La France perd pied ces derniers temps ! La faute à qui, nos chers politiciens qui ne savent plus quoi inventer pour espérer se voir attribuer des votes lors des prochaines élections ?! Après le mariage homosexuel fort critiqué, voilà que la ministre de la santé, Marisol Touraine souhaitait que l’on ouvre des salles de consommation de drogue !
La belle affaire, surtout lorsque l’on sait les dégâts irréversibles que peuvent avoir les drogues sur l’organisme, je trouve que cette proposition est déplacée surtout venant d’une prétendue ministre de la santé !
Lors d’une interview, sur BFM TV, Marisol Touraine a annoncé qu’elle aimerait voir des salles d’expérimentations s’ouvrir d’ici la fin de l’année! Ces salles de "shoot" comme on les surnomme ont pour but d’encadrer la consommation de drogue, que cela se passe sous contrôle d’un médecin dans le respect le plus strict des règles d’hygiènes. Est ce nécessaire de rappeler que la consommation de drogue sous quelque forme que ce soit est prohibée !
Ouvrir ce genre de lieu c’est donner le feu vert au toxicomanes. Ainsi, ils pourront se droguer sans se soucier des représailles policières, avec le consentement du gouvernement. Et c’est cela qu’elle appelle "lutter contre la consommation de drogue"?!!! Je dirais plutôt qu’il s’agit de l’incitation!
Ah oui, et ai-je omis de vous dire… Qui financera ce genre d’établissements? Le contribuable bien entendu! Fort heureusement, il existe des personnes censées en ce bas monde, ainsi, Camille Bedin, secrétaire nationale de l’UMP a annoncé :
«Ouvrir des salles de consommation de drogues, ce n’est pas lutter contre le fléau de la drogue, c’est banaliser l’usage et c’est légaliser la consommation des drogues les plus dures et cela aux frais des contribuables !»
Paradoxalement, Madame Touraine se déclare partisane d’une politique plus solide de prévention…
Comment faire une bonne prévention si l’on autorise la prise de drogues dures ? Je doute fort que les toxicomanes donnent du crédit à la prévention, le seul crédit accordé est celui qui passe par la répression !
Que pensez vous de cette initiative ?
[b] SOPHY a dit:
…
Serge LEBIGOT, Président de l’Association Parents contre la drogue, disait ceci en septembre 2009 :
A tous,
Bravo pour vos commentaires. Malheureusement le débat est pipé, ceux qui réclament les salles d’injections le font grâce aux énormes moyens que leur procure l’argent public qui leur est versé chaque année. Les salles d’injections sont une horreur, j’en ai visité une à Amsterdam. Va t-on comme en Hollande agréer des dealers ? Mme Bachelot se plante totalement, elle ferait mieux de s’inquiéter de la montée de la cocaïne et de l’Héroïne chez les ados. Tout ceci faute de prévention depuis des trés nombreuses années. Vous pouvez voir de nombreux témoignages sur notre site et voir que les salles d’injections sont tout sauf le miracle qu’espère nous faire croire le lobby de la drogue.
Faites comme de nombreuses personnes et associations signez la pétition.
Serge LEBIGOT
Président de l’association Parents Contre la Drogue[/b]
[b]Vox populi a dit:
…
Il y a déjà un an…
la Cour suprême dit oui au centre d’injection supervisée de Vancouver
La Cour suprême du Canada a jugé ce vendredi 30/09/11 que le centre d’injection de drogue supervisée » Insite » pouvait continuer de se prévaloir de l’exemption à la loi qui lui permet d’offrir ses services aux toxicomanes de Vancouver. L’appel du gouvernement fédéral, qui voulait faire fermer le centre, est donc rejeté.
http://www.radio-canada.ca/nou…reme.shtml[/b]
[b]Vox populi a dit:
…
Le Gouvernement de Gauche continue à faire la Politique de la Droite :
Roselyne Bachelot avait, en son temps,préconisé l’ouverture de centres d’injections de la « Drogue ».
Engagement de campagne de Hollande, l’expérimentation des « salles de shoot » fait à nouveau débat.
Cette mesure s’inscrirait dans la politique de réduction des risques lancée au milieu des années 1980.
