Des inspecteurs menant une enquête sur une suspicion de détournement de fonds de la part d'un opérateur téléphonique aux États-Unis ont découvert que le FBI avait été plusieurs fois privé de téléphone pour ne pas avoir honoré ses factures à temps.
En examinant près d'un millier de paiements réalisés par les bureaux des services secrets, les inspecteurs ont découvert que plus de 50 % avaient été payés en retard, ce qui avait poussé les opérateurs téléphoniques à suspendre leurs services.
Et pourtant, ces factures concernaient principalement des écoutes légales dans le cadre d'enquête pour lutter contre la criminalité et le terrorisme, toutes effectuées sous le contrôle d'un juge fédéral.
Mais le coupable serait l'archaïsme d'un système de paiement qui fait que nombre de factures restent impayées de nombreux mois, tandis que d'autres sont parfois payées deux fois… mais dans ce dernier cas, les opérateurs ne se sont jamais plaints.
Le directeur adjoint du FBI, John Miller, a répondu aux critiques des inspecteurs en assurant que le FBI allait prochainement moderniser son système de paiement.
Il est cependant inquiétant de constater que des services qui prétendent assurer la sécurité des États-Unis et même du monde, dépendent toujours d'une administration qui semble ne pas avoir évolué depuis l'époque de la Prohibition et du célèbre Eliot Ness.
PETIT ARTICLE POUR LES INVESTIGATEURS! :PARIS (AFP) – L’homme d’affaires canadien Edgar Bronfman Jr, PDG de Warner Music, a été mis en examen dans l’affaire Vivendi lors de la clôture de l’enquête par les juges Henri Pons et Jean-Marie d’Huy, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.
M. Bronfman, qui avait été entendu comme témoin assisté en juillet 2007, est finalement poursuivi pour délit d’initié, selon cette source.
A titre d’aparté, pur hasard sans aucun doute,
The Wall Street Journal (4 mai 1998), sous le titre Les Géants de l’industrie associent leur forces pour financer la philanthropie juive, sans bien évidemment faire une seule allusion aux éléments précités, révélait l’existence d’un groupe privé jusqu’alors totalement inconnu, le Mega Group, fondé en 1991 par Edgar
Bronfman, président du Congrès Juif mondial, et Leslie Wexler (Limited Inc.). En étaient membres uniquement des multimilliardaires, une vingtaine, dont Charles Bronfman, frère d’Edgar, à la direction du trust familial de l’alcool Seagram, Charles Schusterman, président de Samson Investment Co de Tulsa (Oklahoma), Max Lender, le magnat des « bagels » (pain cacher rituélique), Leonard Abramson, Fondateur d’US Healthccare, Max Fisher, haut responsable du Parti républicain et magnat du pétrole à Détroit, Laurence Tisch, président de Loew Corp, Herve « Bud » Meyerhoff, l’homme le plus riche de Baltimore, etc. Le recrutement ne se fait que par cooptation. Les membres sont à vie. La cotisation est de 30 000 $ par an. Se réunissant deux fois par ans, durant deux jours à huis clos, le Mega Group a pour but majeur, selon le WSJ, d’« obtenir le maximum d’impact sur la politique américaine envers Israël ». L’un des membres, Charles Bronfman, avait donné une explication toute naturelle à cette volonté extrême de discrétion à la journa-
liste Lisa Miller : « Nous ne voulions pas apparaître comme le Sanhedrin. » C’est-à-dire l’instance suprême de la communauté juive. Ce fut là le premier et l’unique article, pourtant particulièrement complet, consacré au Mega Group. Pas
tout à fait quand même puisque l’Agence Télégraphique juive (13 mars 2001) y fit une discrète allusion lorsqu’elle annonça que le nouveau Premier ministre, Ariel Sharon, avait décidé de financer deux très importantes campagnes de relations publiques aux Etats-Unis pour obtenir des Américains une évolution du processus de paix défini par les Accords d’Oslo.
