L’OCDE nous affirme que la France serait en récession au cœur de l’hiver! Mais que nous demande-t-elle? Réponse : Un plan préventif! La combinaison d’une chute de l’activité économique avec un accroissement de la charge de la dette exigerait déjà un 3ème tour de vise budgétaire : c’est ce qu’estime déjà l’OCDE ! Un plan de 12 milliards puis un autre de 7 milliards d’euros : ce n’est pas suffisant pour l’OCDE ! Elle demande un nouvel effort massif correspond à 8 milliards d’euros à travers essentiellement une réduction des dépenses publiques.
Pour vous donnez un ordre de grandeur: Même si la totalité des réserves de précaution inscrites dans la loi de finance de 2012 étaient utilisées, il faudrait trouver 2 autres milliards d’euros ! Sauf solution miracle, l’OCDE affirme que la récession à venir de la France sera une récession permanente ! « L’incertitude considérable qui pèsent sur leurs projections…etc » (OCDE) : Cette citation du rapport de l’OCDE veut dire tout simplement qu’ils ne savent rien à 30 jours en France ! Donc dans 3 mois ! , pensez vous ! Comment peuvent-ils écrire cela et exiger cela alors qu’il y a une interrogation d’avenir ? On connaît déjà le principe de sécurité. Maintenant on a un plan préventif.
Bref, on est sur la surenchère en permanence à vouloir toujours plus, plus, plus!…. en négligeant un principe de réalité très souvent oublié en économie. Mais en exprimant la volonté d’un 3ème plan d’austérité pour la France, les économistes de l’OCDE expriment d’avantage un doute politique en sous entendant que le gouvernement français n’a ni la volonté ni la capacité d’assainir les finances publiques ! En fait, il faut attendre le printemps 2012 en France (c’est-à-dire les élections) pour pouvoir établir avec certitude un plan d’économie : Quelque soit la victoire politique, le 3ème plan de rigueur français sera bien là ! Les inquiétudes pour une hausse des taux des obligations Françaises et la dégradation de l’économie Française qui pourraient avoir des conséquences négatives sur la note de la France : c’est ce qu’à exprimer l’agence Moody’s! Mais la note de la France est plutôt un symbole qu’une réalité!
La réalité: c’est la capacité à financer la dette publique de la France!
C’est-à-dire avoir la possibilité d’emprunter pour financer l’augmentation de la dette et donc la capacité à passer ce moment difficile dans les finances publiques : C’est cela la vraie inquiétude, plus que la note elle même qui est le reflet de cette réalité!
Dans les faits, les marchés ont déjà anticipé cette perte de note! Mais l’enjeux pour les finances publiques françaises est d’être capable de financer ce choc en terme de finance publique et être capable de le faire sans risquer le cercle vicieux d’une contrainte plus forte sur les finances publiques entrainant une croissance plus faible et rendant encore plus difficile la capacité à maintenir les finances publiques. Il faut penser aux conditions de soutien des finances publiques à long terme.
Au départ de la crise financière, en France, on avait plutôt l’impression qu’elle ne serait pas faire des réformes économiques mais c’est avec la réforme drastique Anglaise que les consciences politiques ont changés. On pouvait croire que la France avait était épargnée par la crise financière, or ce n’était pas le cas et on a tardé à faire des mesures économiques.
Les politiques économiques françaises sont toujours dans le déni de réalité! Quelle est la perspective économique sur les finances publiques en France sur le long terme? Il n’y a pas de vision ! Les enjeux sont:
Quels poids faisons-nous peser sur les finances publiques?
Quels poids faisons-nous peser sur la hausse des prélèvements sociaux?
Rétablir les finances publiques en France? En école, on apprend: la règle : « 2 tiers_ un tiers»: 2/3 de baisse des dépenses et 1/3 de hausse de la fiscalité. Dans les faits, cela a toujours était le cas dans la mise en œuvre d’une politique de rigueur! Mais tout dépend de la façon dont on fait la réduction des dépenses et l’augmentation de la fiscalité! Il n’y a pas vraiment de rationalité! Il faut aller d’avantages dans le détail! En effet, il y a des formes de prélèvements qui sont plus efficaces que d’autres et qui ne touchent pas les mêmes catégories de population. Et il y a des dépenses publiques dont on sait qu’il y a des effets durables sur la croissance!
Bref, dans ce dernier point, c’est l’action de l’Etat qui doit être efficace!
Bonsoir, petit ajout supplémentaire à l’article: il faudra 8 millards estimés par l’OCDE; 2 milliards de provision en cas de difficultés, pour ma part j’estime 2 autres milliards ( donc trouver encore 2 milliards); ensuite tout dépend de l’évaluation (janvier serait excédentaire; fevrier, mars avril: 3 mois nuls voir légèrement difficitaire). Vraisemmblablement: 3 chocs, 1 choc financier modéré de la baisse de la note de la France( c’est déjà anticipé donc peu d’impact), 1 choc international en Syrie(il n’est pas exclue qu’il y est une action interntionale concerté avec l’otan); 3ème choc plus sérieuse: une nouvelle hausse des matières premières pour la 3ème année consécutive due la spéculation (énergie, petrole, alimentaire)et à la baisse des réserves de l’année dernière( conditions climatiques…)En France estimation:8 millards+ 2 milliards+ 2 milliards dans le meilleur des cas( croissance quasi nul et baisse exportations) à 6 millards si la crise se creuse avec la’intervention d’un plan B pour les banques…. ) donc 8+2+6=16 milliards nécessaire pour satisfaire le 1er semestre.
Ouverture gambit du roi Rui ?!
je vois: GAMBIT FINANCIAL SOLUTION (sourire)
Well… tu suis l’impondérable dogmatisme qui est censé nous encrer, plus encor qu’ancrer, dans la réalité d’un économisme qui est entrain de voler en éclat. Tes efforts natatoire et… adaptatoire! -respire – quel magistère d’inconséquence patent. La réalité est « tout être » donc tout autre, et l’être social n’assume plus ce gambit pantelant de nos politiques à la botte de cette inconséquence notoire pour que trop en latence : le casse du siècle n’abusera bientôt plus personne chair RUi, et tes coups font allégeance au conditionnement qui t’habite. Si la pensée – disons analyse – que tu développes est bien tienne (?), je risque de m’accrocher à tes basques encor longtemps. Si tu récites – qqles extrapolations orthographiques m’interrogent – tu risques de prendre cet échiquier en pleine tronche d’ici peu mon ami.
Jouons donc en zeinot, si tu veux bien.
Bien que soutenue par toute une quincaillerie institutionnelle et médiatique, l’arrêt_publique chancelle! Une course de vitesse est engagée entre le durcissement de l’autoritarisme libéral et l’enclenchement d’une rupture avec l’idéologie de « la phynanciarisation mondialisée » de l’avoir sur l’être.
Ton par-être didactique et conditionné affrontera donc mon non_être en sa plus violente indolence: B8-C6
sourire
…