La ministre de la santé, Marisol Touraine, a indiqué, dimanche 21 octobre, qu’elle « espérait » lancer en France l’expérimentation des salles de consommation de drogue d’ici la fin de l’année 2012. Plusieurs responsables de l’UMP se sont montrés hostiles à cette proposition. Un rapport de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) avait pourtant souligné, en 2010, les effets positifs de ces salles et poussé Roselyne Bachelot, alors ministre de la santé, à les expérimenter. C P[/b]
[url]http://www.lemonde.fr/sante/article/2012/08/30/engagement-de-campagne-de-hollande-l-experimentation-des-salles-de-shoot-fait-a-nouveau-debat_1753462_1651302.html[/url]
Bonjour zelectron, je ne suis pas passée par la rubrique vos réactions à chaud ce matin mais viens de m’apercevoir que le sujet était bien entamé navrée, je veillerais à y faire attention la prochaine fois…
Bonne journée.
[b]Encourager la pourriture me semble bien une idée de gauche … (dans toute l’acception du terme)[/b]
pas de sous pour les handicapés
mais livraison gratuite de drogue et
toute la medecine anti-sida qui va avec !!!
[b]C’est nous, les pigeons !!![/b]
Difficile d’arrêter une hémoragie avec des bonnes intentions.
En ce qui concerne le cannabis nous comprendrions éventuellement l’ouverture officielle du marché afin de faire face au trafic qui coûte chaque année cher à la Société sur tous les plans, mais la il s’agit bien de drogue dure. Donc plus d’une assistance à personne en danger de mort dans le temps que d’une forme de légalisation organisée à aborder.
Dépenser pour entretenir cela ou dépenser pour encadrer médicalement ces gens afin de les faire sortir de leur état par des structures qui relèvent plus de l’hôpital serait à envisager.
Mais il n’y a déja plus de maternité et les gens qui cotisent ne sont plus soignés correctement pour rappel…
Les solutions à apporter suites aux conséquences se trouvent toujours au niveau des causes, et la ce sont des volontés plus que des moyens que nos décoideurs se doivent d’apporter. Et cela est à voir à long terme, non pas sur 5 ans.
Le changement, ce sont des décisions… pas spécialement des moyens.
PH
ET TANT QU’ON Y EST:
POURQUOI PAS DES FUMOIRS PRIS EN CHARGE PAR LA SECU ???!!!
[b]PH,
vous qui savez tout, au moyen âge et plus tard jusqu’au début du XXème siècle le chanvre n’était pas pointé du doigt et nombre de paysans pour éviter leurs souffrances devaient s’y adonner, le résultat sur le développement intellectuel était patent, nombre des usagers donnaient une descendance « non viable » mais à ces époques on ne s’embarrassait pas de considérations morales et politiques: le lit de la rivière était une des solutions (il en était de même pour les bouches inutiles)[/b]
Oui zelectron et alors…
Faut-il laisser périr les drogués dans les rues ou maintenant les aider à se droguer jusqu’à la mort ou rechercher des solutions pour enrayer l’hécatombe ? Depuis le moyen-âge j’espère que la réflexion de nos élus et du peuple à évolué sur le sujet…
Pour le chanvre oui cela fait des ravages aussi, mais la libre commercialisation ne sera pas pour autant la solution humaine, simplement une maîtrise du secteur du trafic.
C’est comme pour le tabac, il faudra encore quelques temps avant de voir les derniers fumeurs, avec les dernières prises de conscience en fonction d’une meilleure société présente.
De quoi débattre encore sans fin sur ces sujets.
PH
La réflexion offre un grand savoir, elle ouvre les possibilités de solutions au dela des partis pris. Comme disais Socrate. Je ne sais rien…
Des fumoirs remboursés par la sécu, pourquoi pas des caisses sociales qui paieraient les chômeurs, autres victimes de nos systèmes…!!!!!!!!
Attention de ne pas tomber avec vos propres propositions….
PH
Pour info: [url]http://www.huffingtonpost.fr/emmanuel-hirsch/centres-injection_b_1275808.html[/url]
[i] »il faudra encore quelques temps avant de voir les derniers fumeurs,
avec les dernières prises de conscience en fonction d’une [u]meilleure[/u]
société présente. »[/i]
AH OUI ! VIVENT LES MIRAGES DU DESERT !!!!!!!!
