, et profite de la générosité du sauveur, pour tenter de le tuer.

Les japonais vous ont sacrifié sur l’autel de leur intérêts nationalistes, les français le font pour leur intérêts économiques !
Mais le savez-vous, Monsieur Ghosn, ce sacrifice sera leur plus grande punition, car de vous avoir perdu, ils le paieront par leur faillite.
Ils ne sauront fonctionner et évoluer sans vous, ils n’en ont pas les capacités.
Vous étiez le pilier de cette alliance.
Votre seule personnalité en constituait les fondations.
Et quand les fondations s’écroulent, c’est tout un édifice qui tombe.
Celui que vous avez bâti par votre seule génie, s’effondrera, emportant avec lui, tous ceux qui vous auront trahi.

Il me vient toujours à l’esprit, dans votre affaire, cette magnifique phrase de l’imitiation de Jesus-Christ (IJC) : « La gloire que les hommes donnent et reçoivent est courte. La tristesse accompagne toujours la gloire du monde. La gloire des bons est dans leur conscience, et non dans la bouche des hommes. »
Votre gloire, est dans votre accomplissement, non dans les propos calomnieux des putschistes de Nissan.
Et je me demande encore, comment des hommes qui vous doivent tout, veulent avec tant de ferveur, vous réduire à néant.
Mais ainsi qu’il est écrit dans l’IJC : « L’assurance des méchants naît, de l’orgueil et de la présomption, et finit par l’aveuglement ».

Quand je pense à vous, et je pense à vous bien souvent, je me demande, comment vous vous sentez, ce que vous ressentez, ce que vous pensez. Avez-vous froid ? Avez-vous peur ?
Je me demande également, comment vous parvenez à braver cette terrible épreuve.
Puis je me souviens de votre grand esprit, je me convainc alors que vous combattez avec grand courage, parce que vous êtes ainsi fait.
Et vous semblez bien être fidèle à ce que vous étiez, un combattant endurant et résistant.
Cette bravoure vous honore, car «c’est dans l’adversité que l’on voit le mieux ce que chacun a de vertu. Les occasions ne rendent par l’homme fragile, mais il montre ce qu’il est» (IJC).
Et c’est pour tout cela également, que je vous admire tant.

Il semble bien aujourd’hui, que tout le monde vous ait oublié… mais pas moi.
Moi, je ne vous oublie pas.
Moi, je prie pour vous, je prie sans cesse depuis ce jour.
Et je continuerai à prier, pour que Dieu vous donne la force de tout.

Ce qui me reste à espérer, c’est que des hommes de bonnes volonté, viendront vous porter secours, dans cette geôle immonde, où vous êtes l’otage, de l’orgueil destructeur d’un culte nippon effroyable.

Pour vous, j’ai également mis une pétition en ligne, adressée au Premier Ministre japonais, pour lui demander votre libération.

Je pense à vous, et je crois que j’y penserai toujours.
Vous êtes avec moi, dans mes prières.
A vous.

PETITION EN LIGNE POUR DEMANDER LA LIBERATION DE CARLOS GHOSN
https://www.mesopinions.com/petition/droits-homme/liberez-otage-ghosn/56424

Liens
Poème de Victor Hugo
https://www.poetica.fr/poeme-191/victor-hugo-apres-la-bataille/
Imitation de Jésus-Christ
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/thomasakempis/De%20imitatione%20Christi%20-%20fran%E7ais.pdf

HOMMAGE AUX POLICIERS, CES HEROS

POUR UN HOMMAGE AUX POLICIERS DE FRANCE

Je voudrais rendre hommage aux policiers de la Police Nationale, soumis à très rude épreuve, depuis plus d’un mois.

Trop décriés, peu estimés, méprisés et critiqués, ils sont inestimables, et je voudrais leur rendre hommage.

Braves et courageux, ils sont de tous les combats.
Qu’il soit question de protéger la République, de faire barrage aux insurgés lors des manifestations de Gilets Jaunes, ou de poursuivre infatigablement les terroristes, ils sont là.
Silencieux et efficaces, on ne les entend pas.
Prêts à tout pour sauver et protéger, ils sont dignes et dévoués.
Héros fatigués, mésestimés et oubliés par les honneurs, ils restent fidèles à leur devoir.
Véritable martyrs du devoir, ils sont toujours agressés, et trop souvent atrocement attaqués.

