Le spectacle offert par les syndicalistes du centre de maintanance SNCF de Saint-Denis est tout simplement affligeant. Engoncés dans un sectarisme primaire, un cgtiste refusant la poignée de main du chef de l'Etat… Monsieur cela s'appelle un manque de respect et de savoir vivre… On ne confond pas opinion et provocation.
Le Président se déplace, on le taxe de provocateur.
Le Président ne se déplace pas, on le taxe d'indifférence !!
NICOLAS SARKOZY utilise-t-il les médias, pour opposer les grévistes aux usagers ?
Le syndicalisme en France n'est qu'une mascarade. La CGT à la botte du Pc, exhibant un ramassis de frustrés et d'introvertis, incapables de discourir sans étaler la moindre initiative… brandissant la menace de la grève et de la rue. Des fossoyeurs d'entreprises, se prétendant solidaires, alors que le but de la manoeuvrer est bien de garder leurs statuts de privilégiés.
Un fier-à-bras refusant une poignée de mains…quelle belle leçon , les oeillères, le bonnet d'âne caractérise bien cet énergumène. Malgré les critiques injustifiées, émanant d'un syndicat sectariste, n'ayant aucune notion de la réalité, se persuadant d'être porteur de l'opinion publique. La démarche du Président est courageuse. Je ne vois en aucun cas, une quelconque manoeuvre politicienne, brancardée par une médiatisation…de bien mauvais aloi.
Le citoyen français ne voit pas cette provocation du même regard. Les syndicats paralysant les transports, espérant un soutien populaire…cela se passe de commentaires, tant la démarche est ridicule. On ne peut débattre avec l'obstination mensongère, qui fleure bon un communisme…en perdition. Les remarques désobligeantes, stigmatisant le fait d'avoir "fait plier" des Premiers Ministres (Alain Juppé, en autres), démontrent l'irresponsabilité syndicale.
Toujours les mêmes mécontents…Messieurs et Mesdames, fonctionnaires et méprisant le citoyen lambda. L'equité ne semble pas faire partie de votre vocabulaire, de petits privilégiés, ne défendant que vos statuts, en aucun cas, représentatif de la France ouvriére. La rue..elle n'en a cure de vos revendications infondées, et de croire à un mouvement populaire, en votre faveur, relève tout simplement de l'utopie aveugle qui caractérise le cynisme de dirigeants à la solde du PC.
Je vais me faire taper dessus, par une cohorte bolchévique, qui sont encore dans le passéisme triomphal des "Trente Glorieuses". J'ai été syndiqué, malgré une carrière professionnelle hors de France, par respect à mes collégues routiers, et le mot DESILLUSION est bien faible, par rapport au désastre syndicale, ayant plongé notre profession. Le dialogue devient impossible avec de telles attitudes, et ne fait que confirmer une irresponsabilité…La CGT n'est qu'un fossoyeur d'entreprises, ouvrez bien grand les yeux et redescendez sur Terre.
a michel
a propos de votre réaction concernant la venue du président sur un site ferroviaire, vous n’avez rien compris vous faîtes de l’anti syndicalisme primaire et de l’anticégétisme encore plus primaire,vos remarques sont d’une banalité affligeantes emprunte de néo pojadisme et fleurant bon les discours de l’extrème droite le plus haineux,bref vous êtes le dernier des cons , salut un cheminot qui ne vous salut pas
a Capemace
La politeese ne vous caractérise pas. Fleurant l’extrême drioite , mtiné d’un néo-poujadisme…Vola le sectarisme d’un syndiqué aeugle et qui suit son troupeau, sans substance et incapable de lire un article sans avoir l’oblgeance de la compréhensin..lobotomisé ou ignare, le résultat est le même, pitoyable.
Ton salut…tu es aussi con que le cgtiste refusant la poignée de main du chef de l’état..primaire et étalant un militantisme, ou bonnet d’ane remplacant la casquette.
Michel: votre incohérence n’a d’égal que votre aigreur …
Vous rappelez à la bienséance qui vous commente précédemment, alors que dans votre article (voire dans vos articles…), vous sombrez bien plus souvent dans de la diffamation honteuse. Juste pour un exemple, les CGTistes apprécieront de se voir traités ci dessus de faire partie d' »un ramassis de frustrés et d’introvertis (…) ».
Mais je ne m’épuiserai pas plus longtemps la dessus, en tout cas pour le moment, ne vous inquiétez pas, je ne tarderai pas à livrer des attaques en règle à vos écrits…
Ce que je trouve dommage surtout, c’est que non content de prendre ce pretexte pour épancher vos relans haineux à l’égard de tout ce qui peut toucher de près ou de loin au communisme, vous en oubliez la vraie information relative à cet épisode entre Narkozy et les syindicalistes, à savoir la déclaration du premier, qui a fini par entraver toute négociation avec les syndicats : «Les 40 ans [d’annuités] s’appliqueront à tout le monde, en revanche, les bonifications, les décotes, moi je pense que tout ceci ne peut s’appliquer que pour ceux qui ne sont pas déjà rentrés à la SNCF.»