Un ex président Italien dit que le 9/11 est un coup monté par la CIA et le Mossad
Nous avons pour nous la certitude que ben Laden est mort en Juillet 2001. Donc, il n’a pas pu commanditer les attentats du 11/9 et ceux qui se servent de son nom le savent bien. Un aveugle y verrait dans cette affaire. Rien que le bailleur des tours est déjà fort suspect d’autant que la 7 qui lui appartenait aussi est tombée sans avion. Et les milliards de lingots d’or qui ont disparu dans le sous-sol ? Qui en parle ? On répète, la vérité se saura bientôt. Et les Imposteurs seront démasqués. Déjà pour qu’un ex-président Italien en parle, c’est bon signe.
D’après un ancien Président italien, les services de renseignement savent que le 9-11 est un coup monté de l’intérieur
L’ancien président Italien qui est aussi l’homme qui a révélé l’existence de l’Opération Gladio a dit au plus grand journal d’Italie que les attentats étaient dirigés par la CIA et le Mossad
Francesco Cossiga, l’ancien président italien qui avait révélé l’existence de l’Opération Gladio, a fait des révélations sur le 9-11, disant au journal le plus estimé d’Italie que les attentats étaient dirigés par la CIA et le Mossad, et que c’est un fait notoire dans les services de renseignement mondiaux.
Cossiga fut élu Président du Sénat italien en juillet 1983, avant de devenir Président du pays en 1985 en remportant les élections dans un raz-de-marée électoral.
En tant qu’homme rare, honnête politicien, Cossiga a gagné le respect des partis de l’opposition et il a dirigé le pays pendant sept ans, jusqu’en avril 1992.
La tendance à la franchise de Cossiga a bouleversé l’establishment politique italien, et il a été forcé de démissionner après avoir révélé l’existence, et son rôle dans la mise en place, de l’Opération Gladio, un réseau criminel de renseignement sous les auspices de l’OTAN, qui a effectué des attentats à la bombe en Europe dans les années 60, 70, et 80.
La spécialité de Gladio était d’effectuer ce qu’ils ont inventé, des « opérations sous fausse bannière, » des attentats terroristes qui étaient attribués à l’opposition interne et géopolitique.
Les révélations de Cossiga ont contribué à une enquête parlementaire italienne sur Gladio en 2000, au cours de laquelle fut exhumée la preuve que les attentats étaient supervisés par l’appareil de renseignement étasunien.
En mars 2001, l’agent de Gladio Vincenzo Vinciguerra a déclaré, dans un témoignage sous serment, « Vous avez eu des attaques de civils, de gens, de femmes, d’enfants, de personnes innocentes, de gens inconnus très éloignées de tout jeu politique. La raison était assez simple : Forcer … le public à se tourner vers l’État pour demander une sécurité plus grande. »
Les nouvelles révélations de Cossiga sont parues la semaine dernière dans le plus ancien et le plus lu des journaux d’Italie, Corriere della Sera. En voici une rapide traduction :
Ben Laden a soi-disant avoué être l’auteur des attentats du 11 septembre contre les deux tours de New York, alors que tous les services de renseignements des États-Unis et d’Europe … savent bien maintenant que ces attentats désastreux ont été planifiés et réalisés par la CIA étasunienne et le Mossad avec l’aide du monde sioniste, dans le but d’en faire porter le chapeau aux pays arabes afin d’inciter les puissances occidentales à prendre part en Irak … et en Afghanistan.
Cossiga, a exprimé ses premiers doutes sur le 9-11 en 2001, et il a été cité dans le livre de Webster Tarpley, déclarant que « Le cerveau de l’attaque devait être un esprit sophistiqué, avec suffisamment de moyens, non seulement pour recruter des kamikazes fanatiques, mais aussi des gens hautement spécialisés. J’ajoute une chose : Elle n’a pu être réalisée sans infiltration dans le personnel des radars et de la sécurité aérienne. »
Venant d’un ancien chef d’État très respecté, les assertions de Cossiga, selon qui les attaques du 9-11 étaient un coup monté de l’intérieur, et que c’est un fait notoire dans les services de renseignement mondiaux, ont très peu de chance d’être mentionnées par l’institution d’information médiatique, car tout comme des centaines d’autres gens sérieux, anciens de gouvernement, militaires, professionnels de l’armée de l’air, alliées à des centaines de professeurs et d’intellectuels, il ne peut être écarté comme un fêlé de la théorie de la conspiration.