Je pense à ces quatre motards de la police, pris à parti par des assaillants particulièrement dangereux lors de l’acte 6.
Je fais honneur à leur incroyable courage, à leur résistance efficace et à leur dévouement.
Victimes programmées pour un terrible lynchage, ils ont réussi à faire face avec excellence, à une confrontation disproportionnée et acharnée, et à prendre la fuite.
Qu’ils soient loués pour leur bravoure.

Il y aura d’autres agressions, car de terribles jours se dessinent à l’horizon, avec ce virus jaune, qui engloutit la France et la détruit.
Et ils seront là. Ils seront toujours là, pour sauver ce qu’il y a préserver.

Bien que fatigués, épuisés par une mobilisation écrasante, ils seront présents.
Bien que dédaignés pour leur revendications, ils seront là.
Bien que critiqués, calomniés, injuriés, ils viendront.
Parce que c’est leur devoir, et parce que ce sont des idéalistes avant tout, ils ne déserteront pas leur serment.

C’est pour toutes ces raisons, que je voulais leur rendre hommage, et leur dire le respect que tout citoyen a le devoir de leur porter.

C’est aussi pourquoi j’ai mis une pétition en ligne, pour demander au Président de la République et au Ministre de l’Intérieur, de satisfaire à toutes leurs revendications sans exception et à tous leurs besoins, pour que ces héros, ne soient pas que des martyrs.

Pétition
https://www.mesopinions.com/petition/politique/petition-demander-president-republique-ministre-interieur/56377

Merci à tous,
Merci pour eux.

SAMEDI NOIR – ACTE IV : LA FAILLE SERA DANS LES SECOURS

« LE ROUGE ET LE NOIR »

 

Certes, le président Macron a misé avec son premier ministre sur le maintien de l’ordre

Certes, des moyens plus nombreux et des consignes plus subtiles ont été envisagées.

Cependant, ils auront oublié l’élément principal d’un affrontement de masse : les dommages corporels collatéraux.

      Ce samedi Noir, sera un samedi Rouge.

Rouge pour tout ce sang qui aura coulé, rouge aussi pour les plans rouges nombreux qui seront déclenchés, mais sans succès. Ces plans qui ne pourront être mis en place et se dérouler dans les conditions adaptées, faute d’avoir été prévus à l’avance.

      Aucune mention d’un probable dispositif de secours « monumental et inhabituel » n’a été évoqué par le gouvernement.

Et c’est là, que sera la FAILLE MAJEURE.

Ce samedi 08 décembre, sera mémorable non seulement par le degré effroyable de violence, mais aussi par l’incapacité totale sur place, à gérer les victimes et à les évacuer.

C’est en cela, que ce samedi rouge passera de l’apocalypse prévu à une hécatombe attendue.

      Il a été judicieux de mettre en place un dispositif combatif et nombreux, bien que totalement insuffisant, pour lutter contre cette guérilla urbaine qui s’aguerrit et se développe de manière exponentielle.

Mais l’exécutif a oublié, que ces affrontements à caractère hautement insurrectionnels, engendreront des victimes qui, en nombre et en gravité, devront être traités de manière immédiate et adaptée par des moyens nécessaires, et évacuées urgemment vers des structures préparées.

Pour ce faire, il aurait fallu déclencher en amont, deux dispositifs conjoints prévus pour les événements de ce type : le plan rouge et le plan blanc.

  • Le Plan Rouge, consiste à établir par la Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris, un dispositif de secours avec tous les moyens nécessaires et adaptés, en engins, en secouristes, en matériel et en Poste médicaux avancés

  • Le Plan Blanc, son corollaire au niveau des hôpitaux parisiens, vise à mettre en place tous les moyens en personnel et en place d’accueil.

       Or, de ces plans, il n’a pas été fait mention.