A ce sujet, lire l’article sur le Journal de Roschild et du Moustachu :
http://www.liberation.fr/actualite/politiques/287714.FR.php
(attention, ce lien est commercialement biodégaradable)
militante
Mais je revendique mon droit d’être un anti-communiste, ety siu mon propos est diffamatoire, d’aprés votre concept stalinien, il n’exprime que la vérié..
100 millions de morts comme palmarés, alors l’idéologie fraternel du pc est tout juste bon pour les pseudos intellos de salon, prisonniers dans leurs carcans de préjugés..
Ta page sur Libé, voila du bon journalisme de propagande, lamentable, si tu veux cultiver une idéologie sanglante..il est vrai que nous pratiquons la désinformation, le communisme représente l’avenir…le délabrement des banlieues doit certainement ne pas toucher la gestion pitoyable du pc…alors le sempiternel refrain de la lutte des classes…il ferait bien mieux de changer le disque et de se projeter dans le futur, ave d’autres optiques…le communisme est révolu et, place à la fossilisation…
Mes grands parents sont morts, victimes de votre idéologie nauséabonde.
Sylvie
ni dans le communisme ni dans le libéralisme, l’avenir de la société est en et par Jésus-Christ;
Et Il va bientôt mettre le monde entier d’accord.
Ce sera une sainte fraternité entre les hommes (qui resteront).
C’est marqué dans la Bible.
@ Michel , Sylvie coucou c’est moi votre ami!
Michel vous dites que vous êtes anticommuniste, alors que vous m’aviez dit par deux fois que vous étiez apolitique.C’est extraordinaire.Vous êtes encore pire que moi
Quant aux 100 millions de morts! Vous les avez comptés?
Voici ce que l’on peut lire sur mon blog yek yek yek yek
Une liste de 2,6 millions de victimes de la terreur de Staline publiée.L’organisation russe de défense des droits de l’homme Memorial a dressé et publié une liste de 2,6 millions de personnes victimes des purges staliniennes, a distribuer dans les écoles et organismes publics, a indiqué le responsable de l’organisation jeudi.
20 à 25 % du chiffre total
« Notre base de données, à ce jour, représente seulement 20% à 25% du chiffre total des victimes. C’est l’aboutissement d’un travail auquel ont participé des centaines de personnes dans de nombreuses régions depuis presque 20 ans », a déclaré Arseni Roginski, selon l’agence RIA Novosti. L’organisation a édité 5.000 copies de la base de données, a indiqué Roginski. Environ 12,5 millions de personnes ont été victimes des grandes purges staliniennes, qui ont commencé en 1937 avec de grands procès contre des leaders du parti communiste et des généraux de l’armée rouge.
Attention limitée
Plusieurs ONG russes et les proches des victimes ont commémoré en août les grandes purges, en organisant des cérémonies du souvenir 70 ans après l’entrée en vigueur de la directive qui marqua le début des répressions de masse. Cependant, les médias russes ont porté une attention limitée à cette date et l’organisation russe de la défense des droits de l’Homme Memorial a regretté une certaine réticence des autorités à commémorer l’événement.
En juin, M. Poutine s’était rendu chez l’ex-dissident et prix Nobel de littérature Alexandre Soljenitsyne, auteur d’ouvrages sur le système concentrationnaire soviétique, à qui il a remis le prestigieux Prix d’Etat. Les recherches publiques sur la période stalinienne ont commencé à la fin des années 1980. Mais l’accès aux archives est devenu plus difficile sous la présidence de Vladimir Poutine, d’après Memorial. (belga)
Michel ou Sylvie, Sylvie ou Michel… Apolitisme et anticommunisme… on nage toujours dans l’incohérence!
Alors là, j’avoue que je suis sciée! Je dépose un peu plus haut un commentaire pour réagir au sujet de la bienséance, à l’égard de l’auteur de ces propos, à savoir Michel. Lorsque je lis ensuite une nouvelle réponse, elle semble bien, au vu de l’entête, le fait dudit Michel. Et pourtant, le commentaire est signé Sylvie. Sylvie serait-elle assimilable à Michel? Michel à Sylvie? l’opinion de l’une vaut elle entièrement pour l’autre? S’ait-il là de simple scyzophrénie (tel que l’a mentionnée auparavant libertus) ou le fait d’une relation fusionnelle ?
Personnellement, je m’en fous, et j’attends pas de relire que un telle est la femme d’un autre, c’est du privé, je vous le dit je m’en fous; Je remarque juste à nouveau l’INCOHERENCE.
Incohérence à nouveau lorsque l’on pouvait lire Michel se déclarer apolitique, et se réclamer maintenant de l’anticommunisme, tel qu ele fait remarquer libertus.
Incohérence enfin, lorsqu’au lieu de me répondre au sujet du contexte général de cette rencontre avec les syndicats, et au sujet de la petite bombe qu’a lancé le pdt en exercice, la Sylvie me reparle de son horreur du communisme… en me tutoyant qui plus est… Bref, je vais pas m’époumoner trop longtemps sur des commentaires, et repart à la préparation de quelque critique plus construite….
A bon entendeur, hasta luego
y hasta siempre !