Veritas et Philippus, vous attendez un temps « béni » où l’homme ne se « shootera » plus qu’à la spiritualité? Bonne chance!!!
Bonjour Siempré
La spiritualité n’est pas une drogue mais un libérateur, mais je sais aussi que cela ne s’applique pas comme un produit mais par une autre démarche, cette compréhension est d’ailleurs incluse dans l’approche temporelle, donc à plus long terme. Pour celui que vous m’associez oui, la religion reste bien l’opium des peuples telle que commercialisés sous la forme de petites paraboles bien emballées. Silence ne réveillons pas les petits dealers…:-))
PH
Intéressant à lire cette voix du peuple… dire que certains ne comprennent pas le fondement de mes approches, même la modération qui fait semblant sur mes articles. Pour une fois que nous avons du subtil et de la qualité sur ces pages, l’on se sentirait soudainement moins seul.
PH
3ème édition…
Sourions de votre re-promptitude à soustraire inlassablement le factuel de votre suffisance bien spécieuse.
Je vois que la censure frappe la contradiction sur ce site, pourriez-vous avoir le courage d’expliciter votre suppression.
C’est donc ici sous cette feuille « inepte » que ça se passe…
[quote]vous dites: Ouvrir ce genre de lieu c’est donner le feu vert aux toxicomanes. Ainsi, ils pourront se droguer sans se soucier des représailles policières, avec le consentement du gouvernement. Et c’est cela qu’elle appelle « lutter contre la consommation de drogue »?!!! Je dirais plutôt qu’il s’agit de l’incitation!
(…)
Je doute fort que les toxicomanes donnent du crédit à la prévention, le seul crédit accordé est celui qui passe par la répression![/quote]
Pourriez-vous argumenter!
[quote]Ce n’est pas parce que c’était une idée de la droite qu’il faille ne pas considérer qu’il s’agit bon gré mal gré d’un encouragement à la pourriture bien que cela parte d’un « bon sentiment »*
*avec profits, tirés de la poche du cochon de contribuable qui paye, pour les directeurs et staff des organisations incriminées.
[/quote]
Avant de laisser la parole à la dialectique de la « bold » auto suffisance – covalence réactionnaire – hurlant ici à hue et à dia toujours la même antienne, il serait opportun ô démagogue luminescent sous principe d’exclusion de Pauli – afin de sortir de votre orbite et ainsi perdre votre covalence – de vous pencher sur les expériences de l’implantation de centres d’injection supervisés dans d’autres pays.
[i]Les premiers pays européens à avoir implanté des centres d’injections supervisés ont été les Pays-Bas en 1970, la Suisse en 1986 et l’Allemagne en 1994.
Les Pays-Bas multiplient les centres d’injections supervisés depuis 2000. Ces centres furent créés en raison d’une consommation problématique de drogues, surtout d’héroïne. L’implantation de ces cliniques a été vue comme le meilleur moyen d’aider les toxicomanes tant psychologiquement que médicalement. Les services offerts sont des soins médicaux de base, des rencontres avec des intervenants en toxicomanie, de la nourriture, un endroit pour qu’ils puissent prendre soin d’eux et de leurs effets personnels ainsi que des endroits sécuritaires pour s’injecter leurs drogues. Ce qui a légalement permis le démarrage de ces centres est un appui dans l’implantation de la loi par les fonctionnaires et, en 1996, le ministre de la Justice a statué que la possession de drogue serait tolérée dans les centres d’injection supervisés. Toutes ces mesures ont eu pour effet de promouvoir l’utilisation et l’exploitation de ces centres, car ils sont vus comme des mesures de réduction de la nuisance publique et des dommages occasionnés par l’injection dans les rues. Pour pouvoir bénéficier de ces services, les toxicomanes doivent postuler puis être autorisés à utiliser ces installations.[/i]
Permettez que je corrige, ne me faites pas dire ce sur quoi je vous « corrige» , même si cela me fait sourire.
[quote]Un intervenant disait:
Le Gouvernement de Gauche continue à faire la Politique de la Droite :
Roselyne Bachelot avait, en son temps,préconisé l’ouverture de centres d’injections de la « Drogue ».