Bien qu’habituellement, ces plans ne sont déclenchés qu’après les tragédies, dans une situation de crise extrême et sans précédent comme celle que nous vivons, il aurait fallu pour la première fois dans l’histoire, les anticiper et les mettre en place d’ores et déjà.

Car lorsque le glas sonnera, et que le plan rouge devra être mis en place ce samedi 08 décembre, il sera bien trop tard, parce que sa mise en place, dans ces conditions de guerre civile, sera absolument inenvisageable, toute circulation étant impossible.

      Pour résumer l’ampleur de la faille concernant le dispositif de secours, en voici un bref aperçu.

Il aurait dû être prévu avec l’état-major de la BSPP et les services de l’APHP.

Avec la BSPP, concernant les Plans Rouges  :

  • mobilisation général de tous les pompiers de Paris avec rappel des permissionnaires

  • mobilisation de secouristes civiles en masse

  • mobilisation des pompiers professionnels de la grande couronne

  • mise en place en amont, dès la nuit de vendredi à samedi, de PMA dans tous les secteurs ciblés ou susceptibles de l’être, dont plusieurs sur les Champs Élysées.

  • Mobilisation de motards, placés à l’abri et en retrait, dans chaque secteur, pour escorter les engins de secours lors des évacuations

  • prévision d’un espace d’atterrissage pour les hélicoptères de secours destinées aux évacuations des urgences absolues

  • mobilisation de la sécurité civile

Avec l’APHP, concernant le plan Blanc :

  • déclenchement du plan blanc en prévision, dès le vendredi

  • estimation avec le gouvernement du nombre de lits et de moyens humains à prévoir

  • mobilisation des hôpitaux proches hors APHP et des grandes cliniques privées parisiennes

Ce n’est là qu’une brève description de ce que tous les intervenants de l’Urgence savent d’instinct.

      Une fois de plus, le Président et son gouvernement, ne se seront pas donné la peine de consulter les spécialistes du domaine.

Des plans rouges seront mis en place, mais aucun d’eux ne pourra être assuré.

Les victimes seront laissées à leur désarroi sur place, sans secours ou presque.

Les urgences absolues décéderont sur les pavés, les urgences relatives souffriront sans espoir d’assistance.

Mais au fond, ce qui importe aux gouvernants, c’est la seule protection de l’Élysée et de Matignon.

Peu importe, qu’un massacre doivent avoir lieu pour ce faire, l’important sera de contenir la guérilla en dehors du secteur de l’Exécutif.

Et si pour cela, des centaines de forces de l’ordre devront combattre la horde jaune jusqu’au dernier souffle, si les citoyens devront expirer sur le pavé, l’important aura été, d’avoir sauvé leur « idée » de la République.

       Il aurait fallu pour l’éviter, se donner la peine de prévoir ce dispositif de secours hors norme, ou, pour éviter purement et simplement le carnage, faire appel aux chars d’assaut, pour bloquer tout Paris et éviter ainsi l’effusion de sang par les corps à corps.

Or, pour faire bien aux yeux du monde, rappeler « Tien an Men » n’était pas une bonne option, alors le Président aura choisi de jeter en pâture les forces de l’ordre aux enragés, et tous les citoyens participants dans la mêlée.

Et c’est ainsi que les Champs Élysées deviendront les Champs de la Mort.

       Ce samedi sera un jour de Deuil national. Mais pour qui ?

Pour tous les combattants des forces de l’ordre qui auront laissé leur vie et leur honneur, pour tous les pompiers, vaillants soldats du feu qui auront péri sous le feu de l’insolence, pour tous les déchaînés qui ne connaissent pas les limites du tolérable, et pour tous ces citoyens, qui tomberont, comme sur un champs de bataille, pour n’avoir pas compris, que les démocraties n’existent pas.

       Lorsqu’on se souviendra de ce jour, on pourra dire, ce jour là, c’était le « Rouge et le Noir», comme un étrange clin d’œil à l’armée napoléonienne, dans ce lieu dévolu à ce grand Stratège, comme un clin d’œil plein d’ironie, au Président Macron.