@militante
Michel c’est la tête, Sylvie c’est les jambes.
C’est une hydre à deux têtes mais en pire!Et pourtant j’aime bien les animaux.
Militante vois-tu le couple Michel, Sylvie C’est une Entreprise Anonyme de démolition.Tout le monde y passe il suffit que l’occasion se présente.
Apolitique le Miche, j’aimerais toujours savoir ce que Bourdieu
en dirait? Poujadiste? on est déjà plus proche de la vérité.
Bref ils sont pire que moi, et pourtant je suis grave!
l’incompréhension
d’être contre une idéologie malfaisante ne reléve pas de la politique, Vautier dirait que je suis à la chasse de l’antechrist…mon cher Liberts, il n’y a pas que les purges staliniennes…la terreur a commencé sous Lénine….De Pragues en passant par Budapest…le communisme doit être éradiqué, tu as raison militant va donc a Cuba, enterrer le vieux pourceau, le jour de sa mort…les statues tomberont de leurs piedestal…je signe Michel, l’hydre a deux têtes vous salue bien
A propos du droit de grêve
Les autorités des Emirats arabes unis ont décidé de prendre des sanctions très sévères, dont le bannissement à vie, contre les « meneurs » d’une grève à Dubaï de milliers d’ouvriers étrangers marquée par un vandalisme rarissime dans ce pays, où le droit de grève reste interdit.
Plusieurs centaines de milliers d’ouvriers du bâtiment, originaires principalement d’Inde, du Pakistan et du Bangladesh, travaillent jour et nuit sur les chantiers de construction dans les Emirats, notamment à Dubaï, où s’élève actuellement jour après jour la plus haute tour du monde, Burj Dubai.
Interrogé lundi par l’AFP, un haut responsable du ministère du Travail a souligné que le Premier ministre et vice-président des Emirats, cheikh Mohammad ben Rached Al-Maktoum, également souverain de l’émirat de Dubaï, avait pris récemment « une série de mesures en faveur de la main-d’oeuvre étrangère ».
« Mais ces grévistes ont franchi une ligne rouge, ce que nous ne pouvons pas tolérer », a ajouté ce responsable, Humaid ben Deemas.
Tout a commencé samedi à l’aube, lorsque plus de 4.000 ouvriers du bâtiment ont bloqué la principale artère menant à la zone de libre-échange de Jebel Ali (sud-ouest de Dubaï), avant de jeter des pierres contre des voitures, dont 18 au moins ont été sérieusement endommagées.
Des milliers d’ouvriers d’autres entreprises se sont ensuite joints aux grévistes.
Alertée, la police a dépêché des forces anti-émeutes qui ont fait usage de canons à eau pour disperser les manifestants, qui s’en sont également pris à des voitures des forces de l’ordre.
Un hélicoptère a survolé la zone pour filmer la scène et identifier les meneurs.
Selon des responsables cités par la presse, les protestataires réclamaient une augmentation de leurs salaires, compris actuellement entre 600 et 1.000 dirhams par mois (entre 146 et 272 dollars), un accroissement du nombre de bus pour se rendre sur leur lieux de travail ainsi que des logements décents.
Dénonçant un « comportement barbare », le ministère du Travail leur a donné à choisir entre la reprise du travail et l’abrogation de leurs contrats, le bannissement à vie du pays et la privation de leurs indemnités de fin de service.
Mais dimanche, le mouvement de grève s’est étendu à trois autres zones de Dubaï.
Selon la presse, ces nouveaux arrêts de travail ont été observés par 3.100 ouvriers du bâtiment, mais la police a pu maîtriser la situation et renvoyer les grévistes dans leurs logements.
Citant un haut responsable de la police, la presse a affirmé que « plusieurs centaines d’ouvriers d’origine asiatique impliqués dans les actes de vandalisme (avaient) déjà été expulsés ou allaient l’être, après l’abrogation de leurs permis de travail », et qu’ils ne pourraient plus jamais revenir dans le pays.
Minimisant l’ampleur de ces mouvements de protestation dans les Emirats, M. ben Deemas a affirmé à l’AFP que « les arrêts de travail ne représentent que 0,4% du temps de travail annuel des entreprises ».
« Et puis, ces grèves ne sont pas toutes motivées par des revendications légitimes », a-t-il ajouté, citant le cas de « 300 ouvriers, sur 30.000 ouvriers d’une même entreprise, qui ont fait grève pour demander plus d’heures supplémentaires que celles autorisées par la loi ».
« Nous avons déjà imposé plus de 400 millions de dirhams (environ 109 millions USD) d’amendes à des entreprises qui ont sciemment tardé à conclure des contrats avec leurs ouvriers (…) car nous refusons l’exploitation de la main-d’oeuvre étrangère », a-t-il affirmé.
Les grèves sont interdites à Dubaï comme dans l’ensemble des Emirats, mais après leur multiplication ces deux dernières années, les autorités ont créé au sein de la police une commission chargée des questions ouvrières et mis à la disposition des ouvriers un numéro de téléphone gratuit pour faire état de leurs plaintes, la plupart ayant trait au non-paiement des salaires.