(…)[/quote]
Un engagement de campagne de Hollande, l’expérimentation des « salles de shoot » fait à nouveau débat.
Cette mesure s’inscrirait dans la politique de réduction des risques lancée au milieu des années 1980.
La ministre de la santé, Marisol Touraine, a indiqué, ce dimanche 21 octobre, qu’elle « espérait » lancer en France l’expérimentation des salles de consommation de drogue d’ici la fin de l’année 2012. Plusieurs responsables de l’UMP se sont montrés hostiles à cette proposition. Un rapport de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) avait pourtant souligné, en 2010, les effets positifs de ces salles et poussé Roselyne Bachelot, alors ministre de la santé, à les expérimenter. C P
je pense que quand on a l’occasion de fumer » en cachette » c’est plus tentant!c’est une bonne idée de suivre les fumeurs et d’avoir par la même occasion,un dialogue une ouverture!
La Suisse, pour sa part, applique une vision différente dans l’exploitation des centres d’injection supervisés. Ils ont été créés lorsque le gouvernement s’est aperçu que les utilisateurs de drogues injectables augmentaient, et ce, dans les endroits publics. Pour y être admis, les clients doivent avoir au moins 16 ans et un parcours d’utilisateurs de drogues injectables avant d’être autorisés à bénéficier de ces centres. Les services offerts sont sensiblement les mêmes qu’aux Pays-Bas, mais en plus ils mettent à la disposition des utilisateurs du matériel médical et l’éducation à des pratiques sécuritaires et propres. Les salles d’injections sont à la disposition des usagers pour une période de temps limité. Dans les centres en Suisse, le personnel n’est pas habilité à aider les clients à s’injecter les substances. En 2000, dans les villes de Zurich et Basel, environ 100 personnes par jour visitaient ces centres. Dans les trois centres ouverts à Zurich, ils ont évité 22 surdoses et n’ont appelé l’ambulance que 10 fois durant l’année.
Un autre pays précurseur des centres d’injection supervisés est l’Allemagne. En implantant ces centres, l’Allemagne avait pour but de minimiser les impacts de l’utilisation de drogues dans les rues par les itinérants et l’augmentation des maladies et infections transmissibles par le sang. Pour bénéficier des services de ces installations, il faut être âgés de 18 ans et plus, avoir des problèmes de consommation de substances illicites et ne pas être dans des programmes de sevrage de drogues par substitution avec d’autres substances tels que les programmes de méthadone offerts dans les sevrages d’héroïne. La mise sur pied de ces centres a été facilitée par des consultations publiques. Les services offerts sont les mêmes qu’aux Pays-Bas, accueillant les gens dans l’acceptation et l’anonymat. L’exploitation de ces centres a longtemps été tolérée par les autorités. Cependant, en 2000, par des amendements à la loi sur les narcotiques, ils ont légalisé les centres moyennant le respect de certaines normes et conditions.
Engagement de campagne de Hollande, l’expérimentation des « salles de shoot » fait à nouveau débat.
Cette mesure s’inscrirait dans la politique de réduction des risques lancée au milieu des années 1980
vous disiez:
VOX POPULI ou tout autre pseudo, (vous êtes démasqué):
Il ne vous est pas venu à l’idée de vous renseigner sur les Pays qui ont fermé ces centres d’injections, et pourquoi.
Ne m’obligez pas à redire ce que je mettais déjà dans mon article de 2009.
Tout y est dit, et même le témoignage de Serge Lebigot !
Quittez cette suffisance du « Monsieur je sais tout », et acceptez un instant de vous remettre en question.
Le mot « doute » pour vous est inconnu de votre vocabulaire
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22 October 2012 13h:34m
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Votre désinformation au service de votre suffisance dépasse toute limite.
– c’est à l’aune de notre ignorance, une fois encore, que notre née_cécité nous dépasse, oserais-je vous rappeler avant d’aborder à travers vos sens_sûrs, votre mauvaise foi et donc votre souffrance intérieure boldéisée.
« L’ombre est noire, toujours, même tombant des cygnes » v h
nous avons donc aussi, pour votre gouverne:
l’Espagne, La Norvège, outre atlantique: le Canada (comme je vous le précisais dans une des contribs censurées), le Portugal et le Luxembourg si je ne m’abuse