      Ce sera votre signature Monsieur Macron, ce samedi historique du Rouge et du Noir.

Toi, Marinko

 

Toi, Marinko

                                                                                   

Vois-tu, ce soir, j’ai compris que l’amour dans ton cœur, n’existait pas pour moi.

J’ai compris, que mes rêves et mes sentiments, n’étaient que chimères et illusions, que ton cœur était  froid et ton âme si sèche, que mon cœur a trop crû, et mon âme trop espéré.

 

Je t’ai tout donné, tout jusqu’au moindre soupir, mon cœur a tant saigné, et le tien, ne s’en émouvait jamais.

J’ai trop pleuré, trop pardonné, trop espéré, je t’ai trop attendu et trop demandé, j’ai compris à présent, que ton cœur, si quelque part tu en as un, n’était pas fait pour moi.

 

Dans mon immense souffrance, je n’ai attendu que toi, dans mes douleurs infernales, je n’ai appelé que toi… Mais toi, tu n’étais pas là, jamais tu n’étais là pour moi, tu étais très loin, trop loin pour un cœur qui sait aimer.

 

Depuis toujours, depuis le premier jour, tu ne m’aimais pas, mais mon cœur amoureux, enivré et aveugle, ne s’en apercevait pas, il ne comprenait pas que le tien ne battait pas pour moi.

 

Mes émois et mes larmes, mes prières et mes pardons, n’étaient pas importants pour toi, tu ne voyais qu’une chose… et ce n’était pas moi.

 

Pourtant, moi, je t’ai aimé, je t’ai aimé comme la mer est immense et le soleil brûlant, je t’ai aimé, d’un amour si sincère et profond, que les mots sont vains… et l’amour est mort…  il est trop tard maintenant.

 

Je partirai, seule avec cet amour, cet amour indicible que jamais tu ne comprenais. Un amour  pour le comprendre, il faut savoir aimer… Et toi, tu ne sais pas.

Je resterai seule avec cet amour, et j’en prendrai soin, au nom de l’amour, au nom de la sincérité, et peut-être de la fidélité, mais malheureusement, pas pour toi.

 

Je partirai ainsi, seule et abandonnée, loin de toi et de tous les souvenirs, et je parcourrai le monde, avec cet amour délaissée mais cet amour insensé…

L’amour est la plus grande richesse, vois-tu, mais toi, tu ne le savais pas.

 

Je partirai avec cette richesse exquise dans les bras, je n’ai besoin de rien et je n’ai que cela, mais pour qui sait aimer, au monde, il n’y a plus grande fortune.

J’irai seule, et je me rappellerai, qu’un jour, près de toi, j’ai été la plus heureuse, et ce sera la seule fois, je crois.

 

Je pars, et je ne me retourne pas, tout ce monde et tous ces hommes, ne sont plus rien pour  moi.

Il ne me reste que ce cœur, vide et solitaire, une âme fanée et des larmes momifiées,

Et je ne me souviendrai que d’une chose seulement… qu’un jour, dans ma vie, j’ai aimé.

 

J’ai aimé, oui je t’ai aimé, par-delà toutes mes espérances et au-delà de mes seuls désirs,

Toi mon Unique, toi mon Absolu, toi que je croyais avec moi pour l’éternité,

Toi pour lequel j’aurais tout fait, pour qui j’aurais tout donné…

Toi, Marinko, celui que j’ai tant aimé.

 

 

 

—  FIN FU RECUEIL —- 

Pour Toi, Marinko

 

Pour toi, Marinko …

                                                                                   

 

Pour toi, Marinko, mon Amour, mon Unique, mon Eternel,

Je pourrais traverser des océans et des montagnes,

Pour te suivre et t’aimer, partout, à travers le monde entier.

 

Pour toi, Marinko, je donnerais tout le sang de mon cœur,

Jusqu’à la dernière goutte, jusqu’à en perdre la vie,

S’il fallait pour cela sauver la tienne.

 

Je partirais par-delà les mers et par-delà l’horizon même,

Si je pouvais rester blottie contre ton cœur,

Et y demeurer pour toujours.

 

Je changerais mon âme pour tous les oiseaux du ciel,

Et je volerai ainsi toujours, à tes côtés,

Puis partout, je me poserai sur ton cœur.

 

Pour toi, Marinko, mon Amour, je brulerais tout mon corps,

Et j’en déverserais les cendres, sur le tien,

Pour rester avec toi, à jamais.

 

 

 

A Lui,

A Marinko

 

 

P.S.

Suite du poème : «  Quand tu partiras »

Quand nous étions de nouveau réunis

Si tu savais …


 

Si tu savais …

                                                                                   

 

Si tu savais, ô mon tendre amour,

De quel amour puissant, mon cœur t’adore,

De quels sentiments inavoués, mon âme est en proie,

 

Si tu savais, comme mon cœur amoureux se consume de douleur,

Quand tu es loin de moi,

Comme ce cœur amoureux, exulte de bonheur,

Quand je suis dans tes bras.

 

Si tu savais, mon Amour, de quels étranges tourments,

De quel indescriptible étourdissement, mon esprit est transi,

Par quel émoi, tout mon sang se déchaine et s’envenime,

Jusqu’à en perdre la raison, jusqu’à en perdre la vie.

 

Si tu savais les tremblements intérieurs de mon être,

Qui me bouleversent et me perturbent…

Je ne sais plus, si je dois mourir ou pleurer,

Tant je n’arrive plus à surpasser ce torrent d’amour pour toi.

 

Ô mon Amour, si tu savais, à quel point, à quel point,

Mon cœur fou de toi, péri et jubile tout à la fois,

D’extase et d’absolu, de fièvre et de tourments,

 

Peut-être saurais-tu alors, à quel point je t’aime,

C’est un amour, par-delà la raison,

C’est un amour par-delà les normes,

C’est un très grand amour,

 

C’est mon grand amour pour toi,

Marinko, mon Amour.

 

 

 

A Lui,

A Marinko

 

P.S.

Suite du poème : «  Pleurer d’amour »

Quand nous étions de nouveau réunis

C’était écrit, Marinko, mon Amour

C’était ecrit, Marinko, mon Amour

                                                                                   

 

D’aussi loin que je me souvienne,

Je n’ai jamais aimé, d’autres que toi.

 

Tous les feux du soleil,

Ne brûlaient pas autant, que ton cœur contre le mien.

Tous les sables du désert,

Ne rivalisaient pas avec la chaleur de nos cœurs.

Toutes les étoiles du ciel,

Ne brillaient pas autant, que nos yeux amoureux.

 

Et toutes les glaces de l’arctique,

Ne sont pas aussi froide, que l’est mon cœur loin du tien.

 

Je t’ai aimé, d’un amour impossible,

Je le sais, à présent.

Ta jeunesse, ta beauté et ton âme,

Etaient beaucoup trop belles pour moi,

Je ne méritais pas, un astre comme toi.

 

La sourde destinée, n’a pas voulu entendre,

Tous les cris d’amour, de mon cœur enfiévré,

Elle n’a pas non plus voulu comprendre,

Que l’on pouvait s’aimer,

Elle a jugé, c’est décidé,

Je t’ai perdu, à jamais.

 

Vois-tu, le monde sans toi, m’apparait soudain,

Comme des milliers de tombes, qui ne m’attendent pas,

Et j’erre, et je suis condamnée,

A vivre ainsi, seule et abandonnée de toi.

 

Ton amour, je le sais, était fort et sincère,

Je l’ai tué, ou que sais-je, est-ce peut-être la seule destinée.

Toi dans mon cœur, c’était pour l’éternité,

Moi dans le tien, peut-être pas.

 

Et pourtant, et pourtant, nous nous sommes tant aimés,

Que jamais personne, n’aurait pu nous séparer,

Mais le destin, cruel maitre de nos vies si fragiles,

A choisi de briser nos cœurs, l’un contre l’autre,

Pour toujours, mon Amour.

 

Et pourtant, comme je t’ai aimé,

Toi aussi, je le sais,

Mais c’est ainsi, nos cœur ont été arrachés,

L’un à l’autre à jamais,

Par le glaive de la destinée.

 

Ni tes regrets, ni mes pleurs,

Ne pourront rien y changer,

Il semble que dans les méandres de mon âme,

Une étrange colère était cachée,

Elle devait un jour, ruiner notre amour,

Elle l’a fait,

Parce que le destin, depuis longtemps,

L’avait ainsi décidé.

 

Tout était déjà inscrit, nos chemins tracés,

Tout était déjà écrit, sur le parchemin de notre amour,

C’était ainsi, c’était écrit, on ne pourrait s’aimer pour toujours,

C’était ainsi,

 

C’était écrit, Marinko, mon Amour.

 

 

A Lui,

A Marinko

 

Le prénom se prononce, « Marine-ko »

 

P.S.

Suite du poème : «  Sur ton cœur, Marinko »

Puisque tout est fini.

Ton nom, Marinko


Ton nom, Marinko

                                                                                   

Sur tous les ciels du monde, sur la nuit étoilée et tous les océans,

J’inscrirai ton nom.

 

Sur tous les livres que je n’écrirais jamais, sur tous les tableaux que je ne peindrais jamais,

J’imprimerai ton nom.

 

Plus que les vents et les orages, plus que les éclairs et les tornades,

Plus que toutes les forces de la nature et toutes les guerres des hommes,

Ton nom, a dévasté en moi, tous les remparts de mon cœur et les murailles de mon âme,

Ton nom, a chamboulé les fondations de mon être et les piliers de mon esprit,

Tout est mort en moi, et tout est brûlé,

Il ne reste qu’une seule empreinte sur mes cendres,

C’est ton nom, ce nom que j’aimais tant.

 

Sur toutes les mers du monde, et tous les sables du désert,

Du sang de mes larmes,

J’inscrirai ton nom.

 

Sut toutes les forêts de la terre, et toutes les savanes d’Afrique,

Du feu de mon sang,

J’imprimerai ton nom.

 

Sur tous les soleils de l’Univers, jusque sur les marbrures de la Lune,

De mes cendres enfiévrées,

Je graverai ton nom.

 

Et sur mon cœur exsangue,

Sur mon âme inhumée,

Sur tous les coins de mon corps,

Et les restes de ma vie,

Marqué au fer rouge de l’amour,

Il n’y aura plus que lui,

Il ne restera que lui, pour toujours…

… Ton nom, Marinko.

 

A Lui,

A Marinko

 

P.S.

Suite du poème : «  Je voudrais mourir demain »

Puisque tout est fini.

Que m’importe, à présent …

Que m’importe, a present …

                                                                                   

 

Que m’importent, à présent, l’univers tout entier, et le soleil qui luit,

Que m’importent, à présent, les beautés de la terre et les richesses du monde,

Que m’importe, que m’importe, à présent…tout ce qui m’entoure,

Puisque lui n’est plus là, pour tout voir et tout partager avec moi.

 

Que m’importe, à présent, que tout bascule ou que tout s’écroule,

Que la vie soit un orage ou un éternel printemps, puisque sans lui,

Je ne suis plus désireuse de rien, puisque sans lui, je ne vois plus rien.

Alors, que m’importe, le monde entier, quand il n’est plus là.

 

Que m’importent, à présent, et mon cœur et ma vie,

Que m’importent, les joies et les rires, quand lui n’est plus près de moi,

Que m’importent, mes rêves et mes désirs, puisque je dois les vivre sans lui.

Que m’importent à présent, et mon âme et mon destin, puisque je dois mourir loin de lui.

 

Alors, que demain, tout meurt ou tout agonise,

Que m’importe, que m’importe, mon temps n’est plus, déjà je vois la fin,

Mon âme est morte, c’est fini, mon cœur, bientôt la suivra.

Que m’importe à présent, tout ce qui est et sera,

Puisque tout ce qui est et sera,

Le sera sans Lui.

 

Alors, que m’importe.

 

 

A Lui,

A M……

 

P.S.

Suite du poème : «  Tu auras été une Etoile dans ma vie »

Quand l’espoir du retour est mort.